L'Attaque des Titans, tome 9

Est-ce que tu te sens vraiment prête à assumer cette décision jusqu’au bout ? Parce que, dis-toi bien que quels que soient les dangers qui se présenteront… Tu ne pourras compter sur l’aide de personne. A partir du moment où tu choisis de te couper des autres, t’attends pas à bénéficier de leur assistance. Normal, non ?

Hansi: La situation n'a jamais été aussi critique... et pourtant, c'est maintenant que point une lueur d'espoir...
Armin: C'est sûr mais... tout repose néanmoins sur la capacité d'Eren à accomplir cet exploit.
Hansi: Je me doute que ce n'est pas évident, mais je dois quand même te poser la question... Tu crois que c'est dans tes cordes?
Eren: Euh...
Livaï: La question ne se pose pas. Fais-le... t'as pas le choix. Vu les circonstances, chacun dans le bataillon n'a qu'une chose à faire: donner le meilleur de lui-même. Tu dois réussir, il n'y a pas d'alternative, compris?
Eren: Oui, Caporal!

Le fait est que l’homme a l’instinct grégaire, ma fille… Et pour ne pas se retrouver isolé, y a pas d’autre solution que de rejoindre le troupeau.

Nanaba: C'est notre faute... nous n'avons pas su démasquer à temps ni le Titan Colossal ni le Cuirassé, pas plus que leurs éventuels complices... et voilà le résultat. L'Humanité est maintenant condamnée...
Mike: Tu te trompes. Si nous baissons les bras, là, oui, nous serons cuits. Mais tant que nous combattons, rien n'est perdu!

"Mais supposons que vos vœux deviennent réalité et que les territoires à l'intérieur des murs soient envahis par les titans, la dernière expression gravée sur leur visage ne sera pas celle-là. La fin sera la même pour tout le monde. Tout le monde perdra la vie entre les mâchoires puantes des titans, mais pas avant d'avoir vécu la pire expérience imaginable." # Livaï au révérend Nick

-Jamais je me serais douté que c’était toi ! Tu es restée te battre contre un titan pour sauver la petite ?
–Oui…
–Et ben… T’as bigrement changé, ma fille ! Je suis fier de toi !

Comment vous appelez ce drôle d'appareil ? Celui que tu portes autour de la taille et qui te permet de voltiger. Hmm... Je m'exprime pourtant dans ta langue, non ? La peur t'a-t-elle fait perdre la parole ? Je note que tu as un sabre aussi... Vous devez donc savoir que notre nuque est notre point faible. Bon, tu permets ? Je t'emprunte ton engin pour le rapporter chez nous. Allez y... il est à vous.

Personne. Terminé. Il n'y a pas de survivants. Pas un seul. Il ne reste plus rien du village où j'ai grandi...

Je veux en avoir le cœur net pour savoir enfin contre qui déverser ma rage !

Ma terre natale est sinistrée pour toujours...