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3,95

sur 276 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
"Les mots entre mes mains" est un des nombreux livres qui composent cette rentrée littéraire. Derrière ce titre se cache l'histoire d'amour cachée de Descartes avec un jeune servante hollandaise.
Ce livre m'a permis de voir ce célèbre philosophe sous un angle différent que celui étudié à l'école.
Le personnage d'Helena (la servante) est fascinant, bouleversant, puissant. Elle est bien en avance sur son époque, elle a une force de caractère et une envie de bousculer les choses ( par exemple, elle a appris à lire et écrire seule et souhaite le transmettre à d'autres femmes)
On n'est pas dans une histoire mielleuse où tout est rose. Cette relation montre bien le contexte de l'époque et ce qui fait que cette histoire a été cachée.
Le style d'écriture est très fluide, l'histoire est passionnante, entrainante. Ce roman m'a fait passer un agréable moment , alors laissez vous tenter à votre tour, il va à votre tour devenir un coup de coeur....
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de base, j'aime les romans historiques, même s'ils sont romancés. Et quand on a affaire à une Histoire passionnante, j'aime encore plus. C'est le cas ici.
Il faut dire qu'on part avec un matériau de base plutôt intéressant. Un philosophe connu, une histoire d'amour méconnue, une période et des lieux intrigants. Puis il y a Helena. Que dire, sinon que ce personnage est fascinant ? Qu'un personnage apprenne seul à lire, à écrire, poussé
par la seule soif de connaissances est déjà admirable, mais que ce soit une femme, qui plus est une servante qui le fasse à cette époque l'est encore plus. Parce que bon, les femmes, à cette époque, ça n'avait quand même pas d'autre fonction que faire le ménage si elles étaient pauvres, ou être épouses et mères si elles ne l'étaient pas.
Mais voilà, à Helena, ça ne lui suffit pas. On découvre une jeune femme vive, passionnée, ingénieuse curieuse, naïve au départ, et qui va évoluer, s'affirmer. Puis, à travers elle, c'est un Descartes plus complexe que l'homme rigide dont on a l'image d'après nos cours d'Histoire. Moins froid, aussi.
La lecture et l'écriture tiennent une place centrale, parce qu'elles semblent essentielles pour ces deux personnages (le philosophe et la servante qui a appris à lire seule) mais surtout parce que c'est ce qui va d'abord les lier. C'est aussi bien souvent ce qui va les empêcher de communiquer, mais c'est également par l'écriture que les non-dits seront éclairés.
On appréhende également la société amstellodamoise (tout comme on avait pu le voir dans Miniaturiste, d'ailleurs), ses règles et l'importance de la religion.
Si je mentionne Miniaturiste, c'est également parce que la place des préjugés et les conséquences des rumeurs y sont clairement montrées (et dénoncées). Ce sont ici les femmes qui vont en pâtir, et plus particulièrement les mères célibataires. Les conséquences de leur "inconséquence" peuvent être dramatiques du fait du jugement auquel elles sont confrontées en permanence. Helena en fera les frais, même si (et l'auteure le rappelle en notes de fin de livre) elle est finalement très bien lotie en comparaison de ses compagnes d'infortune.
En bref, on se retrouve face à une histoire d'amour prenante, à des évènements complexes et à beaucoup d'émotions de manière générale. Heureusement que j'ai la larme difficile. (et que je ne suis plus enceinte !)
Si je peux avoir quelque chose à reprocher à ce roman, ce sont quelques longueurs dans la première partie, même si elle est essentielle pour faire connaissance avec Helena.
Lien : http://delaplumeauclic.blogs..
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Quand j'ai découvert le roman j'ai tout de suite était intriguée par le résumé. Je ne lis pas énormément de romans historiques et le résumé de celui-ci qui s'appuie sur des faits historiques méconnus a éveillé m'a curiosité, et honnêtement c'est un coup de coeur.

Le résumé en parle et le parallèle est juste, j'ai immédiatement pensé à « La jeune fille à la perle » qui parle de la relation de Vermeer est une servante qu'il peindra. Là où j'ai largement préféré ce roman, c'est grâce au personnage de Helena. C'est une femme de son époque, pieuse, assez pauvre elle est placée comme servante (grosso modo vendue) à un libraire. Chez ce libraire va venir vivre le grand Descartes intrigué par tout, intelligent, toujours en train de mener une réflexion. Là où la donne chance c'est que Helena sait lire, ce qui est totalement inédit à son époque et presque choquant, elle écrit aussi un peu. Si le libraire qui l'a loge préfère l'empêcher de s'exercer, les femmes ne sont pas intelligentes et n'ont rien à voir avec l'écriture et la lecture, Descartes est fasciné et son esprit curieux ressurgit. Avant qu'une histoire d'amour se mette en place, il y a une forme de curiosité intellectuelle entre les deux, un apprentissage, et en même temps tout à fait réaliste.

Plus qu'une romance idyllique on sent bien que Descartes expérimente avec Helena : une femme réfléchit-elle ? Peut-elle apprendre comme un homme ? Et alors que cet apprentissage se met en place, des sentiments naissent.À aucun moment l'auteur ne fait l'impasse sur les conventions, on sent bien la différence de classe qui les sépare jusqu'au bout et j'ai trouvé ça excellent. Même les émotions de Helena quant au plaisir sont très respectueuses de ce qu'une femme de cette époque pouvait penser, ou c'est l'impression que j'ai eue ; aucune version érotisée pour un public récent totalement irréaliste. Il y a un respect des détails, des caractères, du contexte historique très appréciable. Descartes quelque part ne traite pas Helena comme une servante, mais jamais tout à fait comme son égale non plus, elle continue à l'appeler « Monsieur » et cette distance symbolique est si parlante que j'ai pu sentir rien qu'à un simple détail, qui ne l'est pas, toute la complexité d'une histoire où on ne peut s'affranchir totalement d'une époque, de règles implicites… malgré tous les sentiments du monde. Il y a bien sur des moments particuliers où les langues se délient, les distances s'effacent et d'autres ou, au contraire, on sent tout le ressentiment de ces barrières invisibles.

J'ai trouvé fascinante cette histoire car elle est réaliste, un homme célèbre ne peut pas d'un coup dire au monde « j'aime une servante », mais il peut aussi ne pas se comporter comme on le voit souvent dans ce genre d'histoire a batifoler avec la servante et la jeter discrètement sans aucun remords. Là, on sent le poids des moeurs de l'époque, le statut de Descartes et la complexité de ce genre d'histoires tout en demi-teintes, entre sentiments, conventions, émancipation d'une femme hors norme dans une société pas prête à évoluer et religieuse au possible… des problématiques encore d'actualité quand on y pense !

J'ai été fascinée par l'aspect tangible, parfaitement crédible rempli de détails, de petits moments qui font la force de cette histoire hors du commun. Pourtant l'auteur ne possédait en fait que de quelques détails historiques vérifiés (elle en parle à la fin du livre) pour s'appuyer dessus lors de l'élaboration du roman, elle a fait un travail fantastique pour faire émerger du passé cette histoire et donner une autre vision de Descartes et une Helena attachante. On la voit grandir, devenir mère, être mise à l'écart, assumer ses choix avec honnêteté dans un monde difficile. L'auteur ne passe sur aucun détail dur comme le viol de certaines servantes, la maltraitance pratiquée et les abus de pouvoir (ne payer quelqu'un qu'au bout d'un an, le prix qu'on veut., prêter une servante en échange de service comme un animal…) à l'époque, les ragots qui peuvent mener à la mise à l'écart voir bien plus d'une femme à l'époque…

J'ai été vraiment touchée par l'histoire d'Helena, son évolution et la fin du livre m'a serré le coeur j'ai même pleuré comme une madeleine pour une certaine scène… Mon seul regret en comparaison du reste est la rapidité sur les 20 dernières pages quand tout le reste du roman prend vraiment son temps pour nous installer dans chaque lieu, chaque situation, tout évolue en douceur. La fin est beaucoup plus rapide, on a quelques éléments qu'il nous faut développer, imaginer… On voyage à travers la Hollande, on imagine à merveille l'Amsterdam de l'époque, les petites villes, les marchés… une vraie plongée dans le passé.

J'ai aussi apprécié le début qui propose des sauts dans le temps et nous donne l'impression qu'on a tous compris de l'histoire (même si du coup j'étais un peu remontée à la base en me disant, « ça va pas me plaire ça va pas… ») et là, coup de génie, en fait on ne devine pas le sens que va prendre l'histoire. Cela crée un suspense inattendu, avant de continuer l'histoire de manière chronologique, j'ai trouvé ça bien vu.

Les personnages secondaires sont très travaillés, Limousin, Francine, M. Sergeant… tous ont leur rôle à jouer, sont bien dépeints et apporte beaucoup à l'histoire.

Il y a aussi un vrai amour de la lecture, de la puissance des mots même si j'en ai peu parlé. Helena et Descartes parlent souvent de l'impact de l'instruction (et à l'heure actuelle ou encore de nombreuses jeunes filles reçoivent encore aucune indication dans certains pays on sent la puissance de ce message) les mots qu'on doit lire, qu'on dit ou pas… le titre est magnifiquement bien choisi, car rien que le mot « Monsieur » chez Helena a tous son sens, les noms, le fait d'avoir accès aux mots ou pas… J'ai adoré ce point fort du roman qui le rend unique.

Un roman féministe qui propose divers niveaux de lecture, une longue histoire qui dure plusieurs années et propose une fresque historique et romanesque tout à la fois. J'ai réfléchi sur le destin d'une femme, d'un homme célèbre (j'ai même eu envie de lire son fameux « Discours » ) deux personnages en avance sur leur époque avec une histoire d'amour qui a souffert des conventions pour s'épanouir, mais n'en est que plus touchante.Un vrai coup de coeur inattendu !


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L'histoire se passe au 17ème siècle, où l'on ne badine pas avec les relations dites honteuses, entre hommes du monde et servantes par exemple. Les femmes ne sont pas sujettes à être instruites, sauf a minima. Et pourtant, Helena, enfant, toute seule apprendra à lire et écrire laborieusement. Sa destinée d'être servante, ne lui procurera que peu d'occasion de pouvoir en trouver un intérêt quelconque mais elle persévèrera dans l'ombre, trouvant des astuces pour écrire sans avoir à sa disposition ni encre ni papier.
Mais c'est sans compter avec sa rencontre avec le Monsieur, ce français qui vient vivre quelques temps chez le libraire pour qui elle travaille. Entre eux, une compréhension petit à petit se tisse,

René Descartes vit sous la plume de l'auteur, à la fois grand penseur avec toutes les difficultés pour lui de faire évoluer les dogmes en place, et à la fois si humain mais décalé de la vie de tous les jours. Sa passion avec Héléna l'affectera, le déstabilisera, mais jamais ne l'abandonnera.

Héléna se hisse petit à petit vers une certaine indépendance, elle gagne en maturité sans jamais renier ses convictions. Les mots sont pour elle presque vivant, elle aime les prononcer, en savourer la saveur sous sa langue, elle aime les écrire, les voir prendre forme dans sa main puis sur le papier. Les mots lui permettront de gagner en compréhension des choses qui l'entourent, d'analyser les choses courantes de la vie.

Quelle poésie nous berce de la 1ère ligne à l'épilogue ! Ce livre se vit de l'intérieur d'Héléna, il rend hommage à sa beauté intérieure, à la beauté de son esprit. La vie ne lui épargnera rien, mais cette force dont le Monsieur est instigateur en fait une femme très atypique en son siècle, peut être en avance. Aucun temps mort ne perturbe le déroulé de sa vie par l'auteure.

Une oeuvre magistrale pour moi, un ressenti comme je n'en avais plu eu depuis longtemps à la lecture d'un roman.
Bravo Madame Glasfurd, vous m'avait comblé au-delà de ce qu'un livre lambda aurait pu faire.

J'ai redécouvert Descartes sous un jour moins rigoureux, pesant, tel mon souvenir d'adolescente. Je vais relire « le discours de la méthode » ainsi que les « Essais » puis je reprendrai « Méditations Métaphysiques » et les redécouvrir sous un autre jour
Lien : http://saginlibrio.over-blog..
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« Les mots entre mes mains », c'est l'histoire d'Helena, jeune servante hollandaise au 17e siècle. Helena est une jeune femme courageuse, indépendante et obstinée, qui a appris à lire et à écrire seule, et qui rêve d'un destin meilleur. Au service d'un libraire d'Amsterdam, elle rencontre le philosophe René Descartes. Naît alors entre eux une relation puis une histoire d'amour hors normes. A travers cette plongée dans l'Amsterdam du 17e siècle, on retrouve le charme suranné et délicat d'un tableau de Vermeer, avec la lumière froide de la Hollande comme parfaite toile de fond de cette histoire d'amour toute en nuances et en non-dits. On découvre aussi Descartes sous un nouveau jour, plus humain, plus complexe. Un roman passionnant, tout en finesse, sur un amour interdit, sur une époque, avec des personnages forts et pleins d'humanité.
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Basé sur des faits avérés mais peu connus, Les Mots entre mes mains nous emmène au XVIIème siècle aux côtés du célèbre philosophe René Descartes et d'une jeune femme hollandaise, Helena Jans. Leur destin se croisera dans la maison de Monsieur Sergeant Thomas, un libraire anglais vivant en Hollande, à Amsterdam. Descartes, de passage en exil pour assurer sa sécurité et travailler en paix sur ses ouvrages, tombera vite sous le charme de l'intelligente Helena, alors servante chez le libraire. Mais tout n'est pas si simple dans une époque où les femmes ne sont pas considérées et où Descartes est menacé pour son travail philosophique et scientifique.

En effet, Helena sait lire et écrire, a appris seule, ce qui est rare pour une demoiselle du XVIIème siècle, les femmes étant clairement considérées comme inférieures aux hommes à cette période. Cette passionnée de mots attirera donc l'intérêt de Descartes et attisera son désir. Ce roman nous plonge dans leur histoire mais sans sentimentalisme aucun, sans niaiserie ou romantisme mielleux. Comme il est difficile de trouver des informations relatives aux femmes à cette époque, cet ouvrage est fictionnel mais basé sur le peu que nous savons de leur liaison. Tout le reste est élégamment brodé et par là-même, complètement crédible.

Le début du roman capte immédiatement notre attention et fait naître un certain suspens, ou devrais-je dire une certaine impatience à la découverte, grâce à une alternance d'époques dans le récit. Sans jamais nous perdre, il stimule notre envie d'en savoir plus. L'écriture reflète galamment l'ambiance de l'époque et nous ressentons toutes les difficultés pour les protagonistes de vivre leur liaison secrète.

J'ai beaucoup aimé le personnage d'Helena, cette femme intelligente et en avance sur son temps, telle une douce rebelle en quête de liberté. Ce roman permet aussi d'aborder le personnage de René Descartes d'une façon nouvelle, de découvrir une face cachée, un homme tiraillé dans ses pensées et dans son coeur, une sorte de solitaire amoureux et effrayé.

En bref, je vous conseille vivement ce roman si vous aimez la thématique historique et avez envie de découvrir un pan crédible de l'histoire d'un de nos célèbres philosophes. Parsemé de bribes d'amour et de romantisme, il peut s'avérer parfois triste et nostalgique, voire sombre. Un récit captivant écrit d'une belle façon.
Lien : https://ducalmelucette.wordp..
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Une histoire mêlant l'art et L Histoire au temps de la Hollande du siècle d'Or.
Helena, jeune servante, ayant appris à lire et écrire toute seule, se retrouve employée chez Mr Sergeant, libraire-logeur à Amsterdam.
C'est là que se retrouve logé René Descartes, écrivain philosophe et scientifique, qui défie par ses écrits les théories existantes.
Quelle alchimie va se mettre en place entre eux, les amenant à travailler ensemble, Héléna étant en avance sur son temps: intelligente, curieuse, vivace, passionnée, autonome et audacieuse.
Descartes étant en décalage sur les méthodes de son époque et bousculant les théories.
A travers cette époque de morale religieuse, où la femme n'a pas le droit de réfléchir et de vivre libre, où les conventions sociales sont fortes et intransigeantes, une douce et longue histoire d'amour va naître entre eux, défiant les codes sociaux et moraux, en ayant un enfant reconnu et en vivant ensemble.
Un premier roman, une belle lecture, qui nous plonge dans la Hollande du 17 ième siècle, ses grandes villes et leurs activités florissantes.
Cest également un beau portrait de femme moderne, une belle histoire d'amour en ces temps difficiles.
Lien : http://carnetslecturesophie7..
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Helena Jans van der Strom est une jeune servante. Elle se prépare à une vie de domesticité des plus simples, si ce n'est sa soif d'apprendre à lire et écrire. Mais sa vie va basculer quand René Descartes va venir habiter chez son maître et faire basculer du tout au tout les habitudes de Helena…

On commence l'histoire à un moment crucial de la vie notre jeune domestique, obligée de partir. Mais où ? Et pourquoi ? Qui est cet homme à l'air sévère qui l'accompagne ? Autant de questions qui vont vite trouver réponse puisque l'on se retrouve vite propulsés dans un flashback qui nous ramène au premier jour où Helena cherchait une maison où travailler. Et cela, jusqu'au fameux jour où elle doit partir, puis sa suite, maintenant que nous avons tous les éléments en mains.

Et quels éléments ! On a sous nos yeux une histoire d'amour cruelle, mais belle dans sa finalité. Nous avons un homme qui n'assume pas ses actes, parce qu'il a peur pour sa réputation, guidé par un domestique aigri et jaloux. Et de l'autre, une femme amoureuse, constamment rappelée à son rôle de Femme, servant de surcroît et rien d'autre. Cela correspond totalement aux moeurs de l'époque (vous me direz, certains agissent encore comme cela aujourd'hui, malheureusement). Pour ça, on peut dire que l'auteure respecte totalement la période de l'Histoire choisie, que ce soit au niveau des tenues, du langage, du comportement… La religion a tout autant sa place également, étant très présente du début à la fin. Rien n'est oublié, pour une immersion réussie !

On peut y voir une critique de l'époque : le sexisme ordinaire, l'apprentissage réservé aux hommes, l'importance de la religion qui enfermait les hommes comme Galilée, qui osaient remettre en question des choses fondamentales comme la forme de la Terre… Mais c'est surtout et avant tout une histoire d'amour, et il ne faut pas s'attendre à ce que le reste soit plus développé que cela.

La plume de Guinevere Glasfurd est fluide, elle a un vocabulaire riche, mais pas complexe pour autant. Une plume qui touche au plus profond des émotions, avec de la colère, de la jalousie, de l'incompréhension, de l'amour. Entre son immersion plus que réaliste et ses personnes très bien travaillés, on a ici une petite pépite de la rentrée littéraire, qui saura vous faire voyager !

En bref, Les mots entre mes mains est une romance historique basée sur une histoire vraie : celle d'un amour entre Descartes et une servante. Bien sûr, ce qui l'entour n'est qu'une fiction, mais une fiction bien écrite et qui vous prendra aux tripes !
Lien : http://iletaitunefoisouat.fr..
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