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Citations sur Alex Rider, tome 5 : Scorpia (21)

Lloyd et Ramirez s,ennuyaient ferme.
- pourquoi un garçon de quatorze ans
tenterait il d,abattre l,adjointe du directeur des opérations spéciales.
- c'est peux être sa tante,marmonna Lloyd peux être qu'elle a oublié de lui
souhaiter son anniversaire et craint qu'il
ne vienne se venger.
- tu le crois vraiment? soupira Ramirez.
- je ne sais pas.qu est ce que tu en pense
toi?
- moi,je m'en fiche.on perd notre temps,
c'est tout.
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Alex leva sa main et elle vit son arme.
- C'est Scorpia qui t'envoie ?
- Oui.
- Pour me tuer ?
- Oui.
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Alex leva sa main et elle vit son arme.
- C'est Scorpia qui t'envoie ?
- Oui.
- Pour me tuer.
- Oui.
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- Pourquoi à ton avis, t'ai-je amené ici ? Pour te voir agoniser. J'avais une bonne raison de te tuer et, crois-le ou non, tu es déjà mort.
Elle jeta un coup d'oeil derrière lui. Le ballon était totalement gonflé et flottait entre le sol et le dôme. La plate-forme, avec son chargement mortel, oscillait à un mètre du sol. Les cordes étaient prêtes. Les paraboles programmées sur commande automatique.
- Commencez le lancement, commanda Mme Rothman. Il est temps que Londres découvre la puissance d'Epée Invisible.
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La sirène annonçait l'aqua alta, une forte crue. [...] La ville était au niveau de la mer et, à cause du vent et de la pression atmosphérique, les tempêtes étaient fréquentes. [...] L'eau débordait des canaux et inondait les rues et le places pendant plusieurs heures. [...] L'eau allait tout submerger et Alex mourrait noyé, sans pouvoir lutter...
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Nos parents sont nuls. Tom a dû t'en parler. Tu te rends compte ! Nous appeler Tom et Jerry, il fallait le faire
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Alex se pencha vers Tom.
— Couvre-moi, dit-il à mi-voix.
— Qu'est-ce que tu comptes faire ?
— Dis-leur que je ne me sentais pas bien. Que je suis rentré à l'hôtel.
— Où vas-tu ?
— Je te raconterai plus tard.
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Pour les deux voleurs du scooter Vespa 200 ch, ce dimanche de septembre fut un jour noir. Ils se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment.

Toute l’activité semblait s’être concentré Piazza Esméralda, à quelques kilomètres de Venise. La messe venait de s’achever et les familles sortaient de l’église sur la place ensoleillée : grands-mères tout de noir vêtues, garçons et filles en habit du dimanche. Les cafés et les glaciers étaient ouverts, et leurs clients se déversaient sur les trottoirs et dans la rue. Une immense fontaine, ornée de dieux dénudés et de serpents, crachait des jets d’eau fraîche. Il y avait aussi le marché. Les échoppes vendaient des cerfs volants, de fleurs séchées, des cartes postales anciennes, des oiseaux mécaniques, et des sachets de graines pour les centaines de pigeons qui se pavanaient alentour.

Au milieu de cette joyeuse animation, déambulaient une douzaine d’écoliers anglais. Pour les deux voleurs, la malchance voulut que l’un des écoliers fût Alex Rider.

On était au début de septembre. Moins d’un mois c’était écoulé depuis la confrontation ultime entre Alex et Damian Cray à bord d’Air Force One, l’avion présidentiel américain. C’était la conclusion d’une aventure qu’il l’avait mené de Paris à Amsterdam, puis à l’aéroport londonien de Heathrow, alors que vingt cinq missiles menaçaient la planète.

Alex avait réussi à détruire ces missiles, puis assisté à la mort de Damian Cray. Après quoi, couvert de l’habituelle collection de contusions et blessures diverses, il était rentré chez lui, ou l’attendait une Jack Starbright à la mine sombre et résolue. Jack était sa gouvernante, mais surtout son amie, et elle s’inquiéter beaucoup pour lui.

- Tu ne peux pas continuer ainsi, Alex. Tu ne vas plus en classe. Tu a manqué la moitié d’un trimestre Skeleton Key, et au moins deux semaines à cause de ton expédition en Cornouailles. Sans passé du temps passé dans cet horrible pensionnat de Pointe Blanche. A ce rythme, tu risques de rater tous tes examens. Que feras tu ensuite ?

- Ce n’est pas ma faute…, commença Alex.

- Je sais. Mais c’est mon travail de veiller à tes études et j’ai décidé d’engager un précepteur pour le reste de l’été.

- Tu plaisantes !

- Pas du tout. Je suis très sérieuse. Les vacances ne sont pas terminées et tu vas pouvoir te mettre à travailler dès maintenant.

- Je ne veux pas de précepteur, protesta Alex.

- Je ne te donne pas le choix, Alex. Inutile de chercher à te dérober. Cette fois, tu n’y couperas pas !

Alex aurait voulu argumenter, mais, en son fort intérieur, il savait que Jack avait raison. Le MI 6 avait beau lui fournir des certificats médicaux pour justifier ses longues absences, les professeurs finissaient par se désintéresser de lui. Leur dernier bulletin d’évaluation était éloquent :

Alex passe plus de temps hors des murs de l’école qu’en classe. Si cette situation se prolonge, il ne sera pas en mesure de ce présenter à son brevet. Bien que n’étant pas sans doute responsable de ses problèmes médicaux, son avenir scolaire se trouve compromis.

Voilà où il en était réduit ! Il avait empêché un célèbre chanteur de pop multimillionnaire et fou de détruire la moitié du monde : et comment le remerciait on ? Par des heures de travail supplémentaire !
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En fait, ce n'est qu'à sept heures, ce soir-là, qu'Alex put enfin passer un coup de fil. Il était dans une cabine téléphonique à Marble Arch. Il avait mis l'appareil dentaire et pris le temps de s'y accoutumer. Mais il avait encore du mal à articuler.

— Allô ? répondit une voix d'homme.

— Ici, Alex Rider.
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Les rayures de l'animal étaient plus blanc et or que noir et orange, et moins nombreuses que d'ordinaire. C'était un tigre de Sibérie. Tandis que les yeux du félin le fixaient et le jaugeaient, Alex s'efforça de rassembler ses connaissances sur cette espèce très rare. Il n'en existait pas plus de cinq cents spécimens en liberté et à peine plus en captivité. C'était le plus gros chat du monde. Et... ah oui ! il avait des griffes rétractiles. Information non négligeable si l'on songeait que l'animal s'apprêtait à le déchiqueter.
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