Richter, qui ignorait alors que rien n'importune plus Mozart qu'une parole sur sa musique, osa dire toute son admiration.
— Mon Dieu! combien j'en bave, comme je me donne du mal et pour n'obtenir aucun succès! et vous, mon ami, vous n'en faites qu'un jeu!
— Oh! dit alors mon mari, moi aussi j'ai dû me donner du mal, pour n'avoir plus, aujourd'hui, à m'en donner.