AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Sherlock Holmes : Le Marchand de couleur retiré des aff.. (8)

Le cambriolage m'a toujours tenté, mais je ne m'y
suis livré qu'en de rares occasions… Dommage ! J'aurais pu me faire un
nom chez les gangsters…
Commenter  J’apprécie          20
Je crains, mon cher Watson, qu'il n'y ait pas de train ce soir pour
rentrer. Je vous ai bien involontairement condamné aux horreurs
d'une auberge de campagne. Toutefois vous avez la nature,
Watson, la nature et Josiah Amberley. Vous pourrez être en
pleine communion avec les deux.
Commenter  J’apprécie          10
– Je peux encore le faire.
– C'est déjà fait. Grâce au téléphone et au concours du yard, je peux
généralement obtenir l'essentiel sans quitter ma chambre. En fait, mes
informations
confirment l'histoire du bonhomme. Il a la réputation dans le
pays d'être un avare en même temps qu'un mari rude et exigeant.
Commenter  J’apprécie          10
– Si. Une chose qui m'a frappé plus que tout le reste. Je m'étais rendu à
la gare de Blackheath et j'étais déjà dans le train quand j'ai vu un homme
se précipiter dans le compartiment voisin du mien. Vous savez que j'ai
l'oeil vif pour reconnaître les visages, Holmes ? Hé bien ! c'était
incontestablement
l'homme grand et brun à qui je m'étais adressé dans la rue ! Je
l'ai revu à London Bridge, puis je l'ai perdu dans la foule. Mais je suis
persuadé qu'il me suivait.
– Sans doute, dit Holmes. Un homme grand, brun, à lourdes
moustaches, m'avez-vous dit, avec des lunettes de soleil ?
– Holmes, vous êtes un sorcier. Je ne vous avais pas parlé de lunettes
teintées, mais il avait des lunettes teintées.
– Et une épingle de cravate maçonnique ?
– Holmes !
– Enfantin, mon cher Watson ! Mais redescendons au niveau du pratique.
Je dois vous confesser que l'affaire, qui me semblait absurdement
241
simple, si simple qu'elle ne méritait guère mes attentions, se présente
maintenant sous un jour très différent. Bien que vous soyez passé dans
votre mission à côté de tout ce qui était important, les choses qui se sont
imposées d'elles-mêmes à votre observation me donnent beaucoup à
penser.
Commenter  J’apprécie          10
– Je ne crois pas, répondis-je, que je pourrai vous rendre beaucoup de
services, mais je ferai de mon mieux.
C'est ainsi que, par un après-midi d'été, je partis pour Lewisham. Je me
doutais peu qu'avant une semaine l'affaire où je me trouvais engagé soulèverait
dans toute l'Angleterre une émotion passionnée.
La soirée était fort avancée quand je rentrai à Baker Street pour faire
mon rapport. Holmes s'assit sur son fauteuil après avoir allumé sa pipe.
De lentes volutes d'une fumée âcre montaient vers le plafond.
Commenter  J’apprécie          10
– Est-il l'un de vos clients ?
– Hé bien ! je suppose que je peux l'appeler un client. Il m'a été adressé
par le Yard. Tout à fait comme un médecin adresse parfois un incurable à
un charlatan. La police officielle estime qu'elle ne peut rien faire de plus,
et que quoi qu'il advienne le malade ne s'en portera pas plus mal
qu'aujourd'hui.
– Quelle est son affaire ?
Holmes prit sur la table une carte de visite plutôt sale.
Commenter  J’apprécie          10
Sherlock Holmes, tout pratique et actif qu'il fût, était ce matin-là
d'humeur mélancolique et philosophante.
– L'avez-vous vu ? me demanda-t-il.
– Le vieux bonhomme qui vient de sortir ?
– Oui.
– Je l'ai rencontré à la porte.
– Quelle impression vous a-t-il faite ?
– Un être pathétique, futile, brisé.
– Exactement, Watson. Pathétique et futile. Mais toute la vie n'est-elle
pas pathétique et futile ? Son histoire n'est-elle pas un microcosme de
l'ensemble ? Nous atteignons. Nous saisissons. Nous serrons les doigts.
Et que reste-t-il finalement dans nos mains ? Une ombre. Ou pis qu'une
ombre : la souffrance.
Commenter  J’apprécie          10
Mais toute la vie n'est-elle pas pathétique et futile ? Son histoire n'est-elle pas un microcosme de l'ensemble ? Nous atteignons. Nous saisissons. Nous serrons les doigts. Et que reste-t-il finalement dans nos mains ? Une ombre. Ou pis qu'une ombre : la souffrance.
Commenter  J’apprécie          10


    Acheter ce livre sur
    Fnac
    Amazon
    Decitre
    Cultura
    Rakuten


    Lecteurs (20) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Le chien des Baskerville

    Au cours de quel siècle ce roman a-t-il été publié ?

    17ème
    19ème
    20ème

    10 questions
    666 lecteurs ont répondu
    Thème : Sherlock Holmes : Le Chien des Baskerville de Sir Arthur Conan DoyleCréer un quiz sur ce livre

    {* *}