« La légende a pris le pas sur la vérité, dès son vivant, et fausse la connaissance. » (p. 76)
« Léopoldine est une pièce maîtresse de la légende hugolienne, symbole de l’innocence sacrée de l’enfance, de la pureté virginale, du destin tragique de son père. Objet irremplaçable de sa tendresse et source inépuisable de son inspiration. Fadaises ! Fumées camouflant une réalité dérangeante : le sacrifice dérangeant de l’enfant aux lubies du père. » (p. 111)