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Critique de RChris


Madame Economopoulos explique à Gaby (Gaël Faye enfant) : “(Les livres) sont les grands amours de ma vie. Ils me font rire, pleurer, douter, réfléchir. Ils me permettent de m'échapper.”
Vous est-il arrivé qu'un livre qui possède toutes les qualités pour vous permettre de vous échapper ne le fasse pas ?
Ce fut le cas pour moi avec la première partie de “Petit pays”.
Est-ce parce que j'avais déjà lu “génocidé” de Révérien Rurangwa et “Là où le soleil disparaît - autobiographie” de Corneille ?

Bien sûr, je ne suis pas resté insensible au retour du Rwanda de la mère de Gaby, ni à l'incendie volontaire mis à la voiture avec un homme prisonnier dedans.
Non, on ne peut pas être “blindé” devant cette atrocité du génocide des Tutsis au Rwanda qui échappe à l'entendement.

Mais il est des jours où votre état d'esprit n'est pas réceptif à un récit dramatique, ne pouvant déclarer comme Gaël Faye à propos de son roman : “Et les livres, mes amis, repeignaient mes jours de lumière.”
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