Ma poursuite de l'aventure zombie continue alors que je n'arrive toujours pas à mettre la main sur le fameux Walking Dead qui serait un chef d'oeuvre du genre et donc la référence suprême.
En l'espèce, j'ai été attiré par la couverture qui ressemble à ces vieux films des années 50. Cependant, la matière m'a un peu déçu car le concept de coexistence des morts-vivants avec les vivants ne m'a pas trop emballé. Par ailleurs, c'est hautement satirique. La dérision n'a jamais été mon point fort.
Au final, même si je reconnais qu'il y a ici et là des choses amusantes, ce traitement de l'univers zombie ne m'a guère plu.
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Loin de respecter le genre du récit de zombie, Frissen nous offre des histoires par épisodes dans l'exercice de style qu'il préfère : le dérapage contrôlé. Multipliant les personnages barges et allumés, il n'hésite pas à repousser, chapitre après chapitre, les limites du mauvais goût qu'il a lui-mêmes fixées
Lire la critique sur le site : Actualitte
Le scénariste s'applique à mélanger l'humour noir et l'horreur à ses récits. C'est vrai que c'est drôle, malgré quelques passages assez difficiles. [...] Il a su créer des personnages totalement loufoques auxquels on s'accroche. Il se moque aussi de notre civilisation et du système de consommation.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Une bonne tranche de rigolade par l’auteur de Lucha Libre, qui redonne un peu de légèreté à ces zombies qui, dans l’histoire, sont relativement moins cons que les vivants (ce qui n’est pas l’exploit du siècle, j’en conviens volontiers). En clair, ça vaut grave le détour.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Tu vas encore avoir le culot de me dire que tu vas travailler !
Même si c'est vrai, ça ne doit pas être un travail honnête.
Si ton père vivait encore, ça ne se passerait pas comme ça.
Attends qu'il revienne !
Non, Dave, je ne suis pas d'accord. Je te l'ai déjà souvent dit et répété : on ne tire plus sur grand-père.