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Citations sur Sublime royaume (125)

Il était assez facile de ne rien faire ou dire qui soit mal. Mais ne pas pécher en pensée ? Ne pas songer à mentir, voler ou frapper votre frère quand il venait vous embêter dans votre chambre, était-ce même possible ? Avions-nous le contrôle de nos propres pensées ? (pages 103-104)
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Je comprends que ce qui fait notre supériorité humaine – la curiosité, la créativité, l’audace - est aussi ce qui menace la vie de tout ce qui existe autour de nous. (page 317)
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Je voulais comprendre le pourquoi des émotions et des sentiments, quelle partie du cerveau en était responsable, et, plus important, quelle partie du cerveau pouvait les faire cesser. (pages 55-56)
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« À quoi ça sert ? » Voilà la question qui distingue les humains de tous les autres animaux. C’est de notre curiosité que sont nées aussi bien la science que la littérature, la philosophie que la religion. (page 167)
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Elle n’avait jamais été le stéréotype des parents d’immigrants, ceux qui distribuent des claques pour toute note en dessous d’un A, qui ne laissent pas leurs enfants faire du sport ou aller à des fêtes, qui sont fiers de leur aîné qui est médecin, du cadet qui est juriste, et inquiets pour le benjamin qui veut étudier la finance. (page 155)
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Le jour de mon arrivée en Californie, tout m’avait paru si beau. Même l’herbe jaunie, brûlée par le soleil et la perpétuelle sécheresse m’avait semblé irréelle. (page 15)
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C’était ce que je voulais savoir. Un animal était-il capable de résister à la recherche d’une récompense, en particulier si un risque y est associé ? Une fois cette question résolue, tout rentrerait dans l’ordre. (page 228)
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Comme beaucoup d’Américains, je ne connaissais presque rien du reste du monde. J’avais passé des années à raconter à mes camarades de classe des histoires rocambolesques, que mon grand-père était un guerrier, un dresseur de lions, un grand chef. (page 39)
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Nous lisons la Bible comme nous voulons la lire. Elle ne change pas, nous si. (page 179)
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« Anhédonie » est le terme psychiatrique désignant l’incapacité de certaines personnes d’éprouver le plaisir que procurent les choses normalement considérées comme plaisantes. C’est le symptôme caractéristique de la dépression, mais qu’on peut aussi retrouver chez les toxicomanes, les schizophrènes, les malades de Parkinson. (pages 292-293)
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