Les Carnets de l'apothicaire, tome 4

Un eunuque d’une beauté céleste
Et une concubine aux airs de jeune homme.

- Tu veux bien boire un verre avec moi ?
- Non, je ne me suis pas laissé appâter par l’alcool...Promis Juré…
Décidemment...Elle me rappelle quelqu’un mais qui ?

Excusez-moi, je ne suis pas en position de vous demander ça. Si vous préférez la pendaison ou la décapitation, je me plierai à votre volonté.

Même les plus belles fleurs finissent par faner... et celles de la cour intérieure ont le devoir de porter des fruits!

Quel obsédé ! Il s’imagine que sa beauté lui donne tous les droits !

Gaoshun : « à chaque fois qu’il perd son jouet préféré, ce n’est pas une mince affaire pour le remplacer…
Cela dit, je ne devrais pas comparer cette jeune fille à un hochet…
Puisque la seule raison pour laquelle Jinshi ne l’a pas retenue, c’est justement parce qu’il ne voulait pas la traiter comme un objet. »

Même les plus belles fleurs finissent par faner et celles de la cour intérieure ont le devoir de porter des fruits 

- ça y est… le rapport est enfin arrivé !
- ce n’est pas trop tôt… la réception a eu lieu il y a plus de deux mois !
- je suis désolé…

- alors ? c’est qui ?
- il s’agit… de Fonmin, du pavillon de grenat… la première dame de compagnie d’Aduo !

- On ne t'a jamais dit que tu étais méconnaissable quand tu te maquillais ?
- Si, souvent...

- Oh, c'est sucré !
- Oui, et c'est aussi vénéneux !