Extrait du blog :
À la fin de la lecture d'
Amazone de
Maxence Fermine, on ressort avec une sorte de légèreté, une furieuse envie de partir voir le monde, rencontrer des gens et connaître leur histoire. La poésie de ce roman allège le quotidien, allège tout. C'est la signature de
Maxence Fermine. Les mots semblent flotter au dessus de la page et on flotte avec eux comme dans un rêve cotonneux. Il faut le souligner car c'est une expérience rare que la lecture d'un roman de
Fermine dont le style se rapproche plus du conte que du roman.
Et cette fluidité, elle est là car l'auteur choisi d'aller à l'essence de son histoire. Il distille son sujet et en extrait le parfum, l'essence. Il ne cherche pas à meubler pour obtenir un roman de 350 pages standard. Il délivre son histoire, ne brode pas, ne dilue pas. Il n'y a rien à enlever, rien à ajouter, tout est essentiel.
Si je devais mettre une hiérarchie, je dirais qu'
Amazone n'est pas mon préféré.
L'Apiculteur est en tête avec
le violon noir. En revanche, j'ai pris plus de plaisir qu'avec
Tango Massaï ou
Opium. Mais ça se joue à la photo finish !
Lien :
http://livrepoche.fr/amazone.. Commenter  J’apprécie         10