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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ne vous fiez pas à la couverture...... Ce récit est bien loin de ce que celle-ci laisse supposer. Nous n'entrons pas dans un roman du style "intrigues dans la bourgeoisie ou dans l'aristocratie" mais dans un roman psychologique. Il est indiqué qu'il s'inscrit dans la lignée de ceux de Daphné du Maurier..... Oui peut-être mais il n'y a pas, comme chez la célèbre écrivaine anglaise, le côté mystérieux, étrange et presque thriller.

Je vous présente les deux soeurs Vaizey : elles vivent à Sidney et n'ont vraiment pas de chance..... Elles perdent leur père et leur mère ne leur porte aucun intérêt et n'a même qu'une seule idée : s'en débarrasser et c'est d'ailleurs ce qu'elle va faire en partant vivre en Angleterre. Et c'est pas fini :  Laura va se marier à un homme, Felix, de plus de 20 ans son aîné, non par amour mais pas sécurité et Clare, sa soeur cadette va s'installer dans la maison du couple sur la demande insistante du mari. Très vite on comprend que les deux héroïnes sont manipulées par cet homme, une sorte de pervers égoïste, alcoolique à ses heures, avare, grossier, bi-polaire à sa manière, alternant cajoleries intéressées et violences brutales et dans le genre malsain, le Félix Shaw se pose là....

L'action se déroule en partie durant la deuxième guerre mondiale et il faut reconnaître à l'auteure une très bonne dissection du comportement des personnages : l'emprise d'un homme sur son épouse et qui, à force d'arguments et de miroirs aux alouettes va pousser la plus jeune, Clare, à arrêter ses études et fait de ses deux jeunes femmes des sortes "d'esclaves" domestiques, travaillant pour lui dans les différentes entreprises qu'il achète et revend aux gré de ses humeurs. Usant de largesses pour tenter d'acquérir un cercle d'amis qui, très vite, profitent de sa naïveté et de son orgueil pour faire des affaires pour ensuite l'ignorer, Félix va déverser sur son épouse et sa soeur sa rancoeur,  lâche qu'il est.

Clare sera la plus rapide à ressentir l'ambiance malsaine de cet homme, à vouloir s'éloigner mais Laura,  persuadera celle-ci à rester, lui faisant à chaque fois miroiter un changement de comportement de son mari, ayant la crainte de se retrouver seule face à lui, devenant à son tour manipulatrice.

On peut être agacé par l'attitude des deux jeunes femmes, par leur naïveté mais je pense qu'il faut remettre le roman dans le contexte de l'époque, par la jeunesse des deux jeunes femmes (18 ans pour Laura quand elle se marie, 14 ans pour Clare) et également par le sentiment d'urgence, d'abandon dans lequel elles se trouvent à la mort de leur père et du manque d'intérêt de leur mère.

Elizabeth Harrower décortique méticuleusement les comportements de Félix et l'emprise que cet homme étend dans sa maison, régnant en maître absolu, faisant la pluie et parfois le beau temps, au gré de ses affaires, humeurs, rentrées d'argent ou périodes d'avarice. Elle fait de Laura une femme totalement soumise, craintive des réactions de son époux et de Clare, une jeune fille plus rebelle mais partagée entre son désir de fuir et son attachement à sa soeur,  se trouvant prise au piège entre sentiments et volonté.

Autant il y a une progression dans la folie de Felix, dans le troublant attachement qu'il a envers Clare (on se pose d'ailleurs la question sur la vraie nature de celui-ci), autant l'attitude des deux femmes reste assez passive mais on sait l'emprise que peut avoir ce genre de personnage sur son entourage.

Ce roman paru en 1966 traite d'un sujet toujours d'actualité, de femmes soumises, sous influence et même si j'ai apprécié l'écriture j'ai trouvé que le récit comportait des longueurs, des répétitions de situations mais peut-être dues à la passivité des deux femmes, acceptant toutes les humiliations sans révolte. J'ai eu envie de les secouer, de les pousser à partir d'autant qu'elles sont deux et très unies. Mais comme je l'ai dit il faut tout remettre dans le contexte de l'époque, en temps de guerre. Je m'attendais également à un final plus surprenant du fait de la tension qui montait, justement à la manière d'un Daphné du Maurier, une petite déception.....

Mais c'est une lecture qui se fait avec nos esprits de femmes libres, ayant acquis leur indépendance et ayant tiré les leçons du passé. Remettons tout cela dans son contexte  et cela en fait malgré tout un roman psychologique assez bien vu et transcrit sur les processus comportementaux d'un esprit malade et de ses victimes.
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Au décès de leur père Laura et Clare ne peuvent compter que sur elles. Leur mère les abandonne à leur sort. Laura travaille et finit par épouser son patron Félix. Pour elle c'est la solution pour remédier à leur problème. Félix n'est pas l'homme charmant qu'il prétend, ses accès de colère et de violence pétrifient les deux soeurs. Félix vend sa société sans en informer Laura, il la rend responsable de tout. Clare ne veut pas rester, mais elle le fait pour sa soeur. L'arrivée de Bernard, ouvrier blessé, fera comprendre à Clare qu'une autre vie est possible.
Un roman psychologique narré d'une telle sorte que l'on ne peut plaindre Laura qui défend Félix. Ce n'est pas un coup de coeur, mais à lire pour l'écriture et le thème.
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Roman psychologique particulièrement déstabilisant et déroutant.
L'auteure, australienne, nous conte la relation pathologique entre un mari, pervers narcissique, et deux soeurs :
Laura, l'ainée, épouse soumise et terrorisée, se réfugiant de manière compulsive dans les taches matérielles et l'espoir illusoire d'une "guérison" de son persécuteur et Clare, se forgeant une carapace quasi autistique, observant et jugeant le monde extérieur sans affect et détachée mais qui parvient à une certaine émancipation.

Roman difficile d'abord, avec un style déroutant, je me suis finalement laissé captiver par cette histoire, un peu datée, des années 1940.
Cette fiction vaut surtout par la finesse de la description des réactions de ses personnages, tout en petites touches, détails, circonvolutions dans des scènes de violences psychologiques répétitives et éprouvantes.
Par contre, si vous recherchez un thriller avec intrigues et rebondissements, passez votre chemin !


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"Sur le quai ensoleillé et venteux, à côté du gros navire camouflé, tout juste mariée et faisant ses adieux à sa mère, Laura se sentit chavirer. Quai, navire, guerre, mariage, adieux- elle n'avait rien planifié de tout cela. Qui l'avait donc contrainte ? Elle avait l'impression d'être réduite à l'état d'objet. "

Clare et sa soeur Laura s'apprête à vivre loin de leur mère. Une mère qui n'a jamais tenu son rôle et qui se prépare pour un départ apparemment définitif. À la mort de leur père, elles étaient déjà quasiment orphelines, livrées à elles-mêmes.

" Misérable, Clare considérait d'un air mauvais les larmes qui, jaillies de quelques part dans sa poitrine, ruisselaient de ses yeux. Elles avaient été dupées. Laura et elle n'avaient jamais été aimées, en tout cas pas par cette femme. Pas une seule fois, pendant toutes ces années. Clare n'avait senti la moindre affection de sa part. Mais n'accorder aucune importance à la séparation ! S'en moquer ! Son coeur saignait à la pensée de tout ce dont elles avaient été privées. "

Mais cette fois les soeurs Vaisey vont se retrouver sous le toit de Félix.

Félix qui est désormais le mari de Laura, l'aînée, pour le meilleur ou peut-être pour le pire...

"Il était à la fois, sérieux, taquin, réprobateur, tolérant, vantard, vindicatif et amusé."

De face, tout pour plaire, de dos, tout pour déplaire. Derrière ce prétendu bienfaiteur ce cache un être narcissique des plus épouvantable.

Décidément la vie des soeurs Vaisey était prédestinée à un dur labeur sans amour.

À travers ce récit, qui pose un regard sans concession sur la condition des femmes dans les années 40, Elizabeth Harrover nous offre un roman psychologique tortueux. Une terrible colère m'envahissait au fur et à mesure du récit, étant célibattante, ce genre d'histoire à tendance à me mettre en rogne. Les pervers narcissiques m'insupportent. Et je n'avais qu'une envie : réveiller ces deux écervelées endormies par l'argent, le paraître, mais à quel prix ?


Un roman machiavélique, publié 1966, traduit pour la première fois en Français, Deux soeurs est un classique dans la lignée de Rebecca de Daphné du Maurier.

Traduit de l'anglais ( Australie) par Paule Guivarch.

Une lecture agréable, intéressante pour le côté découverte de l'écriture de l'auteure plutôt réussie mais pas assez passionnante pour ma part pour le côté femme soumise qui a tendance à m'énerver.



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Petit à petit, je découvre de nouveaux titres et de nouveaux auteurs de la littérature australienne. Deux soeurs est un roman paru en 1966 mais traduit et édité seulement maintenant en France. Même s'il ne s'agit pas du coeur du roman, le contexte se devine par quelques détails distillés ici et là. Elizabeth Harrower nous entraine dans les années 40 où la guerre fait doucement son apparition loin des terrains d'actions armées. Après le départ de leur mère qui ne leur prête guère d'attention, Laura se marie par défaut à Felix. Elle entraine avec elle sa soeur, Clare. Elles se retrouvent donc vite embourbées dans une situation bien délicate.

En effet, les voilà soumises à un homme odieux et franchement pitoyable. Il se laisse berner en affaire et transfère ses frustrations sur les deux soeurs. Les visions de ces dernières s'affrontent. Laura se soumet, ne voit aucun avenir ailleurs et trouve des excuses à autrui ainsi qu'à elle-même. Tandis que Clare fait preuve d'une soif farouche de liberté et de changer sa vie. Malheureusement, ces personnages manquent de relief pour réellement s'attacher à eux et ressentir de l'empathie pour leur sort. Leur psychologie n'est pas assez poussée selon moi. Finalement on ressort de cette lecture en ayant l'impression de n'avoir fait que la survoler.

Ce fut une lecture en demi-teinte en ce qui me concerne. Pourtant elle partait bien avec un contexte intéressant, un glissement progressif vers un supplice psychologique et une tension palpable. Cependant, je ne me suis pas suffisamment attachée aux personnages pour totalement apprécier ce roman.
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Australie, dans les années 40. Quand leur père, médecin désargenté, décède, Laure et Clare se voient contraintes de quitter leur pensionnat – et toutes leurs illusions d’avenir florissant – pour vivre avec leur mère à Sydney. La veuve insensible n’a que faire de ses deux filles qu’elle laisse grandir seules, avant de les abandonner aux soins de Félix, l’employeur de Laura. Un quadragénaire célibataire et aisé qui se propose généreusement d’épouser l’aînée et de prendre en charge la plus jeune.

Sous des airs affables et bons, c’est un homme alcoolique et tyrannique, qui se révèle bientôt aux deux femmes – un pervers narcissique en somme. Laura, épouse soumise, accepte la maltraitance et l’humiliation, sans comprendre Clare qui cherche à fuir et y parvient, non sans difficulté, à la fin du roman.

Un dénouement sans surprise pour le lecteur. Au contraire, Deux sœurs est un ouvrage qui mène inexorablement vers une fin attendue. Sous couvert d’analyse psychologique fouillée, ce sont des situations répétitives qui sont données à lire : la crainte, la soumission, les tentatives de rébellion, l’espoir d’un changement bien vite sabordé. Et le cycle de recommencer…

S’y est ajoutée, pour moi, l’impression d’être positionnée dans une situation de voyeurisme indifférent. J’ai eu peu de compassion pour les deux sœurs, qui n’en ont d’ailleurs que peu l’une envers l’autre. La conséquence d’une étude qui m’a semblé froide, voire clinique, à force de détachement. Un roman que je crains de fait d’oublier assez vite parce qu’il ne m’a pas touchée…
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Voilà un roman qui est paru une première fois, mais l'auteure née en 1928 est vite retombée dans l'oubli.
Réédité en français cette année (son autre roman « avec un certain monde » a été salué par la critique en 2016) j'ai eu envie de le lire.

Si vous lisez ce roman, il faut que vous vous remettiez dans les moeurs de l'époque où ce roman a été écrit sinon vous ne comprendrez pas les réactions des deux soeurs : Laura, l'aînée et Clare la cadette.

Nous suivons donc Laura et Clare, leur père décédé elles doivent quitter leur école de jeunes filles de bonne famille, elles vont habiter avec leur mère dans la banlieue de Sydney.
Stella Vaizey leur mère est agaçante au plus haut point, elle prend ses filles pour des domestiques, se « venge » de leur déchéance comme si Laura et Clare étaient responsables. Elle ne quitte jamais son canapé ou sa chaise longue, disséminant ses ordres.
Laura comprend que la carrière de médecin à laquelle elle se destinait n'est plus qu'un lointain souvenir, elle entame une école de commerce où elle apprend la sténo-dactylo.
Son certificat en poche elle se met très vite à travailler, elle n'a pas le choix, la subsistance de sa jeune soeur et de sa mère repose sur ses épaules.
Elle est engagée dans une usine dirigée par Felix Shaw, un homme 20 ans plus âge que Laura mais pas méchant avec ses employés, on peut même dire qu'il est généreux et juste.
Quelques années plus tard, leur mère décide en plein milieu de la Seconde Guerre mondiale de retourner en Angleterre, après tout ses filles sont grandes et se débrouilleront bien seules.
Félix Shaw propose alors à Laura de l'épouser.
Laura ne connaît rien de la vie, elle a quitté son école de jeunes filles pour ensuite travailler à l'usine et chez elle, elle n'a pas de loisirs, pas d'amies, elle ne sort jamais.
Après réflexion elle se dit qu'après tout Félix n'est pas méchant, il a toujours été un patron gentil et il propose de prendre en charge les frais de scolarité de Clare, de quoi les mettre à l'abri.
Laura ne sait pas encore qu'elles les emmènent tout droit dans la gueule du loup.

Très vite le véritable caractère de Félix Shaw se révèle tout autre que ce qu'il avait montré jusqu'à présent.
Il est cruel, violent, rabaissant sans cesse les 2 femmes, il a besoin de son auditoire chaque soir, son harem comme il le dit en rigolant.
Laura la plus sage des 2 soeurs accepte son sort, elle se dit qu'un jour ou l'autre Félix changera, Clare, elle, est différente elle se révolte, elle fait part de ses angoisses à sa soeur, elle aspire à une autre vie mais obéit quand même à sa soeur et Félix.

Ce roman est terrible, à chaque chapitre on plonge de plus en plus dans la psychologie des personnages et des moeurs des années 40-50, il faut vraiment garder ce fait à l'esprit quand vous le lirez, car sinon vous ne comprendrez pas les réactions des personnages et surtout de Laura.
Au fil du roman, Laura est comme aliénée par Félix, vous avez envie de la secouer, qu'elle ouvre les yeux, qu'elle crie ou parte très vite de sa jolie maison, mais où règne l'horreur.

J'ai trouvé quelques longueurs à certains moments, mais sinon c'est un roman remarquable du côté de la psychologie des protagonistes. Une fine analyse de la société, noire, certes, mais juste.

L'auteure joue avec vos nerfs, vous êtes pris d'empathie pour Laura et Clare, vous détestez ce type fou, vous vous demandez comment il va réagir, il rigole et d'un coup sans savoir pourquoi il explose.

Une auteure à découvrir, un roman noir psychologique que vous aimerez si vous vous plongez dans l'époque.

Il m'a révolté, j'ai aussi pensé à toutes ces femmes pour qui ce n'est pas un roman, car oui, on a évolué depuis, mais c'est un sujet qui je trouve est encore tabou, surtout quand on en est victime.

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Australie. Deux soeurs survivent dans l'indifférence de leur mère, coincées dans une vie qu'il semble impossible de changer. Tout est figé, même si elles grandissent et évoluent. Après le mariage de l'aînée avec un homme d'affaire, la même vie continue, faite de travail ingrat et de tâches ménagères. Peu de possibilité pour elles de s'épanouir et d'être heureuses, d'autant plus que l'homme de la maison devient possessif et violent.

Tragique jusqu'au bout, il n'y pas pas d'issue pour les deux femmes qui vivent sans révolte. Par peur, par manque de moyen, par crainte du regard de la société aussi. La soeur cadette voudrait changer les choses, tout quitter et refaire sa vie, mais, solidaire de son aînée, elle ne peut partir. Prisonnières d'un homme tyrannique et narcissique, elles vivent ou plutôt survivent au quotidien. Elles observent l'extérieur qui passe, les opportunités qui s'échappent alors qu'elles restent figées.

Roman psychologique, Deux soeurs est un livre sur les relations de pouvoirs, de dominé et dominant. Comment peut-on prendre l'ascendant sur quelqu'un, sans même que l'on s'en rende compte ? Peu à peu, la soeur aînée se retrouve coincée dans son mariage tandis que la cadette est prisonnière d'une situation contre laquelle elle se rebelle pendant longtemps sans succès, d'abord trop jeune pour vivre seule puis trop apeurée pour sa soeur. C'est grâce à elle que l'idée d'émancipation rentre dans ce roman, lui donnant toute sa profondeur et son intérêt.

Avec quelques longueurs, ce roman dresse le portrait de deux destins tragiques auxquels je n'ai pas réussi à m'attacher ni à vraiment m'intéresser. Elles ont souvent fait se dresser la féministe qui est en moi, mais il faut remettre leurs vies dans le contexte d'après-guerre.

A lire pour deux soeurs solidaires malgré les incompréhensions
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Ht sur reco 3T Télérama. Années 60. 2 soeurs abandonnées par leur mère tombent sous la coupe d'un pervers narcissique. C'est cruel. Fascinant. Un peu long. Enfermé. Je suis allée jusqu'au bout du fait du suspense : resteront resteront pas ? Notations percutantes. Construction parfois déroutante.
12/20. Sac JG.
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