Mourir est tout simplement déménager dans une plus belle maison, symboliquement s’entend].
Dans le langage que j’utilise pour de très jeunes enfants mourants, je dis que la mort physique de l’homme est identique à l’observation que nous pouvons faire lorsque le papillon quitte son cocon. Le cocon et sa larve sont le corps humain passager. Ils ne sont toutefois pas identiques à vous, n’étant qu’une maison provisoire, si vous pouvez l’imaginer ainsi.
Au lieu de penser que tout se termine avec la mort physique, nous prenons en compte maintenant l’existence de la vraie vie qui nous attend tous. Nous savons que nous sommes ici pour apprendre, pour évoluer spirituellement et nous préparer à retrouver nos êtres chers, dans cette autre vie qui est la vraie vie.
Rien n’est plus dangereux que de jouer au spiritisme chez soi, par amusement, par défi ou par besoin. En voulant faire tourner les tables et bouger les verres, en offrant le crayon qu’on tient à des mains invisibles, on sollicite en premier lieu les esprits bloqués sur terre par le matérialisme qu’ils ont développé de leur vivant ; on conforte les âmes emmurées dans leur refus de quitter ce monde « solide » qui seul existe encore pour elles.
Les « révélations » me gonflent autant que les « prophéties » : nous sommes sur terre pour réfléchir, pas pour savoir.
...si les gens ont choisi de naître malheureux, pauvres et malades dans cette vie parce qu’ils étaient méchants dans celle d’avant, alors pourquoi les soulager du fardeau nécessaire à leur évolution ?
C’est l’émotion des parloirs quand les visites s’achèvent et que les détenus regagnent leur cellule. Reste à savoir qui purge sa peine et qui est libre…
Ce n’est pas tant qu’elle soit précoce, ni qu’elle ait sauté des classes ; elle dit elle-même que ce qui la stimule, lui « donne des ailes », c’est notre façon tonique de croire en sa survie, de penser à elle au présent, de l’associer à nos joies.
Ce n’est pas tant qu’elle soit précoce, ni qu’elle ait sauté des classes ; elle dit elle-même que ce qui la stimule, lui « donne des ailes », c’est notre façon tonique de croire en sa survie, de penser à elle au présent, de l’associer à nos joies.
Mieux vaut accepter d’avance d’être attaqué pour des propos qu’on a tenus, plutôt que de se défendre contre ceux qu’indûment l’on vous prête.