L'Assassin royal, tome 6 : La Reine solitaire

Voilà la première époque de l'assassin royal terminée. J'ai dévoré les 6 premiers tomes, adoré suivre le quotidien de Fitz avec Oeil-de-Nuit. le point fort de cette saga réside vraiment dans cette relation étroite entre les 2, pour ma part, et dans la description des paysages, sous les différentes saisons, les petits gestes quotidiens (la chasse, le feu...)...
J'ai moins apprécié les autres personnages (en particulier Caudron... qui, comme le fait remarquer Fitz lui-même, se montre suffisante de savoirs sans jamais les partager, ou de façon laconique).
Le dénouement, quant à lui, est très rapide par rapport au rythme de l'aventure, qui se veut plus contemplative. J'aurais apprécié qu'il soit un peu plus étiré.

Le tome 6 clôture le premier cycle de la saga de l'assassin royal en grande pompe !

J'ai adoré cette saga avec son Worldbuilding et ses personnages intéressants et profonds.
Néanmoins je reste sur ma faim avec ce dernier tome. Je trouve le dénouement un peu trop rapide alors que l'on s'était habitué à une intrigue qui prend son temps..
A 75% je me demandais comment aller faire l'autrice pour régler la situation en si peu de pages, elle l'a fait mais de manière trop brutale à mon goût.
Ça reste tout de même un très bon tome.

Grande déception après avoir retrouvé Vérité. le mystère ne portait plus vraiment ma lecture, une certaine lassitude perçait dans la seconde partie de ce tome. L'autrice nous fait croire qu'il reste des choses à démêler une fois passer les “retrouvailles” mais au final elle les survolent. Quant aux nouveaux personnages secondaires présentés dans le tome 5,ils n'ont réussi à me faire ressentir qu'un semblant d'émotion.La ménestrel par exemple dont l'esprit m'avait tant plût dans le tome précédent m'a plutôt énervé dans ce tome ci .Aucune émotion envers Caudron et son histoire,une version plus acerbe que Vérité selon moi .Tout comme Fitz à certains moments ,elle me procure une folle exaspération que ne m'a jamais infliger le fou avec ses jeux de mots. Même Vérité m'a semblé un peu imbu de lui même à donner des ordres doucereux et empoisonné.
Face à tout ça,jamais Fitz ne m'a semblé autant être un anti-héros tant il est aveugle en tant que personnage principal. Sérieusement il n'y a aucun amour propre qui subsiste chez lui, que des colères rapidement étouffées ??. Cela nous change des héros talentueux et surpuissants mais là c'est poussé le bouchon un peu trop loin.
Et la fin plus abrupte que d'habitude m'a laissé stupéfaite. La manière dont Fitz se dépatouille de ces problèmes manque de crédibilité encore et toujours des pirouettes scénaristiques. Mais où est passée la fin fracassante qui devrait accompagner la fin de ce cycle. Maintenant qu'une grande partie des intrigues se terminent, j'ai bien peur de ne pas réussir à me laisser emporter pour une nouvelle aventure,en ai je encore la force rien n'est moins sûr. En tout cas, l'intermède proposé par la saga des aventuriers de la mer sera je l'espère une planche de salut car Robin Hobb a vraiment une plume envoûtante.

(3eme et dernière partie du tome 3) Dans ce tome 3 on change radicalement d'univers et, même si j'aime l'histoire, je l'ai trouvé plus long et moins captivant que les 2 premiers. Fitz mûrit et en apprend beaucoup sur lui même. Beaucoup de réponses sont apportées et des arcs narratifs résolus. Certains personnages vont beaucoup me manquer

Je pensais lire un tome intermédiaire de L'assassin royal avec ce tome 6. C'est à la fois vrai tout en ne l'étant pas… Ce tome 6 est le tome de clôture de la première trilogie écrite par Robin Hobb. La série continue bien ensuite (tomes 7 à 13 comme indiqués dans Babelio), avec les mêmes personnages mais une histoire différente écrite par l'auteure plusieurs années après.

Tout ça pour vous dire que le mot « Fin » figure à la fin de l'ouvrage, ce à quoi je ne m'attendais pas du tout. Je pensais que les aventures de Fitz contre son oncle Royal et que les péripéties des Six-Duchés aux prises avec les Pirates rouges allaient me fournir encore plusieurs heures de lecture agréables.

Frustration ? Non pas vraiment mais cette mécompréhension change un peu la donne et j'aurais abordé la lecture différemment si j'avais su…

C'est donc l'épilogue, après un long et assez lent voyage sur la difficile route de l'Art, le groupe formé autour de la reine, touche enfin au but. Je ne spoilerai pas la fin bien sûr, mais sachez que les Anciens livrent quelques-uns de leurs secrets. Dans le même temps, certains autres points restent en l'état ou du moins ouverts.

J'aime beaucoup le développement donné par l'auteur à son personnage principal, je le quitte avec regret ainsi que celui du Fou. Mais, bonne nouvelle il me reste à découvrir Les aventuriers de la mer et ensuite deux autres cycles (je crois) prenant place dans le même univers 😊.

Mon avis sur les 13 tomes de l'Assassin Royal.
Bien que n'étant pas amateur et donc connaisseur des sagas Fantasy j'ai énormément apprécié les 13 épisodes (un peu moins le 2 et par contre pas le 13). C'est plaisant à lire, avec peu de temps morts, un style fluide (bravo aussi sans doute à la traduction).
Au travers de cette lecture j'ai rêvé d'une autre existence, me suis totalement immergé dans ce monde virtuel et j'ai adoré la description des personnalités et des états d'âme des protagonistes de ce récit, qui ne sont pas que des humains: et s'il existait des passerelles entre époques, mondes, espèces ...
On rêve en lisant Robin Hobb: on peut, on a le droit et c'est fait pour ça !

Me voici arrivée à la fin de la première époque de l'assassin royal qui représente une longue introduction à l'univers du royaume des Anciens composé en tout de cinq cycles.
Ces six tomes (ou deux intégrales selon le découpage) ont été, chacun à leur manière, un véritable plaisir à découvrir.
Suivre Fitz, son enfance, sa découverte de Castelcerf, des membres de sa famille et autres personnages qui vont graviter dans son cercle, des rouages du système politique, des secrets et animosités qu'il suscite, son apprentissage, ses révoltes, son inclination amoureuse, et surtout sa loyauté indéfectible envers son Roi.
Sans oublier ses difficultés à maîtriser l'Art et son don pour le Vif, ce lien si particulier avec les animaux en général et un loup en particulier ….

L'histoire prend son temps pour placer le contexte, les personnages, les enjeux. Nous restons quelques années avec Fitz, et son évolution est passionnante.
J'ai pris un grand plaisir à chaque tome même si j'ai trouvé le sixième un poil longuet par moments et une fin un peu précipitée.

Outre le plaisir de suivre ce jeune assassin dans les diverses péripéties qu'il va devoir surmonter (et il prend cher 😅) c'est la plume de l'autrice, qui est absolument superbe, et qui donne une vraie profondeur et un charme particulier au texte.
De nombreuses émotions ont parsemé ma lecture, et j'ai terminé ce premier cycle avec un sincère pincement au coeur au vu de certains évènements.

Je brûle d'envie de poursuivre la saga avec le tome 7 de l'assassin royal et donc de commencer le deuxième cycle cependant, pour respecter l'ordre chronologique, et surtout avoir l'histoire dans sa globalité, je vais me lancer dans les 9 tomes des Aventuriers de la mer mais je n'ai qu'une hâte : retrouver Fitz pour connaître la suite de son histoire.
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Autant j'ai adoré les premiers tomes de ce cycle, autant les deux derniers tomes m'ont déçue, surtout le dernier.
Au début, j'ai vraiment apprécié ce héros ballotté entre ses différents maîtres et ses aspirations personnelles mais il n'en sort jamais. Il fait trop souvent les mauvais choix et agit trop souvent de manière inconséquente. J'attendais que Fitz se réveille, évolue. Il passe de l'enfant au jeune adulte et j'ai l'impression qu'il ne quitte jamais l'adolescence. Très autocentré, aucune distance par rapport aux problématiques. Cela se comprend pour un jeune adolescent mais il est censé être formé très jeune à être assassin, à agir et penser finement. Face à ce qu'il a vécu, il me semble qu'il aurait pu acquérir un peu de maturité un peu plus vite. Or, à la fin du tome 6, il n'en a toujours rien appris.
Nous n'avons rien appris du Lignage évoqué dans le chapitre 5. Nous savons juste que Fitz y est retourné et qu'il y a beaucoup appris. J'aurais préféré un chapitre sur le sujet plutôt que toutes ces pages se déroulant dans les carrières.
J'ai trouvé peu d'humilité et peu de sagesse chez les différents protagonistes. Ils-elles ne semblent jamais s'entendre, chacun.e pensant qu'il est mieux de garder ses secrets et de dire aux autres ce qu'ils-elles devraient faire ou non. Cette façon de se comporter me semble très loin de "l'esprit de la meute" dont le loup parle tout au long de ce 6eme tome.
Ce qui m'a semblé manquer aussi dans ces deux derniers livres, ce sont ces fameux pirates rouges. Leurs pouvoirs, la forgisation, c'est balancé vite fait en deux paragraphes de début de chapitre.
Je lirai sans doute la suite aux prochaines vacances parce que l'écriture est addictive et j'aime l'univers. En espérant en apprendre un peu plus sur le vif et voir que Fitz a pris en sagesse.

Après un tome 5 dont la dernière phrase laissait sur un suspense insoutenable, je me suis lancée aussitôt dans le tome 6 de L'Assassin royal de Robin Hobb. Et quel tome !

Il va être difficile de rendre un avis sans spoiler, même de façon très minime. Aussi, si vous n'avez pas lu la série et souhaitez l'aborder sans savoir quoi que ce soit, je vous recommande d'arrêter là votre lecture de ce billet.

Ce volume nous entraîne dans une aventure pleine de rebondissements et d'émotions. Comme il m'est déjà arrivé plusieurs fois dans la série, j'ai eu des réactions fort sonores à certains passages – comme ce moment où je savais que Fitz était tombé dans un piège, mais pas lui ; ou cet autre, à la toute fin, où j'ai ricané toute seule, satisfaite du sort qui attendait certain personnage que j'ai détesté avec passion depuis le premier tome !

Cette fois, pas de final en forme de cliffhanger, et pour cause : nous sommes à la fin d'un cycle. Tous les arcs narratifs trouvent leur conclusion, et de façon douce- amère. L'émotion, quant à elle, sera là jusqu'au bout… Robin Hobb n'a décidément pas son pareil pour construire finement ses personnages et nous attacher à eux, qu'on les aime ou les déteste selon leurs agissements.

Son univers continue de se dévoiler de façon fine dans cet opus, au point de me donner envie de tout relire pour mieux discerner tous les petits indices qu'elle a disposés ça et là, à présent que je dispose de toutes les réponses pour mieux les comprendre. Même un passage qui, sous une autre plume, aurait pu être très dérangeant, est ici bien abordé. Robin Hobb est une autrice de talent, dont je comprends aisément le succès mondial, très mérité !

A présent, je m'en vais poursuivre l'éclusage de ma PAL. de quoi me permettre de me remettre de toutes les émotions de ce premier cycle de 6 tomes. Mais croyez-bien que je replongerai ensuite dans cette série, pour découvrir les nouvelles aventures et mésaventures de Fitz…
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