Si la mort, dans la sphère publique, est l’objet d’un dévoilement total à travers le voyeurisme malsain des médias, elle reste un tabou réel dans la sphère intime.
Le dernier sommeil, la Faucheuse, la Camarde, la Parque, peu importe le nom – je lui préfère le grand sommeil –, entretient toujours, pour la plupart des humains, son mystère et on évite soigneusement de trop la malmener pour soi. L’inexplicable fait peur, le non résolu implique par définition une ...
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