L’image de l’amour de jeunesse. Le premier. Le pur. Celui que l’on perd toujours, mais qu’on n’oublie jamais.
Tous les hommes mariés que je connais qui ont eu une aventure ou sont tombés amoureux d’une femme plus jeune ont fini par retourner avec leur femme. L’excitation les comble au début. Puis, la réalité finit par les rattraper. C’est comme ça. Mais au moins, pendant que ça dure, ils en profitent. Ils ont du bon temps.
Tu regardes à gauche pour ne pas voir ce qui se passe à droite. Et comme tu ne le vois pas, ça n’existe pas.
À vingt ans, il croyait sa vie tracée, une voie qu’il lui suffirait de suivre. Il ignorait les courbes, les culs-de-sac et les détours que les années mettent sur votre chemin. Ces virages qui vous éloignent de votre route et vous entraînent ailleurs. Quand vous le réalisez, il est trop tard pour revenir en arrière.
Les gens ne veulent plus simplement manger, ils veulent que ce qu’ils ingèrent ait des vertus anticancérigènes et tout le tralala. On va leur en mettre plein la vue avec des faits et des données scientifiques. Ils vont comprendre que boire du jus aide à vivre mieux et plus longtemps. On a même trouvé des études qui prétendent qu’il prévient le vieillissement et les rides… Passé quarante ans, c’est un argument auquel les gens deviennent très sensibles.
Pour bien orienter l’information, il lui faut d’abord connaître les faits mieux que quiconque. Avant de proposer une action, il doit établir un diagnostic de la situation. Il ne se fie jamais uniquement aux renseignements que lui transmettent les clients. Ceux-ci omettent souvent des éléments importants et, surtout, ils ont tendance à mentir. Ils se mentent d’abord à eux-mêmes, puis à leurs avocats et aux gens comme Jean-Claude et lui, à qui ils font appel pour les aider à se sortir du pétrin et à transformer une situation de crise en accident bien géré.
En fait, je n’arrive pas à cerner au juste ce qui me plaît tant en elle. Je me sens heureux quand je la vois. Je suis plus positif par rapport aux choses en général. C’est complètement ridicule, j’en suis conscient.
— Le bon sexe a souvent cet effet sur les hommes.
Changer est le signe que nous évoluons. On ne reste pas toute sa vie à marcher dans les mêmes traces.
Les travailleurs doivent être mieux préparés, mieux formés. Et ceux qui sont le mieux placés pour s’acquitter de ce travail, ce sont les Inuits. Ils connaissent ce pays mieux que quiconque.
Ces tyrans ne sont que des inquiets qui, tel un chien, mordent quand ils ont peur.