Une histoire d'erreurs à comprendre, parce que dans la vie tout va très vite aussi, si on se trompe ça fait mal.
Ils avaient construit leur vie sans jamais se quitter. À
force de quotidien, ils s'étaient un peu confondus.
On croit que, passé soixante ans, on est vieux et qu'il n'y a plus rien à faire, mais c'est une erreur, il ne reste pas mille choses encore à faire mais on peut quand même en faire quelques unes.
Citation de M.A. J'ai mis du temps à comprendre mais maintenant je sais. Les femmes ne sont pas moins fortes que les hommes, non, ce n'est pas ça, mais elles renoncent. Elles laissent leurs rêves pour réaliser ceux des hommes.
-- Les regrets, c'est le pire. Je suis sûre qu'on n'oublie pas les belles choses quand on est de l'autre côté. Il reste forcément des trucs dans la mémoire, les abeilles qui butinent, les bêtes avec leurs petits, les chemins, tous les machins simples qu'on faisait. C'est les petits riens sans importance qui font les vies superbes. Les bonnes copines aussi, hein...
Elle a regardé du côté des Combes, ils crânaient parce qu'ils avaient récupéré le boomerang et le tee-shirt qui allait avec.
- Quand les cons voleront, ils resteront pas au sol, ceux-là...
- J’ai l’impression qu’il y a deux Jeanne en moi, une qui a eu envie de cette vie calme et bien rangée, et l’autre qui voulait être différente. La première a été la plus forte. Mais j’ai besoin, de temps en temps, de sentir en moi la présence de l’autre.
Elle devenait déraisonnable. Quelle idiote elle était ! Elle s’est rabrouée. Ma fille, ma pauvre petite fille ! Ça n’avait pas de sens. Était-elle amoureuse ? Elle ne pouvait pas quand même pas l’être ! Elle était mariée, avait deux filles, une vie sage, rangée.
"Zoé a dit qu'elle ne pouvait pas dormir sans lumière. La journée, elle laissait les tiroirs grands ouverts, elle pensait faire des réserves de jour.
La nuit, elle ouvrait les tiroirs."
"Le bonheur, ça n'existe pas, on devrait arrêter de faire croire ça aux gens, ils seraient bien plus heureux."