Son roman jouait avec une pointe de surréalisme et «d’air du temps». [...] D’un point de vue formel, le roman constitue la tentative curieuse d’être «à la page» en appliquant le cubisme au roman – et c’est aussi un roman à clés. Précisons d’abord que le roman n’est pas long et qu’il est typique de la recherche formelle de Dada. Il est par ailleurs destiné à des happy few, très certainement tiré à petit nombre d’exemplaires, peut-être même à compte d’auteur.
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