Une histoire de Sex, drogue et rock and roll. Une jeunesse dorée décadente, nihilistes.
Ce qui était pertinent à l'époque ou fut écrit le récit m'apparaît maintenant comme déjà vu milles fois et le côté subversif semble surjoué.
Ce texte commence à dater un peu et de l'encre à coulé sous les ponts depuis. Bref je suis resté hermétique à ce récit que je me suis forcé à finir bon grès mal grès et une fois la dernière pages tournées je me suis dit : alors c'est ça Bret Easton Ellis ? cela dit le titre annonçait déjà la couleur...
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Je n'ai pas compris l'intérêt de ce livre, si quelqu'un ici qui a aimé ce roman peut m'expliquer, je veux bien comprendre. Pour moi, il ne se passe absolument rien. C'est le vide. Je l'ai lu en entier car je me le suis offert en vacances à Los Angeles, je cherchais à la base en roman avec L.A en décor de fond et c'est un libraire qui me l'a conseillé. Ce monsieur m'avait dit que l'histoire était assez "hard". Oui il y a du hard mais ça ne peut pas être le seul intérêt ?
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on boit, on sniffe, on zone, on dort, on baise, on sniffe, on zone, on boit, on dort, pourquoi pas ? Mais ici tout sonne toc, c'est vide, le style est naze, ultra narratif, ça pue l'artifice, BEE aime à préciser à chaque entrée d'un personnage dans la scène la liste des marques de ses vêtements, livre inutile, je passe mon tour.
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"J'ai débarqué, je suis allez chez X, il y avait Y et Z, on a bu, on s'est drogué, on a baisé, on s'est réveillé le lendemain avec la langue collée au palais. Puis on est allé chez Z, il y avait Y et X, on a bu, on s'est drogué ect..."
Après 50 pages à tourner en rond de cette manière j'ai laissé tomber, merci bien.
C'est simplement le récit de gosses pourris gâtés qui noient leur mal-être existentiel dans la drogue et le sexe, avec des sursaut de sensibilité ou d'humanité où l'on tombe dans le Holden Caulfield en moins bien écrit.
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