L'auteur nous raconte la naissance et les premiers mois de ses jumeaux Gaston et Arthur, grands prématurés. Arthur ne survit pas. En parallèle, une biographie de
Flaubert. Oui, c'est surprenant, mais c'est le seul moyen que trouve l'auteur, fan de
Gustave Flaubert, pour surmonter sa douleur.
J'ai trouvé tout cela très décousu. La transition entre
Gaston et Gustave est difficile, j'ai eu beaucoup de mal à m'intéresser à
Flaubert, tombant comme un cheveux dans la soupe. L'auteur, lui n'a de cesse de comparer son cheminement à celui de son idole. S 'il s'était agi de Cloclo et non de
Flaubert, aurait-on parlé de ce roman?
Sinon, une bonne plume. Peut-être un peu trop froide et distante à mon goût.