Le bonheur, c'est facile, mais apprendre à ne pas être malheureux peut se révéler difficile.
Il est indiscutablement plus facile de se décrire que de se modifier.
Il est plus facile de regretter que de se transformer.
S'affranchir de son passé implique des risques.
La nature humaine, cela n'existe pas. Le but de ce concept est de classer les gens et de leur donner des excuses.
Il est fort possible que vous souffriez d'une infection de dénigrement de soi dont le seul traitement connu est une injection massive d'amour de soi.
L'échec n'existe pas. C'est simplement l'idée que quelqu'un se fait de la manière dont il aurait fallu accomplir telle ou telle action.
Tirer la leçon des erreurs que l'on a commises est sain, c'est une indispensable condition de notre épanouissement. Le sentiment de culpabilité, en revanche, est malsain parce que l'on gaspille son énergie dans le moment présent à cause d'un événement passé qui vous ronge et vous démoralise.
Vous contrôlez vos sentiments en agissant sur les pensées qui les ont précédés. Vous seul pouvez améliorer votre sort, vous seul pouvez vous rendre heureux.
S'accepter soi-même, c'est aimer son être physique en bloc en éliminant l'imposture des images culturelles ou plus simplement, c'est tolérer son corps quand il en prend à son aise avec les préceptes de la cosmétologie.
Bref, vous croyez qu’on vous rend malheureux, mais c’est inexact. C’est vous-même qui vous rendez malheureux par ce que vous pensez des gens et des choses qui entrent dans votre vie. Devenir un être libre et sain exige d’apprendre à penser autrement.
Toute fonction normale de la vie contient une part de joie.
Les gens qui rencontrent le plus vaste consensus semblent être ceux qui ne quémandent jamais l'approbation, qui ne s'en soucient pas et qui ne cherchent pas à l'obtenir.