DEUX : Mais alors, comment vous rendez-vous compte que c'est dans votre tête ?
UN : Je m'en rends compte, parce que c'est dans ma tête que ça se passe.
Mais mon père trouvait que j'avais trop mauvaise mine, toujours. Je n'avais pas assez de couleurs pour réussir dans l'aquarelle. Mon père me disait : va-t'en de là, tu es trop pâle, mon petit, tu ferais moche.