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Critique de Epictete
Ce volume comprend :
- Compartiment tueurs (1962)
- Piège pour Cendrillon (1963)
- La dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil (1966)
- Adieu l'ami (1968)
- le passager de la pluie (1969)
- La course du lièvre à travers les champs (1972)
- L'été meurtrier (1977)
Autant d'histoires magnifiquement construites, pleines de mystère et de suspens. La capacité de Sébastien Japrisot à peindre des situations que l'on a ensuite l'impression de vivre, à décrire des personnages longuement pensés, est révélatrice d'un grand talent. Japrisot était fait pour écrire ce type de romans. Et il a su ne pas s'enfermer dans un style ou une période donnée. Cela va de "La dame dans l'auto" à "L'été meurtrier".
Partout règne un humour latent qui vous met de bonne humeur, au fil des lignes.
Tout cela conduit, avec la possession de cet ouvrage, à quelques heures de plaisir à passer dans des milieux parfois glauques.
Le seul défaut, c'est qu'on n'a jamais envie de poser un Japrisot pour faire autre-chose !
- Compartiment tueurs (1962)
- Piège pour Cendrillon (1963)
- La dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil (1966)
- Adieu l'ami (1968)
- le passager de la pluie (1969)
- La course du lièvre à travers les champs (1972)
- L'été meurtrier (1977)
Autant d'histoires magnifiquement construites, pleines de mystère et de suspens. La capacité de Sébastien Japrisot à peindre des situations que l'on a ensuite l'impression de vivre, à décrire des personnages longuement pensés, est révélatrice d'un grand talent. Japrisot était fait pour écrire ce type de romans. Et il a su ne pas s'enfermer dans un style ou une période donnée. Cela va de "La dame dans l'auto" à "L'été meurtrier".
Partout règne un humour latent qui vous met de bonne humeur, au fil des lignes.
Tout cela conduit, avec la possession de cet ouvrage, à quelques heures de plaisir à passer dans des milieux parfois glauques.
Le seul défaut, c'est qu'on n'a jamais envie de poser un Japrisot pour faire autre-chose !
