( A propos de l’auteur Kim Hanjo) Les maux de l’âme ne trouvent pas de remède, Hanjo n’est pas un chirurgien, il ne recoud pas, ne soigne pas. Il découpe, observe. Aucune réponse, aucune solution n’est donnée. A la lecture de son œuvre, vous vous retrouvez seul face à la psychologie complexe des personnages qui vous renvoie, tel un courant auquel il est vain de résister, inévitablement vers la vôtre. Hanjo propose une œuvre à lire, pour se lire dedans.
(Le Printemps) Alors qu'il ne reste plus rien des récoltes précédentes, on attend fébrilement que les céréales atteignent leur maturité. Les femmes, prévenantes, évitent de cuisiner durant la journée afin de ne pas faire flotter dans le village l'odeur des aliments.
Les contours de l'absence.
Entre tradition et modernité sur le pont.
J'admire les personnes qui sont sociales, car c'est une qualité que je ne semble pas posséder.
Page 53.
Cette colère prend racine dans ses origines familiales et géographiques.
Page 92.