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3,99

sur 75 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
« Folie d'une femme séduite » a l'étoffe d'un grand roman classique de la passion amoureuse, l'intensité de l'histoire happe le lecteur du premier au dernier chapitre.

Agnès Dempster alors femme d'un grand âge, narratrice et héroïne de ce roman, adresse ses mémoires à son amie Margaret, elle évoque son histoire hachurée d'événements tragiques dans un récit entrecoupé de retour en arrière et retour au présent. Tout en se confiant Agnès s'analyse et essaie de comprendre sa vie. A-t-elle été maître de son destin ou la fatalité est-elle inéluctable !...

Au XIX siècle au coeur du Vermont, Agnès jeune fille de 17 ans d'une beauté parfaite, éprise de liberté, mais surtout tourmentée par les affres de ses parents dont le passé douloureux pèse sur leur quotidien), décide de quitter la ferme familiale afin de s'exiler en ville.
Elle s'installe dans une auberge et trouve rapidement un travail de couturière. Fascinée par le milieu citadin, Agnès se libère, s'épanouit et fait la connaissance de Franck tailleur de pierre.
Très attirée par ce dernier, la jeune fille en tombe atrocement amoureuse, de cet amour naît une passion obsessionnelle qui hante toute son âme et son être jusqu'à s'y perdre. Dorénavant Agnès ne respire et ne vit que pour Franck. L'exclusivité de cet amour la fait vaciller dans une délirante exaltation, elle idéalise son bien aimé et lui voue un culte démesuré. Afin de pouvoir garder Franck elle va jusqu'à sacrifier l'enfant qu'elle porte de lui.
Franck étouffé par cet engouement amoureux prend peur et la quitte. Il retrouve la douce Jane un ancien amour avec laquelle il aspire à une vie équilibrée, sécurisée et sereine.
Mais cette rupture plonge Agnès dans un profond abîme et lui déclenche une névrose qui gangrène son état psychologique, elle sombre au fil des jours dans une folie qui lui fera commettre l'irréparable.

Inspirée d'un fait réel, Susan Fromberg schaeffer nous confronte à travers l'héroïne aux ravages et dévastations de la passion amoureuse, elle dénonce les conditions barbares et anachroniques de l'internement psychiatrique mais également l'impuissance des plus démunis face au système judiciaire de l'époque.
Dans un style pittoresque, l'auteure dépeint les paysages comme sous l'effet d'un pinceau, sa plume est d'une magie époustouflante, sa faculté à exprimer avec grandiloquence l'obsession, la possession et la folie provoquent chez le lecteur des frissons d'effroi et l'héroïne Agnès nous marque par son amour extrême pour Franck.
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Plus qu'un coup de coeur, ce roman m'a complètement retournée, il m'a possédée, hypnotisée, séduite. Un coup de foudre ! Une passion ! 1110 pages (édition France Loisirs) englouties en 2 jours. Impossible de le lâcher, même la nuit !
La crainte qu'on pourrait avoir avant de se plonger dans Folie d'une femme séduite, ce serait d'avoir affaire à un de ces romans à l'eau de rose mièvre et niais. Mais, on en est très loin.

Le roman se présente sous la forme d'une longue lettre écrite par une Agnès âgée à celle qui l'aura accompagnée dans les moments pénibles de sa vie : son amie Margaret.
Elle y livre en quelque sorte ses Mémoires et reprend toute son histoire depuis le début, nous décrit son enfance, sa famille, le milieu dans lequel elle a grandit et nous dévoile ainsi les raisons qui l'ont poussée à fuir sa famille pour s'installer en ville.
Viennent ensuite le récit de sa relation avec Frank puis le drame et ses conséquences.
Le procédé de la lettre permet l'utilisation de la première personne du singulier en guise de narrateur, on entre ainsi dans la tête d'Agnès. Je me suis beaucoup identifiée à elle, nous trouvant nombre de points communs ce qui explique que j'ai pu être aussi bouleversée par cette lecture.

Susan Fromberg Schaeffer a écrit ce roman dans les années 1980 se basant sur un fait divers ayant défrayé la chronique à la toute fin du XIXème siècle. Elle nous transporte dans cette époque et on jurerait lire un roman classique digne des soeurs Brontë.
Elle nous dépeint le quotidien et la condition des femmes du siècle dont le destin et l'horizon se résument au mariage et aux enfants. Les femmes de la famille d'Agnès vont toutes vouloir se révolter contre cette fatalité et cet avenir qu'elles rejettent. Elles ont soif de liberté, de se sortir d'une « prison » dont elles ne veulent pas. Seule Agnès aura l'audace de vraiment s'en échapper encouragée par les exemples des vies désabusées de sa mère et sa grand-mère. Toutes sont en quête du bonheur. Mais quel est-il ce bonheur ? Comment être heureuse dans cette société qui laisse si peu de place aux femmes ?

A travers sa fuite, Agnès se cherche aussi. Elle veut s'affranchir de cet héritage identitaire que lui ont légué les femmes de sa famille. Sa rencontre avec Frank représente pour elle la possibilité d'une autre voie. Mais son amour se transforme vite en passion voire en dévotion. Et on assiste impuissant à la progressive perte de contrôle d'Agnès. Son amour pour Frank est si fort qu'elle en fait son unique raison de vivre jusqu'à s'oublier elle-même. Elle va jusqu'à vouloir fusionner avec l'objet de sa passion, lui confiant plus que son coeur, toute son âme.


La folie et la violence ( pas uniquement physique mais aussi psychologique) sont sous-jacentes durant tout le récit. On les sent à l'état latent lors de l'enfance d'Agnès. On les voit à l'oeuvre chez sa grand-mère et sa mère. La personnalité d'Agnès est profondément fouillée, le doute s'insinue parfois, est-elle vraiment folle ou simplement très naïve ? Peut-être les deux ? La frontière est parfois très ténue entre l'amour-passion et l'amour-folie. le lecteur s'embrouille, tour à tour Agnès agace le lecteur ou suscite sa compassion.

Chaque personnage est parfaitement dépeint, on ne peut que s'attacher à eux. Susan Fromberg Schaeffer les fait évoluer dans des décors magnifiques et tellement réalistes. On s'y croirait !
Les descriptions des paysages sous la neige sont sublimes, cette neige qu'on retrouve souvent tout au long du récit, celle qui gèle l'activité et les mouvements des hommes les emprisonnant chez eux tout comme Agnès s'enferme dans son amour pour Frank.

Les parties relatant le procès et l'internement d'Agnès sont tout aussi passionnantes. On fait la connaissance de Maître Kingsley, l'avocat chargé de la défense d'Agnès, ainsi que du Dr Train qui sera amené à décrire le cas d'Agnès comme exemple d'une nouvelle forme de folie qu'il nommera la « Folie de la femme séduite ».
On a ainsi de belles pages sur la justice et l'état des recherches et des thérapies psychiatriques trop peu développées encore à cette époque.

Je n'ai trouvé aucun défaut à ce roman, tout sonne juste, les dialogues sont vivants, le style est limpide et agréable, les pages se tournent toutes seules.
Ce roman raconte la difficulté d'une femme à se trouver elle-même et à trouver sa place. Il est aussi l'illustration de la sempiternelle lutte entre l'amour-passion et l'amour-raison et pose la question de déterminer quel est le meilleur chemin vers le bonheur. Il n'y répond pas forcément mais en montre plusieurs exemples.

Un roman magnifique qui m'aura beaucoup marquée et que je garde en première place dans mon coeur. Je n'avais encore jamais été à ce point bouleversée par un roman.
Je ne peux que le recommander !

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Rarement un roman a produit cet effet sur moi. J'ai littéralement dévoré celui-ci, abandonnant tout pour le lire et ne pensant plus qu'à ça dès que j'avais deux minutes de temps libre. Pourtant peu adepte des romans d'amour, là, je me suis laissée embarquer dans l'histoire. Dès le chapitre d'exposition, on remarque que l'histoire va être peu commune puisque le roman s'ouvre avec l'abattage d'une vache par le père de l'héroïne, Agnès Dempster. le champ lexical de la violence et de la mort est bien présent et ce sont justement ces deux thèmes qui vont être non seulement les fils conducteurs de la narration mais encore tout ce qui va caractériser la vie de la narratrice.

Cette dernière nous raconte son enfance sous forme de flash-backs. Ainsi, le lecteur apprend qu'Agnès déteste son prénom, ce qui n'est pas anodin ici puisque dès les premières pages (page 35 ici) on peut déjà se dire que la psychologie va jouer un rôle primordial.

Sa mère, Helen Saltonstall, quitta le domicile familial à la mort du pater familias, Ed. Selon Agnès, « elle était persuadée que ma grand-mère avait tué ma mère (P69) ». le ton est donné ! Elle part alors dans la pension de famille d'une amie, Béa Brown. C'est là qu'elle rencontrera le père d'Agnès, Amon Dempster. Ils auront un premier enfant, un garçon, qui mourra à deux ans d'une épidémie de choléra. Helen ne s'était pas attachée à cet enfant car elle voulait une fille. Celle-ci arriva lors d'une tempête. Helen dut être accouchée par sa propre mère. Prénommée Majella, elle était qualifiée d'enfant magique. Elle était celle qu'Helen attendait par-dessus tout. Malheureusement, encore une fois, le malheur s'abat sur le jeune couple puisqu'à l'âge de 5 ans, alors qu'Helen faisait la lessive, la petite s'est faite tomber le chaudron bouillant sur elle. Helen tombe enceinte de son troisième enfant, Agnès. Celle-ci dira (P91) : « Comme le mauvais temps, j'approche. Songeant au passé, c'est ainsi que je vois mon arrivée : comme une subite attaque de chaleur, comme un ciel torride, et pas une goutte d'eau à espérer ». Comme on pouvait s'y attendre, la petite Agnès est rejetée dès sa naissance par sa mère. Pourtant, elle ne lui en voudra pas mais elle haïra sa défunte soeur. « Comment croire que je n'étais pas là durant ces jours torrides ? (…) Je n'existais pas encore, mais déjà j'avais besoin de réconfort car, déjà, leur souffrance m'habitait ». On comprend dès lors l'état psychologique de la narratrice et surtout le fait qu'elle n'aimait pas son prénom. Elle aurait voulu être Majella, ne pas être maltraitée par sa mère. Lorsqu'Eurydice, sa grand-mère, meurt, elle lui lègue tous ses biens. Agnès a 16 ans. Elle part, réglant ses comptes avec la figure génitrice. A Montpelier, dans le Vermont, elle réside à la pension d'Iris Trowbridge. Elle fait alors la connaissance de Charlie et, surtout, de celui qui lui fera perdre la tête, Frank Holt. Après un premier flirt avec Charlie, elle tombe dans les bras de Frank. Et, finalement, bien qu'elle se pense heureuse, elle met un doigt dans l'engrenage du malheur.

Je n'en raconte pas plus car ce serait dévoiler l'histoire. Ces quelques 800 pages se lisent avec une facilité déconcertante car on veut toujours en savoir plus. Bref, dès qu'on y met le nez dedans, on n'en ressort plus. L'histoire me rappelle, bien sûr, Les Hauts de Hurlevent d'Emily Brontë, ouvrage mentionné par ailleurs dans le roman puisque la narratrice le lira, mais aussi Madame Bovary de Flaubert et sa non moins excellente suite, Mademoiselle Bovary de Maxime Benoît-Jeannin. Et lorsque l'on sait que ce livre s'inspire d'une histoire vraie qui a défrayé la chronique au XIXe siècle, le charme opère d'autant plus.

A lire sans attendre !

Un grand merci à l'équipe de News Book ainsi qu'aux Éditions Belfond pour ce partenariat.


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Agnès était une magnifique jeune fille de 16 ans qui voulait vivre une vie exaltante. Pourtant, les premières pages du livre nous décrivent une femme qui vient de passer 40 années dans un asile psychiatrique.
Qu'a t'-il bien pu se passer pour que cette jeune fille pleine d'avenir en arrive là?

Ce pavé de plus de 700 pages nous raconte son histoire, et c'est alors qu'on découvre les envies et les émois d'une jeune fille du début du 20e siècle.

Agnès vivait dans une riche famille de fermier mais elle voulait connaître un destin plus palpitant, elle voulait vivre dans une ville, elle voulait y rencontrer des tas de gens différents, y découvrir des endroits merveilleux...

Une voyante lui ayant prédit qu'elle deviendrait célèbre, elle croyait que tout était possible...

Ce roman bouleversant nous décrit avec justesse les états d'âme d'une jeune fille bien ignorante en réalité et nous montre ce qu'un sentiment qu'elle croit être de l'amour peut engendrer...
Lien : http://soeursdouees.canalblo..
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Agnès Dempster a grandi dans la riche ferme familiale dans le Vermont. En cette fin de XIXème siècle où l'on méprise leur esprit, la vie des femmes est toute tracée : elles doivent accomplir leur destin biologique. Pour s'affranchir de cette malédiction féminine qu'ont subie avant elle sa grand-mère et sa mère, - Agnès ne veut pas d'enfant - et pour ne pas s'engluer dans cette toile d'araignée domestico-maternelle, elle décide de tisser la propre étoffe de son existence. A 16 ans elle part vivre à Montpelier.


Logée dans une pension de bonne réputation et engagée comme couturière-brodeuse, Agnès attire les hommes par sa beauté. Un tailleur de pierre gentil garçon, d'une grande force physique, protecteur, bien intentionné la courtise, mais elle n'a d'yeux que pour Frank Holt, beau et volage. Agnès est prise au piège d'un amour entier, exclusif, dévorant, qui la prive rapidement de son libre-arbitre avant de sombrer dans l'obsession maladive. Son exaltation délirante, la toute-puissance de sa passion aveugle la conduit à commettre un irréparable geste. C'est Agnès elle-même qui raconte son histoire, sous la forme d'une courrier-confession.


Ces quelques lignes ne peuvent évidemment pas résumer le roman foisonnant de Susan Fromberg Schaeffer, paru en 1983 et réédité en 2011 par Belfond. Etiqueté racoleusement par l'éditeur « roman culte qui a marqué des générations de lectrices », il serait dommage que Folie d'une femme séduite ne soit réduit qu'à un roman féminin-à-l'eau-de-rose. Car il s'agit d'un très grand roman d'une portée classique, à la thématique universelle, dont le style, l'ampleur, la puissance rivalisent avec ceux d'auteurs encensés. L'auteure a créé une héroïne attachante et poignante, dont le lecteur partage les souffrances, plongé dans son esprit perturbé. S. Fromberg Schaeffer raconte avec minutie la condition des femmes à la fin du XIXème siècle, insiste sur le poids de l'histoire familiale, décrit les prémices de la psychiatrie. Faute d'identifier chez Agnès aucune des formes de maladie mentale répertoriées dans les années 1900 - folie émotionnelle, impulsive ou compulsive – une catégorie est spécialement créée pour elle : la folie de la femme séduite, inconnue jusqu'alors, qui donne son très beau titre au roman. Après cette lecture, l'expression : « Je suis folle de lui », prend un sens cruel. Je laisse le dernier mot à Agnès : « Ne condamne pas les filles malades d'amour, car c'est à force d'aimer qu'elles sont malades ».
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619 pages dans l'esprit d'une femme des années 1900.

Je suis tombée sur de livre par hasard et le thème de la folie et de la jalousie me semblait intéressant. Ce n'est qu'après l'avoir terminé que j'ai découvert qu'il s'agissait d'un classique de la littérature romantique.
Mais quelle mauvaise qualification pour cette oeuvre!

On est plongé dans la campagne de la fin des années 1800, au sein d'une famille célèbre pour la beauté de ses femmes. Peintres, sculpteurs et artistes en font leurs modèles.

Agnes, dernière descendante de la lignée décide de s'échapper de ce schéma et de partir vivre en ville et travailler. Elle y rencontre un homme et son destin bascule.

Ce résumé ressemble à de la littérature romantique mais il est bien plus que ça!
C'est un manifeste à propos de la condition féminine de l'époque, qui doivent répondre à l'injonction de se marier, d'avoir des enfants, de s'occuper de leur maison et d'en être heureuses.

Agnes ne veut pas d'enfants, elle veut se consacrer à son amour pour Franck.

Elle doit pour cela braver les jugements constants de la société de l'époque, parfaitement décrits dans ce livre.

Il y est aussi question des débuts de la psychiatrie, de la façon dont les femmes sont catégorisées de folles, d'hystériques, de faibles, par des médecins, juges, jurés, tous hommes.

En bref, une oeuvre qui nous interroge sur la condition féminine et sur la limite abstraite entre les émotions puissantes et la véritable folie.
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Tres belle histoire !
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Que dire de ce livre acheté par hasard ...

"Folie d'une femme séduite" est un roman magnifique et tellement poignant, même si malheureusement le titre laisse présager un drame.
Jamais je n'ai été autant captivée ou même bouleversée par un livre.
L'amour d'une femme "agnes" pour un homme qui vire à l'obsession et qui détruit tant de personnes.
On retrouve une jeune fille qui fait face à la vie, et qui se retrouve complétement perdue, qui se laisse submerger par ses émotions.

Une fois plongée dans le livre, je retourne au 19 siècle grâce à la précision des détails, aux descriptions des lieux, des saisons.... ce qui m'a fait sentir tellement proche de Agnes, de Franck, du Dr Train, de Polly, de Magaret

Je me suis effondrée plus d'une fois durant la lecture, tant les mots sont puissants. Il y a une passion si grande si forte qui se dégage de ce livre.
Je ne voulais même plus que la lecture se termine.

Comment une femme, parce qu'elle se retrouve seule, décide de finir ses jours dans un asile? comment une femme décide d'abandonner son amour pour Goody pour rester auprès de celle qui l'a accompagnée durant des années?

Agnes dédie ce livre pour celle qui l'a soutenue, aimée, encouragée, et certainement sauvée... Magaret, qui reste selon moi le plus grand amour de sa vie...

Ce livre figure largement en tête de mes livres préférés.
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Pour moi une belle découverte, une roman psychologique et avec une émotion poignante. Une histoire d'un amour obsessionnelle.
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Ce livre fut pour moi l'un de ces livres qu'on ne lâche plus, une fois entré dedans. ( Ce qui m'a d'ailleurs étonné, car je n'avais pas à un à priori extrêmement positif ! )
Un de ces livres qui vous font perdre, le temps d'une lecture, votre réalité.

Ce livre m'a énormément touché, et c'est, je crois, en partie parce que je me suis vraiment identifié à Agnès... Je me suis reconnue en cette femme.
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