La grande guerre des poireaux

Quand le générique du film retentit , Lucas , resté dans sa chambre , ouvrit son cahier de croquis pour tuer le temps. Depuis le mois dernier , il s'était spécialisé dans les plans de machines fantastiques. Il passait des heures à dessiner des soucoupes volantes à vapeur , des fusée à moteur photonique et des super-tanks garnit d'armes compliquées. A neuf heures, il se leva , enfila ses chaussures et se glissa par la fenêtre. Puisq'une allée de ciment courait tout autoure de la maison, il ne se salirait pas les pieds en rejoignant la remise