Ce garçon qui portait en lui l’obscurité de la nuit dissimulait, dans les recoins de son âme, les ténèbres auxquelles on l’avait arraché.
Vêtue de douleur, elle restait la chose la plus belle et la plus resplendissante du monde.
Les gens allaient chez lui et lui demandaient d’être capables de pleurer, d’éprouver une once de sentiment, parce que ce sont dans les larmes que se cachent l’amour et la compassion.