Voilà un bouquin qui en déroutera plus d'un.
Récit bavard, caustique, d'un écrivain en cale sèche, incapable d'écrire, bref, foutu, cabot de première classe, professeur honoraire de l'auto-apitoiement, insupportable tête à claques, mais aussi roman menant une réflexion plus maligne qu'il y paraît de prime abord sur l'écriture et aussi ce que tend trop souvent à devenir la littérature.
En résumé, avec "La Grande Ménagerie", point de demi-mesure : soit on s'agace, soit on savoure.
Je me range dans la seconde catégorie.