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À l'occasion d'une Masse Critique de Babelio, Sequencity, libraire numérique de bandes dessinées (BD, comics, mangas), proposait lui aussi quelques titres, et j'ai pu découvrir grâce à eux un des volumes qui relancent la production de Glénat Comics : le premier tome de Sex Criminals, série de Matt Fraction et Chip Zdarsky, débutée en 2014 chez Image Comics.

Suzie et Jon ont une chose en commun, et c'est la très bonne idée de départ même si elle est bien étrange de but en blanc : quand ils sont excités, en approche ou en cours d'orgasme, tous deux peuvent figer le temps ! Rien de moins ! de la découverte de leur pouvoir à la mise en oeuvre de ses applications, en passant par leur « tendre » rencontre, ce premier tome installe déjà beaucoup d'éléments de contexte et de psychologie des personnages principaux. Rapidement, le parallèle avec un Bonnie & Clyde très sexualisé est bien présent, sachant que leurs justifications sont quand même un peu « de bas étage », mais passons.
L'intérêt de ce premier volume est, certes de mettre en pratique l'apparition des pouvoirs en question, mais surtout de contextualiser cette apparition. Ainsi, on remarquera un usage intéressant de la psyché adolescente, notamment féminine puisque nous avons d'abord et avant tout une héroïne, au moment où l'on découvre son corps et sa sexualité. En parallèle, la démarche d'aller et venir entre divers flashbacks et le présent se révèle un brin ennuyeuse, mais Matt Fraction n'a pas dû trouver mieux pour mêler l'action du présent aux explications du passé.
Au dessin, Chip Zdarsky nous offre une prestation particulièrement… … « joliette », désolé je ne trouve pas mieux ! Il gomme les détails pour favoriser les expressions pour créer des personnages tout de suite attachants, même s'ils ont davantage l'air banals qu'extraordinaires. de plus, la colorisation consiste avant tout en des à-plats de couleur vive, ce qui accentue l'aspect drolatique de certaines scènes.

Sex Criminals est une série qui développe un concept de départ très intéressant et ce premier tome lance comme il convient l'intrigue générale ; l'humour et les personnages aident à bien s'intégrer dans une histoire qui pourrait rapidement tourner en rond sans ces qualités.

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Délicieusement... sexy. Comics sans tabou ni censure, qui parle très crument du sexe et est utilisé comme outil pour arrêter le temps. Suzie et Jon peuvent arrêter le temps au moment de l'orgasme. Etonnant n'est-ce pas ? le plus étonnant serait de ne pas s'en servir pour des fins utiles...
Début un peu complexe avec Suzie en narratrice extérieure à l'histoire et en même temps, voisine de l'action passée. J'ai mis un peu de temps à l'accepter en tant qu'élément du décor. le passage entre passé et présent est un peu flou mais le suspens monte doucement pour arriver à un moment qui devient très palpitant. de la découverte de son corps adolescent à la femme affirmée, Suzie raconte sa vie sexuelle, surtout de façon très directe. On en apprend aussi pas mal sur Jon... Comment nos "sexual heroes" vont-ils aborder la suite de leur relation, de leur collaboration ? Hummm... j'ai hâte de savoir la suite.
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Suzie est une jeune adolescente qui découvre son corps, et oh stupeur, lorsqu'elle a un orgasme le temps s'arrête. Évidemment elle se pose plein de question mais visiblement elle est la seule à qui se phénomène bizarre arrive. Enfin c'est ce qu'elle pensait jusqu'à ce qu'elle rencontre Jon et que tout deux s'aperçoivent qu'ils ont le même secret. Et s'ils en profitaient. Quand le temps s'arrête pour les autres mais pas pour nous, on peut faire plein de chose à leur insu... crier sur sa mère alcoolique pour se défouler, déféquer dans une plante verte pour se venger ou alors... braquer des banques.

L'idée de départ était originale mais j'ai eu beaucoup de mal à accrocher à cette bande dessinée. je sais pourtant qu'elle a était encensée par les critiques et que beaucoup de personnes se sont régalées en la lisant. Mais pour moi le charme n'a pas opérée. Malgré un érotisme plutôt bien maitrisé : effectivement les nombreuses scènes de sexe restent toujours soft et on bascule rarement dans le vulgaire.
Alors la faute à quoi? Un démarrage longuet et poussif pour ma part. La découverte du phénomène par nos deux protagonistes dans leur adolescence est peu entrainant. Il a surement pour but de faire connaissance avec nos héros mais j'ai eu autant de mal à accrocher à la Suzie ado qu'au Jon ado. Je préfère de loin leur version adulte.
Les dessins, bien que plutôt expressifs, avait parfois du mal à me captiver. le coté comics surement. Il y a une certaine répétition dans le cadrage des fois aussi. Pourtant la colorisation est plutôt sympa. Les effets de lumière lorsque les héros sont "dans le grand calme" sont bien trouvés.
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J' entendais beaucoup parler de Sex Criminals, surtout en bien, mais n'osais pas me lancer, notamment parce que le scénariste Matt Fraction souffle le chaud et le froid chez moi, de ce que j'ai pu lire de lui. Autant son travail sur Hawkeye ou Iron Fist sont de qualité, autant je suis nettement moins fan de son passage sur les 4 Fantastiques ou Fearless chez Marvel.
Mais avec un pitch aussi barré et de telles éloges, c'était obligé de m'y mettre un jour où l'autre. Je me suis dit que la Saint Valentin était un bon jour pour.

Et à vrai dire cela faisait très longtemps que je ne m'étais pas autant bidonné devant une BD.
C'est méchamment drôle, tout en arrivant à être extrêmement prenant, addictif, touchant par moments et intelligent.
Les deux personnages principaux sont tout de suite attachants, notamment dans leur découverte de leur pouvoir (et qui passe par leur découverte de leur sexualité), renvoyant en même temps chacun à ses propres expériences et découvertes.
On a affaire à une narration non-linéaire, alternant passé et présent, mais toujours cohérente et compréhensible, intelligemment faite, et qui sait briser le quatrième mur quand il le faut de la bonne façon.
Les dialogues sont au poils et délivrent quelques pépites d'humour, mais savent se montrer toujours justes et réalistes. L'histoire fait également passer quelques messages pertinents mine de rien, sur les tabous et la culpabilisation des jeunes face au sexe, que cela vienne du cercle familial ou scolaire, sur le consentement et le viol, ou encore, dans un tout autre registre, la défense des livres et de la culture.
Les dessins peuvent paraître simplistes ou minimalistes, mais il y a une vraie intelligence dans leur composition, en parfait accord avec la narration, et de magnifiques effets quand on rentre dans le Grand Calme (ou le Foutoir/Cumworld, à vous de choisir).
Je suis en revanche moins fan des passages sur la police sexuelle, qui vient casser ce côté réaliste installé, et aux designs décalés qu'on pourrait croire sortis des pages de The Boys, une autre série de comics que j'apprécie néanmoins.

Bref, c'est frais, drôle, prenant, intelligent, grave et touchant, le tout savamment dosé, et ça fait un bien fou de lire ça.
Assurément la meilleure lecture de Saint Valentin possible. Et je n'attendrai pas l'an prochain pour lire la suite.

Ce n'est pas l'ouvrage le plus facile à emmener dans les transport en commun, mais ça vaudrait le coup juste pour voir la réaction des gens lisant par-dessus votre épaule.
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Sex criminals n'est pas à confondre avec des crimes de sexe. Non, là c'est plutôt l'acte sexuel qui suspend le temps ce qui permet par exemple de braquer une banque. On peut faire un tas d'autres choses mais non, on est bien dans l'esprit criminel de voler l'argent qui ne nous appartient pas afin de bâtir des projets. Les banques ont bon dos car elles profitent déjà allègrement des clients nous dit-on alors, on peut se servir. Je n'aime pas trop ce constat de base qui relève de la psychologie de comptoir mais passons puisque certains éditorialistes n'ont pas hésité à crier au chef d'oeuvre. Prix Eisner 2014 de la meilleure nouvelle série tout de même !

Visiblement, il n'y aura qu'une seule idée originale autour duquel ce comics est bâti. Mon épouse a lu les premières pages avant moi et a stoppé net en m'indiquant que c'était spécial. J'ai pensé qu'elle exagérait un peu mais ce ne fut malheureusement pas le cas. J'aurais pu également suspendre ma lecture mais je me devais de lire jusqu'à la dernière case. Ma technique est de lire par petit bout chaque jour pour atténuer le calvaire. Voilà où mène la curiosité d'un titre et d'une couverture hautement racoleuse...

La morale sera tout de même sauve grâce à la police du sexe qui débarque de l'entre-temps pour mettre fin aux agissements de nos deux héros Suzie et Jon. Il n'en reste pas moins de nombreux mystères qui ne seront pas élucidés dans ce premier tome. J'avais envie d'y croire car le graphisme m'est apparu plutôt sympathique. La construction demeure beaucoup trop artificielle.

La suite se fera sans moi. Je suis réellement désolé. On est allé trop loin dans les supers pouvoirs en l'occurrence la capacité de geler ce qui nous entoure lorsqu'on a un orgasme ou une éjaculation précoce. Jusqu'où iront-ils ?!
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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il contient les épisodes 1 à 5 initialement, parus en 2013/2014, écrits par Matt Fraction, dessiné et encré par Chip Zdarsky, mis en couleurs par Becka Kinzie, Christopher Sebella et Zdarsky.

Le premier épisode permet de faire connaissance avec Suzanne, une jeune femme entre 25 et 30 ans. Les différentes séquences la montrent à des âges différents, à des moments importants de sa vie, dans lesquels elle apparaît également en tant qu'adulte qui commente ce que fait son moi plus jeune, offrant ainsi des réflexions rendues savoureuses par le fait qu'elle connaît les conséquences de ces moments. Suzie a éprouvé son premier orgasme sexuel alors qu'elle prenait un bain. Il y a fallu plusieurs années pour comprendre que l'arrêt de l'écoulement du temps pendant une certaine durée est un phénomène qui n'a rien de normal et qui ne se produit pas pour d'autres personnes.

Dans le deuxième épisode, elle rencontre Jonathan, un jeune homme de son âge, qui déclenche le même phénomène au moment de l'orgasme. Après la jouissance, tout est figé dans le temps autour de lui, mais lui peut encore se mouvoir et agir normalement.

Suzanne travaille pour une bibliothèque qui va devoir fermer pour des raisons économiques. Jonathan lui propose d'utiliser leur extraordinaire capacité pour voler de l'argent afin de sauver le fond de la bibliothèque.

Ce tome commence avec Suzanne et Jonathan en train de faire l'amour dans les toilettes publiques d'un lieu indéterminé. Dès cette première séquence, les auteurs montrent qu'ils ne plaisantent pas avec leur titre : il sera réellement question de relations sexuelles, en acte comme en parole. Ils adoptent une narration relativement peu explicite d'un point de vue visuel. Il s'agit plus d'érotisme soft que de pornographie. Il n'y a pas de doute sur ce que font les personnages, mais il n'y a pas de gros plan de pénétration, très peu de dessin d'organe sexuel (moins d'une demi-douzaine, et plus d'homme que de femme), une ou 2 poitrines féminines à l'air, et un peu plus de fesses. Il n'y a donc pas vraiment de quoi se rincer l'oeil, ce n'est pas une bande dessinée que l'on lit d'une seule main. le corps de la femme n'est donc que rarement réduit à un simple objet du désir, et moins de fois que celui de l'homme.

Pourtant la sexualité est bel et bien abordée, et de manière graphique. Fraction évoque la découverte du plaisir sexuel par Suzanne dans son bain, Zdarsky montre le filet d'eau chaude dans une chaude lumière reliant ainsi l'écoulement des fluides. L'une des premières fois où Jonathan éjacule, il contemple ses gouttes de sperme figées dans l'air (le temps s'étant arrêté). À plusieurs reprises, l'histoire amène les personnages à déambuler dans un sex-shop (au nom certainement réprouvé par les critères de bienséance du présent site), les dessins montrant dans le détail tous les types d'articles (du vibromasseur à ce genre de produit, en passant par les menottes).

D'un point de visuel, ce tome est un vrai régal, très agréable à l'oeil. Chip Zdarsky réalise des planches comportant une moyenne de 8 cases par page, ce qui est un nombre assez élevé pour des comics. Il dessine de manière réaliste, avec de nombreux détails, et la présence d'arrières plans dans plus 3 cases sur 4. Il réalise lui-même les couleurs, avec l'aide d'assistants qui lui délimitent chaque zone bénéficiant d'une couleur particulière. Il adapte sa palette à chaque objet, sans chercher à donner une couleur dominante par séquence. Il utilise régulièrement des couleurs vives et gaies, sans transformer ses planches en pages pour enfants en bas âge. Dans 2 pages en fin de tome, il explique le processus de la mise en couleur, en commençant par des aplats uniformes, puis en ajoutant des effets spéciaux, en particulier lors des suspensions de temps.

De scène en scène, le lecteur découvre toute l'étendue du talent de Zdarsky. S'il prend soin de décrire minutieusement l'environnement de chaque scène, il ne surcharge pas ses cases. Il introduit également une forme de légère exagération dans les expressions des visages, ou de simplification (telle qu'un simple trait pour figurer 2 lèvres pincées). de ce fait, ses personnages sont très expressifs, sans en devenir caricaturaux, leur ajoutant ainsi un degré de vitalité, les rendant plus plaisant. le lecteur plonge donc dans un récit d'une grande richesse visuelle, entièrement au service de la narration, jamais juste pour épater les mirettes.

Matt Fraction entame son récit avec une situation périlleuse pour les 2 personnages principaux, afin d'être sûr d'accrocher le lecteur par la promesse d'un peu d'action. Les 3 premiers épisodes sont essentiellement consacrés à l'histoire personnelle de Suzie, puis celle de Jonathan, puis des débuts de leur relation. Matt Fraction raconte avec franchise et une forme de candeur sans pudeur ni niaiserie, leur découverte de la sexualité (leur première fois en solitaire), puis leur découverte de leur capacité singulière (ce qui n'a rien d'évident de demander à quelqu'un si le temps s'arrête pour lui juste après la jouissance). le dispositif narratif consistant à faire commenter leur souvenir respectivement par Suzie et Jonathan, introduit un regard adulte et bienveillant sur ces événements.

Outre la tension née de la connaissance de cette situation périlleuse qui attend les 2 personnages principaux dans le futur, la narration de Fraction dépasse le simple cadre d'une sitcom. Pour commencer les dessins de Zdarsky crée une réalité riche et attractive, équivalente à une sitcom au budget illimité (presque un oxymore). En outre Fraction utilise un ton léger, intègre différentes formes d'humour (des taquineries verbales, à une relation intime à la saveur dérisoire du fait du fond sonore, à savoir un CD d'Esteban), manie avec dextérité les provocations (inoubliables furetages dans le sex-shop), et ajoute un zeste de culture. Suzie raconte une blague relative à Thomas Pynchon (par exemple Vice caché). Jonathan cite le texte de Lolita de Vladimir Nabokov. Enfin, il manie avec habilité des formes de style élaborées. Par exemple, lorsque Suzie chante "Fat bottomed girls" de Queen (extrait de l'album Jazz), il y a des post-it sur les phylactères. Dessus, Fraction explique qu'ils n'ont pas obtenu le droit d'utiliser les paroles (cela rappelle des expérimentations narratives de même nature qu'il avait réalisées dans le tome 2 de Casanova Gula).

Lors des 2 derniers épisodes, Suzie et Jonathan mettent en oeuvre leur projet de cambriolage, ce qui les met face à une certaine Kegel, l'action reprend ses droits, sans que le récit perde en humour. le temps passé à apprendre à connaître Suzie et Jonathan induit une empathie totale pour eux et pour la réussite de leur projet.

Le titre de ce tome est entièrement exact. Matt Fraction et Chip Zdarsky présentent au lecteur un couple ayant une vie sexuelle bien remplie et s'apprêtant à commettre un crime. de plus ils ont la capacité l'un et l'autre de réaliser un truc bizarre (weird trick). Zdarsky réalise des dessins à l'apparence mignonne et séduisante, sans rien sacrifier des détails ou de l'expressivité des personnages. Fraction embarque le lecteur dans une comédie traitant de vie sexuelle de manière franche et décomplexée, sans voyeurisme malsain ou complaisant.
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Suzie est une jeune femme pour qui le sexe arrête le temps. Elle ne sait pas à qui en parler jusqu'au jour où elle rencontre Jon qui a exactement le même "pouvoir". Ils vont profiter de cette particularité pour cambrioler des banques et notamment celle qui a décidé de fermer la bibliothèque où travaille Suzie. Une histoire très originale, un dessin très comics, un excellent début.
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Sous couvert d'un synopsis un peu tordu et racoleur, Matt Fraction ("The Invisible Iron Man", "Hawkeye") a su poser les bases d'un comic beaucoup plus élaboré qu'on pourrait penser au premier abord, son histoire commence par un récit intimiste sur l'adolescence de Suzie et sur sa découverte de la sexualité, cette dernière se positionne en narratrice de sa propre histoire...
Lien : http://psychovision.net/bd/c..
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Premier volume de la série Sex Criminals intitulé Un coup tordu de Matt Fraction et Chip Zdarsky. Une sorte de Bonnie & Clyde porté sur le sexe, mais pour la bonne cause ! Deux jeunes gens, Suzie, bibliothécaire et Jon, agent bancaire ont un secret. Dès qu'ils font l'amour, le temps s'arrête littéralement.
Tous les deux ont des tonnes de problèmes à surmonter : la bibliothèque de Suzie menace de fermer et Jon subit des brimades au boulot. Rien ne disposait à leur rencontre et pourtant, ils vont découvrir que le pouvoir d'arrêter le temps en faisant l'amour est capable de leur ouvrir un avenir plus acceptable. Ils souhaitent sauver la bibliothèque et se venger du patron de Jon. Mais les solutions choisies ne vont pas les mettre à l'abri des ennuis. Et l'irruption d'une police du sexe fait habilement basculer le récit dans l'anticipation sociale.

Suffisamment cocasse, un tantinet coquin (tout cela reste très prude visuellement, la censure morale américaine veille !), impertinente à souhait, cette série démarre bien. Elle a remporté le très convoité Eisner Awards de la meilleure nouvelle série à la San Diego Comic Con 2014 et a été par ailleurs élue meilleure nouvelle série par le quotidien USA Today et le comics de l'année par le prestigieux Time Magazine !
À suivre...

Lien : http://legenepietlargousier...
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