Rien n’est définitif. Nous sommes tous plus ou moins en sursis : des malheureux ou des heureux en sursis. Les uns en attente de bonheur. Les autres en attente d’emmerdes.
Le silence n’a jamais trahi personne.
Rien de tel que les malheurs des autres pour relativiser les siens.
L’amour déraisonnable qu’un être a pour vous finit par lui donner un droit raisonnable au vôtre.
Le temps, en amour, enjolivant les bons souvenirs et effaçant les mauvais, donne toujours raison aux absents.