"
Domina" est le deuxième opus d'une trilogie qualifiée de thriller érotique.
dans le premier tome "
Maestra" j'avais été surpris par le coté noir du roman : cette belle jeune femme, issue des basses couches prolétaires du nord de L'Angleterre accède par ses études d'art, ses prouesses sexuelles, mais surtout par son absence complète de moralité , à la richesse et à la notoriété; un cas exemplaire de sociopathie.
Dans ce deuxième roman, on la retrouve, sous un faux nom, galeriste à Venise mais elle découvre rapidement que son passé n'est pas oublié pour tout le monde.
J'appelle çà un roman qui ne s'assume pas: le coté sociopathe est édulcoré, très peu de scène érotiques et une intrigue fastidieuse et ennuyeuse.
Reste, heureusement, l'amour que porte l'auteur à l'histoire de la peinture: içi, nous découvrons avec joie des pans entiers de la biographie du "Caravage".
Bon, OK, si vous n'aimez pas ce peintre, vous êtes vraiment mal barré!!
Je remercie l'opération masse critique de m'avoir offert ce livre.