Il y a eu la « période d'existence » dans
Indépendance (
Independance Day) et ici, dans L'état des Lieux (The Lay of the Land), «il y a la période de permanence».
Série Frank Bascombe
Un week-end dans le Michigan ; trad.
Brice Matthieussent. ( C'est Pâques. )
Indépendance ; trad.
Suzanne Mayoux. ( C'est le 4 juillet. )
L'état des Lieux ; trad.
Pierre Guglielmina. (c'est le jour de l'Action de grâces. )
En toute franchise ; trad.
Josée Kamoun. ( C'est Noël. )
Troisième Bascombe dans une série de quatre romans avec autant de traducteurs.
Page 184, le traducteur a rendu ce qui suit :
[ … ] Paul's right eye orbit isn't the
exact shape as his left one, due to a baseball beaning injury years
ago. His sclera is slightly but permanently blood-mottled, and the
tender flesh encircling the damaged eye glows red when he gets
angry. [ … ]
par :
[ … ] L'orbite de l'oeil droit
de Paul n'a pas exactement la même forme qu celle de gauche,
à cause d'un coup de batte de baseball, il y a des années. Sa
sclérotique est légèrement, mais définitivement, tachée de sang,
et la chair tendre qui entoure l'oeil abîmé prend une lueur
rougeâtre quand il se met en colère. [ … ]
Ce que je trouve offusquant ( comme si le traducteur n'avait pas pris la peine de lire les autres romans de la série Bascombe )
c'est de savoir que ce n'était pas une batte mais bien une balle que Paul a reçue dans l'oeil lors d'un tir de balle automatisé au Temple de la renommée du baseball à Cooperstown, NY.
Pareil pour le nom de Wade Arcenault, le père de Vicky, qui a été remplacé par Arsenault dans la traduction de ce troisième opus alors que dans les autres il était demeuré Arcenault.