Lecture pénible. le début est prenant mais les sauts dans le temps rendent difficiles de suivre l'histoire. Trop de longueur , trop de personnages. On s'y perd , ce qui ne donne pas envie de finir la lecture.
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D'un ennuyeux mortel.
A éviter à tout prix, sauf pour s'endormir le soir
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En 1913, Cecil rend visite à George, son camarade de classe. Cecil étant un poète qui commence à devenir célèbre, la famille de George est toute excitée, notamment Daphné, la jeune soeur de George, âgée de seize ans. le séjour se passe dans cette campagne anglaise typique, un peu chic et simple en même temps. Cecil y écrit, en hommage à Daphné, ou à George, impossible de le savoir, son poème le plus célèbre.
Puis, l'auteur enchaine avec une deuxième partie qui déroute le lecteur : on se retrouve en effet, vingt ans plus tard, le poète est mort depuis des années, Daphné a deux enfants de son frère, et on apprend au détour d'une phrase les événements qui se sont passés juste après qu'on est laissés Cecil, Daphné et George en proie à des sentiments troublants, et juste quand l'histoire commençait à devenir intéressante, il faut l'avouer.
La troisième partie sera sur le même principe : on se retrouve quelques années plus tard, avec d'autres personnages, qui gravitent autour de Cecil, Daphné et George. Puis encore une quatrième et une cinquième partie, nous faisant avancer dans le temps jusqu'en 2009, où on commence enfin à avoir une explication sur le pourquoi du titre de ce roman.
L'auteur a une belle écriture, certes, maîtrisée, et très « british ». Mais il faut bien l'avouer, c'est long, trop long, et le roman mériterait d'être aminci d'au moins une voire deux centaines de pages. Malgré tout, il reste agréable à lire pour ceux qui apprécient la musicalité et la richesse de l'écriture anglaise si délicate et si travaillée.
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