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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Les premières lignes, on se dit mais il nous fatigue Watson avec ces archives à classer... Mais bien vite on change d'avis, car Conan Doyle a une idée derrière la tête, car il nous parle de la discrétion des deux compères, qu'ils ne livrent rien sans autorisation préalable des familles concernées mais que nos deux héros déplorent une tentative de détruire les archives si précieuses, notamment pour les apprentis criminologues ... Et oui, c'est que même sous la confidentialité, il faut former des détectives!! Bravo, message bien reçut Mr Doyle... Et voilà pourquoi le recueil contenant cette nouvelle s'appelle les Archives de Sherlock Holmes, parce qu'on y apprend qu'elles ne seront pas toutes publiés, visibles du public, simplement utiliser afin de résoudre d'autres enquêtes criminelles ... Les Archives de Sherlock Holmes nous indiquent qu'il n'y a pas que les systèmes d'emprunte, d'identification, de données génétiques, mais là on entrevoit la question moderne du profilage... Qui est d'ailleurs sous entendu régulièrement dans les histoires... Puis que régulièrement Holmes y cherche dans une autre affaire, soit le nom du coupable, c'est sa façon de faire, soit une réponse à la question comment le crime à été commis.. Et c'est encore un sujet abondamment, traité dans la série Sherlock, sous le nom de MInd Palace, palais mental en Français... des archives cette fois indestructible parce que dans la tête... constitué comme un ordinateur dont il faut retrouver le dossier... ce n'est plus des papiers à bruler ou des ordi à détruire pour les éliminer, il faut carrément tuer Sherlock... Et voila Watson, convoqué à Baker Street qui tombe sur une dame dans un épais nuage de fumée.... de tabac... C'est une propriétaire qui a une pensionnaire bien tranquille, qui paye bien, mais si défigurée qu'elle se cache... Mais ce n'est pas le fait qu'elle se cache pour dissimuler son infortune qui inquiète la détentrice des lieux, au contraire jamais un locataire n'a été si facile à vire... le problème c'est que cette femme est terriblement tourmenté par son passé, et parle d'un ancien meurtre... sans en dire plus... Il ne s'agit donc pas d'apriori sur l'apparence de la locataire qui pousse la proprio a appelé à l'aide, mais bel et bien les tourments que vie sa locataire et détraque sa santé... et combien on aimerait que nos concitoyens actuels raisonnent de la même façon.. On le voit bien par la modernisation de la série Sherlock,, où le talentueux détective, est surtout traité comme un monstre... avons nous réellement progresser? Beaucoup penses que non... le modernisme se remet de plus en plus en question, malgré quelques personnes qui s'y accrochent encore... Et Dieu merci la série Sherlock nous ouvrent les yeux... Entre critique constructive et calomnie on ne fait plus la différence Hélas... Et malgré les Jack L'Eventreur nous titille l'affirmation, probablement injuste, la modernité a quand même apporter des choses, et si c'était mieux autrefois??? Certainement pas... mais... les mauvais coucheurs étaient moins voyants et moins excusés de leurs comportements, quoiqu'on en dise... Mais passons sur les critiques du modernisme... c'est donc par l'intermédiaire et sur l'idée de la propriétaire qu'une affaire de meurtre est amenée... Une affaire que connaît déjà le fin limier... une affaire dont les déductions du coroner l'avait déjà fait tiquer... Il a déjà une vision de l'affaire justement... Une affaire dont les conclusions, il en est certain, sont fausses.... Dabs un milieu dans lequel il n'a pas enquêté, un milieu qui pourtant c'est développé et était l'immense pourvoyeur des dompteurs d'animaux sauvages et d'écuyers de l'époque : le Cirque.... Il s'agit plus de décrire ici, les tourments des femmes de l'époque plutôt qu'autre chose ici, avec un Holmes surtout de bon conseil... un livre qui sort des canons habituels des policiers... Même pour un Conan Doyle...
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Quel lien étrange existe-t-il entre une pensionnaire voilée et un lion ? Pourquoi une gouvernante se retrouve-t-elle condamnée à mort ? Par quel mystère un homme se promène-t-il à quatre pattes ? Pourquoi avant de mourir un homme prononce-t-il ces mots : "La crinière du lion" ? que se passe-t-il à Shoscombe Old Palace ? Mais où donc est passée l'épouse du marchand de couleurs ?
Autant de mystères que Sherlock Holmes va percer et ce pour notre plus grand plaisir.
Une fois de plus, merci à vous, Sir Arthur Conan Doyle
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▋"La Pensionnaire voilée" est un recueil de six nouvelles de Sir Arthur Conan Doyle qui met en scène, comme tout le monde le sait, le grand Sherlock Holmes. Ce brillant détective privé est accompagné de son fidèle ami le Docteur Watson qui le complète dans le domaine personnel et professionnel. le lecteur observe cette amitié qui grandit d'affaire en affaire pour la plus grande satisfaction de leurs clients! Ainsi le lecteur commence sa lecture avec "La pensionnaire voilée". Cette affaire est humaine et purement factuelle. Il n'y a pas de véritable investigation. Les affaires suivantes sont tout le contraire et nous retrouvons tous les éléments policiers que l'on apprécie tant. Ainsi, le mystère, la logique, le danger, les dénouements grandioses... Tout est là. Sans vous révéler les éléments clés de ces nouvelles, je me contenterai simplement de vous dire que l'innovation au sein des histoires est omniprésente, pas de monotonie littéraire ni de longueurs dans le récit. L'auteur a su rendre son ouvrage original et toujours d'une qualité certaine. ▋
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