Cinquième opus des enquêtes de Richard Oppenheimer, désormais réintégré à la Kripo (Police criminelle) de Berlin que j'ai adoré à l'instar des précédentes.
L'intrigue se situe pendant l'hiver très froid de l'année 1947, dans Berlin, qui croule sous les montagnes de gravats et dont la population est affamée.
Oppenheim est appelé suite à la mort d'un cambrioleur surpris par les locataires d'un appartement.
Son collègue et ami le commissaire Billhardt, lui, se rend au pied de la tour de la radio où a été découvert le cadavre d'un malfrat. Il trouve, dans la doublure du manteau du mort des passeports de la Croix-Rouge et des permis de séjour émanant de l'Ambassade d'Argentine.
Les deux affaires finissent par se rejoindre et mener à la piste d'un réseau d'exfiltration de nazis vers l'Argentine.
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