Il a compris le principe de la littérature jeunesse, avec une première lecture pour les jeunes et une autre pour les adultes. Pour moi, écrire ce genre de livre c'est s'écrire ce qu'on aurait voulu se dire si on avait l'occasion de se revoir dans nos jeunes années.
Neil Gaiman a toujours eu un univers particulier, on pourrait presque lier ses oeuvres par des points communs, et en même temps ça reste assez diversifier pour éviter la redondance.
Coraline entre donc dans ce cauchemar onirique façon
Tim Burton, la qualité des illustrations rendent parfaitement dans ce monde.
Philip Craig Russell a fait un travail excellent, les parents de
Coraline en version boutons sont juste parfait, avec une expression figée, ils me donnent encore des cauchemars.
C'est la seule adaptation graphique du livre de
Neil Gaiman que j'aime, l'illustrateur entre parfaitement dans l'univers tout en gardant une touche personnelle.
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