Black Wings, tome 4 : Black Lament

- L'amour est une faiblesse. Quand on tient à quelqu'un, on peut nous faire du mal.
Beezle me regarda.
- On est vraiment impitoyables, non ?
- Je sais mieux que n'importe qui que l'amour peut mettre en pièces.
- Mais l'amour ce n'est pas que la douleur, dit-il, de l'inquiétude dans les yeux. Il y a du bonheur aussi, n'est-ce pas ?
- Juste assez pour que la blessure soit d'autant plus profonde lorsqu'elle survient.

Les cicatrices à l'extérieur ne sont rien à côté de celles à l'intérieur.

Chaque fois que tu cherches à me contrarier, tu ne fais qu'être davantage happée dans mon orbite.

- Le Grimm est nébuleux, informe. C'est la peur qui le façonne.
- Tu veux dire qu'un bibendum Chamallow va débouler dans la rue ?

On mange assez de pizza comme ça à la maison. Beezle pense que les plats à emporter sont l'un des quatre groupes d'aliments.

Ça ne sera pas la dernière fois que tu t'effondreras. Mais il faut que tu te relèves chaque fois.

Une partie de moi m'avait été enlevée pour toujours quand [Il] était mort. On ne peut pas remplacer les parties manquantes de son cœur.

Chloé et Beezle étaient assis à la table de la cuisine. Ils étaient tous les deux occupés à fourrer des pancakes et du bacon dans leur bouche aussi vite que Samiel était capable de les préparer.
- Vous vous entraînez pour passer dans l'émission Man v. Food ? demandai-je.

S'il y a bien une émotion humaine que je comprends vraiment, c'est le chagrin.