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Critique de Kenehan
En lutte permanente contre cette PAL qui a la fâcheuse tendance à grossir plus vite qu'elle ne maigrit, sorte de supplice grec digne d'un Tantale ou d'un Prométhée (comparaison qui n'a lieu d'être que pour booster mon estime de soi), je me suis posé comme limite de lire ce "Stardust" avant la sortie imminente du nouveau Philip Pullman. Un livre pour un livre, histoire que pour une fois, une seule petite fois, ma PAL stagne au lieu d'augmenter.
"Stardust" est avant tout un achat basé sur sa jolie couverture toute rose, avec son style un peu ancien (d'ailleurs j'aime beaucoup le visuel des rééditions de J'ai Lu en ce qui concerne les titres de Neil Gaiman), car j'avais déjà vu le film et il est rare que j'entame une lecture après avoir visionné son adaptation.
"Stardust" est plus que tout l'histoire d'un jeune homme éperdument amoureux qui promet une étoile filante à celle qui habite ses pensées contre la promesse de celle-ci de répondre favorablement à une requête. Certain de réussir dans sa quête (en même temps, il a été suffisamment intelligent pour ne pas promettre la Lune…), il s'en va pour Faërie où nombre d'aventures l'attendent.
Il y aurait beaucoup plus à dire sur "Stardust" mais mieux vaut laisser le plaisir de découvrir le reste aux futurs lecteurs. Car oui, "Stardust" est un livre plaisant à lire. Difficile de s'ennuyer devant ce monde magique que déploie Neil Gaiman. Un monde léger mais non dénué de noirceur comme c'était le cas avec "L'étrange vie de Nobody Owens". La seule différence est que cette fois je n'ai pas éprouvé de lassitude. le rythme se maintient du début à la fin sans que l'envie d'une pause ne se présente.
Neil Gaiman ne nous berce pas d'illusions avec ce conte mais réussi à nous enchanter du début à la fin. Même les plus cyniques pourront y trouver leur compte avec ce final doux-amer qui nous rappelle que le bonheur éternel promit par Disney depuis des générations n'est au final qu'une éternité bien relative.
Le jour J pour "La Belle Sauvage" est enfin arrivé et "Stardust" rejoint la pile des livres lus. Un livre pour un livre, bon d'accord… deux livres ! Mais ils auraient pu être quatre… Décidément, cette PAL me survivra. Mais bon, il parait que Sisyphe est heureux alors pourquoi pas moi, à la perspective de toutes ces lectures qui m'attendent.
"Stardust" est avant tout un achat basé sur sa jolie couverture toute rose, avec son style un peu ancien (d'ailleurs j'aime beaucoup le visuel des rééditions de J'ai Lu en ce qui concerne les titres de Neil Gaiman), car j'avais déjà vu le film et il est rare que j'entame une lecture après avoir visionné son adaptation.
"Stardust" est plus que tout l'histoire d'un jeune homme éperdument amoureux qui promet une étoile filante à celle qui habite ses pensées contre la promesse de celle-ci de répondre favorablement à une requête. Certain de réussir dans sa quête (en même temps, il a été suffisamment intelligent pour ne pas promettre la Lune…), il s'en va pour Faërie où nombre d'aventures l'attendent.
Il y aurait beaucoup plus à dire sur "Stardust" mais mieux vaut laisser le plaisir de découvrir le reste aux futurs lecteurs. Car oui, "Stardust" est un livre plaisant à lire. Difficile de s'ennuyer devant ce monde magique que déploie Neil Gaiman. Un monde léger mais non dénué de noirceur comme c'était le cas avec "L'étrange vie de Nobody Owens". La seule différence est que cette fois je n'ai pas éprouvé de lassitude. le rythme se maintient du début à la fin sans que l'envie d'une pause ne se présente.
Neil Gaiman ne nous berce pas d'illusions avec ce conte mais réussi à nous enchanter du début à la fin. Même les plus cyniques pourront y trouver leur compte avec ce final doux-amer qui nous rappelle que le bonheur éternel promit par Disney depuis des générations n'est au final qu'une éternité bien relative.
Le jour J pour "La Belle Sauvage" est enfin arrivé et "Stardust" rejoint la pile des livres lus. Un livre pour un livre, bon d'accord… deux livres ! Mais ils auraient pu être quatre… Décidément, cette PAL me survivra. Mais bon, il parait que Sisyphe est heureux alors pourquoi pas moi, à la perspective de toutes ces lectures qui m'attendent.
