Citations sur Conan le Cimmérien, tome 9 : Les Mangeurs d'hommes de Z.. (11)
- Même Jungir Khan et sa maîtresse, Nafertari, craignent et haïssent Totrasmek le Grand Prêtre d’Hanuman. s’il est tué dans son temple en pleine nuit, on ne se fatiguera pas vraiment pour trouver le coupable.
- Qu’en est-il de ses pouvoirs magiques ?
- Tu es un guerrier… Risquer ta vie fait partie de ta profession.
Mon nom est Zabibi. Je suis danseuse. J'ai souvent dansé pour le satrape, Jungir Khan, et sa maîtresse, Nafertari, ainsi que devant tous les seigneurs et nobles dames de Zamboula. Totrasmek me désirait, et comme j'ai repoussé ses avances, il a fait de moi, et à mon insu, l'instrument de sa vengeance contre Alafdhal. J'avais demandé un philtre d'amour à Totrasmel, étant loin de suspecter l'étendue de sa haine et de sa ruse. Il m'a donné une drogue à verser secrètement dans le vin de mon bien-aimé, me jurant que lorsque Alafdhal le boirait, il deviendrait encore plus follement amoureux de moi et accèderait au moindre de mes désirs. J'ai donc mélangé subrepticement la drogue la drogue au vin de mon bien-aimé, mais il est devenu totalement fou après l'avoir bu !
Je ne sais pas quelle quantité de violence et d’horreur les lecteurs sont prêts à endurer.
Je suis Baal-Pteor. Il y a bien longtemps, dans une contrée éloignée, je portais un autre nom. Mais ce nom me va bien. N'importe quelle fille du temple pourra t'expliquer pourquoi Totrasmek me l'a donné.
Ces esclaves sont tellement nombreux qu'ils pourraient bien se révolter.
Une beauté telle que toi pourrait conduire un homme à la folie.
Tu vois maintenant pourquoi je ne peux te donner la récompense que tu espérais obtenir.
Il n'a pas grand-chose. Il saigne du nez, mais c'est normal après un coup de poing à la mâchoire.
Ils m'ont attrapée dans la rue. Ils étaient à l'affut derrière une arcade sombre. Des noirs qui ressemblaient à des grands singes massifs ! Que Set ait pitié de moi ! Je vais en faire des cauchemars.
Kharamun, l'implacable. Aux confins de ce désert oriental, à la croisée du passage des caravanes, se dresse la mythique cité de Zamboula. Il y a bien des générations, c'était une simple oasis habitée par des descendants de nomades. Les stygiens en firent une cité importante, riche et réputée. Elle leur fut enlevée par les envahisseurs de Turan, surgissant au galop de l'orient, devenant ainsi l'avant-poste occidental de leur empire. Zamboula l'équivoque, gouvernée par le satrape Jungir Khan, lui-même dirigé, chuchote-t-on, par sa maîtresse Nafertari. Zamboula, la multiple, Babel d'un millier de langues et d'autant de croyances. Zamboula la marchande, où tout se vend et tout s'achète.