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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Mon deuxième roman lu de cet auteur belge, Armel Job et ce ne sera pas mon dernier ! Cet écrivain a une plume inclassable et se montre fin psychologue pour détricoter l'âme humaine dans toutes ses profondeurs. Quel régal !

L'histoire ici relève du grand maestro avec cette piqure de rappel à la Cendrillon ou des Misérables. On est catapulté dans une famille liégeoise qui semble épanouie sous les apparences. Rubel, Gilda et leurs deux enfants Astrid et Rémi, dans leur boulangerie de village, l'eau est un long fleuve tranquille. Jusqu'au jour où leur ait confié Josée, une jeune fille de seize ans orpheline.

Les a priori affluent dés le départ, la peur du qu'en-dira-t-on est omniprésente et ce, avant de rencontrer Josée. Sera t-elle apte à servir les clients à la boulangerie ? Pas trop laide, bossue, ignare, simplette ?

Les fausses apparences est en toile de fond de ce dernier roman d'Armel Job. Où Josée, une drôle de fille, est née avec une voix d'ange mais dépourvue de parents et d'amour. Elle ne sera que le fâcheux instrument de guerre d'une famille engoncée dans la jalousie, les secrets, les traumatismes, la petitesse intellectuelle. Une pauvre polichinelle qu'on retourne à sa sauce sans une once d'humanité. J'imagine bien Victor Hugo pleurer dans sa tombe en lisant ce roman tant il est pétri de misérabilisme.

Armel Job a l'art de nous retourner le coeur et l'âme et de nous confronter à nos démons, à toutes ces petites choses qui à la campagne amènent des désastres. Et dire que cette histoire est tirée en partie d'une histoire vraie, et bien j'en reste pantoise. Si Christophe Maé chante Il est où le bonheur, qu'on entend cet air qui raconte à la Bourvil que quand la vie impitoyable vous tombe dessus, on n'est plus qu'un pauvre diable, broyé et déçu, alors sans la tendresse, non, non, non, non, on n'irait pas plus loin... on ne peut que verser une larme en refermant ce livre parce que dans ce roman, ça pleure à l'amour, ça crie à la tendresse, ça vous prend aux tripes, on va dire que c'est la vie qui n'accorde pas la même chance à tout le monde. On va dire que pour faire vivre des bienheureux, il faut des malheureux.

Lisez Armel Job. Il vous broiera le coeur comme jamais.
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13 septembre 1958, Léopoldine Vandelamalle pousse la porte de la boulangerie Borj à Marfort une petite ville imaginaire de Hesbaye, une région de Belgique.
Amusant ce mélange de lieux que l'auteur a imaginé pour camper son roman.
Tout se passe bien chez les Borj : Ruben fabrique le pain, Gilda sa femme officie dans la boutique et ses deux adolescents Astrid et Rémi évoluent normalement.
La routine !
Ce serait sans compter sur Léopoldine, représentante de l'oeuvre nationale des orphelins de guerre qui va leur proposer, leur imposer de prendre en apprentissage Josée, 16 ans, victime des bombardements pendant la guerre. La jeune fille a perdu sa famille, garde certains traumatismes et depuis connaît le placement en orphelinat.
Les Borj acceptent et Josée entre à leur service.
Gilda, la patronne va vite s'apercevoir qu'elle ne sait pas lire, mais compte à merveille. Pratique pour servir les clients.
Elle lui passe ses robes de jeune fille. Ce qui va réveiller les ardeurs de Ruben, son mari, qui va pourtant essayer de se maîtriser.
Josée fait une crise d'épilepsie dans un dancing mais ce sera la seule.
Elle fait partie de la chorale des libellules avec Astrid, la fille de la maison. On s'aperçoit que Josée a une voix en or. Le maître de la chorale et sa mère vont la mettre à l'honneur pour Noël.
Dans ce roman, Armel Job observe avec une grande habileté la mentalité de village : les commérages, les rumeurs, la jalousie, le mal, les souvenirs qui reviennent douloureusement.
Il nous prépare une surprise pour la fin avec l'identité de Josée.
Un très beau roman d'ambiance, très fin, très bien écrit.
L'ambiance des années soixante dans les petites villes où tout le monde se connaît est merveilleusement bien rendue avec une belgitude qui ne gêne en rien la lecture.
On lit des romans québecois, les romans wallons sont aussi savoureux .
L'auteur fait preuve d'humour, emploie des expressions savoureuses.
Une régal, le dernier roman d'Armel Job.
Petite anecdote, c'est ma fille, très amatrice de romans belges qui l'a lu pendant les vacances de printemps en m'annonçant qu'elle avait découvert un nouvel auteur.
Et moi qui n'avais jamais osé lui passer ses livres de peur qu'elle n'apprécie pas. L'auteur pourra compter sur de jeunes lecteurs.
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« Avec les meilleures intentions du monde, nous sommes bien souvent rattrapés par la médiocrité humaine, moi tout autant que vous ».
Aïe, vous sentez-vous interpellés, comme moi je l'ai été ?


C'est vrai qu'Armel Job met ici le doigt où ça fait mal. Bien mal, même, pour cette famille d'une petite ville de la province de Liège, en Belgique.
Le père est boulanger. La mère sert au magasin. La fille ainée a 16 ans et fait partie de la chorale, le fils cadet, on n'en parle pas trop, du moins pas avant la fin. Une famille comme il y en a tant.
Et puis un jour, arrive la messagère du malheur : une dame patronnesse leur demande d'employer comme serveuse une orpheline de guerre (nous sommes en 1958), de la nourrir, la loger, la blanchir. Josée a 16 ans et une voix magnifique….


Bluffée ! Oui, j'ai été bluffée par l'habileté d'Armel Job à décrire précisément les désirs, les turpitudes, les regrets, les hontes cachées d'une petite ville des années 50. En toile de fond, la guerre, qui est encore dans les mémoires avec ses bombardements et ses résistants. La jalousie, bien cachée, éclate au grand jour et les rumeurs vont bon train. Les femmes ne sont pas au pouvoir, mais exercent dans leur famille une domination sans faille.


C'est pour moi un des meilleurs livres d'Armel Job, qui s'est déchaîné à faire lever la mauvaise pâte et à la cuire, pour le malheur de ses personnages, mais pour notre plus grand plaisir.
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Dans son nouvel opus, Armel Job nous invite à partager le quotidien d'une famille de commerçants de Marfort, petite bourgade ardennaise.
Nous sommes à la fin des années 50.

Ruben et Gilda Borj font tourner la boulangerie, lui au pétrin, elle en boutique.
Les enfants Astrid et Rémi sont des ados comme beaucoup d'autres, avec leurs rêves, leurs colères, mais sans réels problèmes.
La vie aurait pu continuer dans un ronronnement doux et monotone sans l'arrivée de Josée, 16 ans pratiquement imposée au couple par une représentante de l'oeuvre des orphelins de guerre.

Après quelques hésitations, la jeune fille est accueillie dans la cellule familiale où l'intégration se fait en douceur, en apparence du moins.

« Josée était en parfaite santé, mais souffrait d'une légère déficience mentale consécutive au traumatisme. Elle savait compter, lisait lentement, pouvait écrire quelques mots simples. Elle était travailleuse, d'un caractère paisible, docile et joyeux. »

Dans la chorale où Astrid l'a entraînée, la voix exceptionnelle de Josée fascine l'auditoire.
Astrid va découvrir la jalousie et la haine.

« L'ennui, c'est que la fin de l'amitié chez les filles n'est pas le retour à l'indifférence, mais le début de la haine. »

A tout cela l'auteur entremêle quelques secrets de famille que l'on pensait enfouis à tout jamais et qui posent question lorsque les rancoeurs accumulées au fil du temps empoisonnent le quotidien.

Ce thriller psychologique est difficile à lâcher, j'ai tourné les pages avec passion, profondément peinée lorsqu'est arrivée la dernière.

Un énorme coup de coeur.

Merci àNetGalley et aux Editions Robert Laffont
#UneDrôleDeFille #NetGalleyFrance
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Ardennes belges, la vie des habitants de la petite bourgade de Marfort, quelques années après la guerre.
La boulangerie Borj qu'on a un peu forcée à embaucher une apprentie, Josée, orpheline au passé trouble, une drôle de fille.

Et puis la messe de minuit retransmise à la TV avec la chorale des Libellules et ce moment magique du 'Stille Nacht' chanté en soliste par Josée et remarqué par la reine Élisabeth, ce qui déclenchera le drame.

Fidèle à son habitude, Job décrit admirablement les citadins avec les cancans et les petites mesquineries.
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En 10 lignes, max! (Présentation du livre par Frconstant)

Un livre qui touche, interpelle, appelle à se souvenir... Josée est une orpheline de guerre. Sa simplicité n'a d'égal que son envie de bien faire, sa volonté de servir cette famille qui l'accueille et sa voix qui est si belle qu'elle lui vaudra une invitation au Palais. Nous sommes fin des années cinquante, période que l'auteur fait revivre avec brio. Sans y être pour quoi que ce soit, Josée va réveiller les défauts, les démons et les jalousies des habitants de son village d'accueil. Tout éclatera autour d'elle... et surtout le vernis des bonnes intentions et des apparences. "Une drôle de fille", un thriller qui s'enracine dans le caractère ardennais de l'auteur mais conduit tout droit à l'universalité de l'Homme. Bravo, Monsieur Job!

Ma critique:

1858. La petite Belgique et sa première exposition universelle d'après-guerre. Une époque, une ambiance, un esprit qui marque les esprits. Dans bien des familles, il y a des plaies et pertes à panser, des souvenirs à raconter, des horreurs à taire. Et dans ce monde à reconstruire, cette humanité à retrouver, il y a des 'bonnes âmes' qui en appellent à la générosité des vivants pour réintégrer dans la société de nombreux orphelins de guerre. Josée est l'une d'elle. Elle sera placée, chez Ruben Borj et sa femme Gilda, tous deux boulangers au coeur d'un village ardennais. Elle y sera totalement au service de ses patrons...

Mais, 'simple', épileptique, elle fera peur et deviendra celle à qui on attribue les torts, celle qu'on cible de toutes les flèches du mensonge, de la jalousie, des méchancetés et des informations tronquées, fausses ou malveillantes. Pourtant, elle chante admirablement bien. Ce don devrait pouvoir l'extirper de sa condition de servitude. Mais est-il admissible qu'elle chante tellement mieux que la fille de la maison? Rendez-vous compte, ce n'est qu'une servante, tout de même!

L'inacceptable dans l'esprit petit bourgeois des patrons et dans la tête de leur fille en plaine crise d'adolescence et de recherche d'émancipation font ouvrir la porte à l'explosion des petitesses de l'âme humaine...

Sous la plume, comme toujours, excessivement limpide de Armel JOB, l'histoire, la grande comme la petite, déroulent ses vérités qui touchent, appellent à la réflexion, forcent à se souvenir: le mensonge habite le quotidien et le service gratuit peut facilement faire alliance avec des intérêts personnels moins reluisants.

Un livre sur la fragilité de l'être, l'innocence peu récompensée et le côté clair-obscur du passé que chacun se construit. du grand Armel JOB!
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Une drôle de fille Armel Job Robert Laffont Février 2019
#UneDrôleDeFille #NetGalleyFrance

Remarquable.
13 septembre 1958 « une femme élégante sanglée dans un imperméable beige poussa la porte de la boulangerie-pâtisserie Borj, rue des Jésuites, à Marfort. » Léopoldine Vandelamalle vient demander aux époux Borj de prendre en apprentissage une jeune fille Josée, 16 ans, orpheline suite au bombardement qui a causé la mort des ses parents. Elle vit dans un orphelinat et Mme Vandelamalle est sa "marraine".
Regardez bien la scène , les dés sont jetés les dominos vont bientôt tomber les uns après les autres. Armel Job nous entraine dans un tourbillon très bref mais ô combien violent. 3 mois plus tard....
Fascinée , effarée, scotchée, je me suis plongée dans ce roman sans à priori. le ton un peu vieillot des premières pages m'a surprise. L'auteur prévient son lecteur, attention danger la bombe est sur le point d'éclater!
Voilà je ne vous en dirai pas plus et je vous laisse vous aller découvrir ce roman digne de louanges. Un auteur que je ne connaissais que de renom mais que je vais aller explorer soyez en surs. Bonne lecture.
Un très grand merci aux éditions Robert Laffont pour ce partage.
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Une petite ville de Belgique en 1958 ...
Les souvenirs de la dernière guerre ne sont pas très loin, surtout ceux qui n'ont pas été étalés au grand jour comme ces dénonciations de résistants qui restent encore présents dans les esprits et déclenchent toutes les hypothèses ...

Passé- avenir qui s'affrontent avec la libéralisation balbutiante des moeurs et l'envie des jeunes de s'affranchir des carcans qui enchainaient leurs parents .

C'est dans ce contexte mouvant que Madame de Vandelamalle arrive chez Ruben Borj , boulanger et sa femme Gilda pour leur demander , en leur forçant un peu la main , de prendre Josée, une jeune orpheline du même âge que leur fille Astrid comme apprentie .

Josée a survécu au bombardement qui a tué ses parents mais en a gardé des séquelles , elle est simple d'esprit , en proie à des crises d'épilepsie mais , ce qui va être à l'origine d'événements incontrôlables dans cette famille en apparence sans histoires, dotée d'une voix remarquable et remarquée en plus haut lieu .
Ce don sort la jeune fille de sa condition de servitude, mettant en exergue tous les travers des hommes : médisance, jalousie, concupiscence , méchanceté ...

Armel Job, dont j'ai déjà apprécié l'intelligence de la mise en situation de ses romans , en refaisant vivre cette époque du début des trente glorieuses nous rappelle que notre époque actuelle avec ses excès , ses" fake news" n'a rien inventé ...

J'ai beaucoup aimé !

Toute ma gratitude à NetGalley et aux Éditions Robert Laffont
#UneDrôleDeFille #NetGalleyFrance
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Deuxième très belle découverte de cet auteur et quelle lecture ! Encore une fois, on ne peut que tomber sous le charme de cette écriture travaillée, recherchée mais qui reste totalement fluide et tellement agréable à lire. Pour ce qui est de l'histoire, elle est ficelée de A à Z. le thème des on-dit et du quand-dira-t-on est omniprésent. On assiste ici à une page dramatique de la vie de la famille BJorg, boulangère de son état dans un patelin Belge, tout le monde connait tout le monde. La période se situe dans les années 60 et ça grince entre les jeunesses rock'n' roll qui bafouent les règlent de bienséance et leur parents qui sortent de la guerre. Au milieu, une drôle de fille, Josée , la belle orpheline qui sort du chapeau (enfin.pas tant que ça) , un ange pour beaucoup, le diable en personne pour d'autre. Celle qui attise toutes les jalousies, qui defie l'amour, avec une bienveillance innocente et dont la seule présence va bousculer toute une société qui n'aime laver son linge qu'en famille.
Ce livre est une véritable réussite.
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Direction Martfort, une petite ville de province dans les années 50. Nous sommes à la campagne et la famille Borj - Ruben et Gilda et leurs enfants Astrid et Rémi - famille sans histoire tient une boulangerie florissante.

Imaginez-vous, par l'odeur du pain chaud et des croissants, poussant la porte de la boulangerie pour y chercher une douceur le dimanche, une "gosette" aux pommes, un "éclair au chocolat" ou tout simplement "les pistolets" du dimanche matin.

Nous sommes le 13 septembre 1958, l'expo universelle bat son plein, Léopoldine Vandelamalle pousse la porte de la boulangerie, elle est responsable de l'oeuvre nationale des orphelins de guerre. Elle n'est pas ici comme cliente mais veut parler avec Ruben et Gilda .

Elle leur parle de Josée Piron, une jeune fille née en 42 tout comme leur fille Astrid, une adolescente de 16 ans orpheline de guerre qui a vu toute sa famille disparaître sous un bombardement à Houffalize. Josée a été traumatisée à l'époque et en a gardé quelques séquelles, elle est dirons-nous un peu "simplette", elle ne lit pas mais compte sans problème et est aimable. Madame Vandelamalle aimerait lui donner une chance dans la vie et souhaiterait que les Borj l'engagent comme apprentie vendeuse. Elle est travailleuse et souriante, une occasion pour Gilda de souffler un peu, elle l'aidera à la boulangerie et dans le ménage et tiendra compagnie à Astrid.

Sceptique au premier abord, la famille accepte. Josée débarque et Gilda se souvient et revit grâce à elle son adolescence, son arrivée dans la famille au même âge. Elle éprouve une certaine tendresse pour Gilda, une nostalgie en remettant au goût du jour ses vêtements remisés dans une malle au grenier. Josée utilisera la mansarde comme elle le fit par le passé. Cela réveille les souvenirs de Gilda.

Ruben quand à lui est un peu émoustillé, attiré vers Josée, il l'observe. Mais pourquoi ?

Une boîte de nuit ouvre ses portes dans le patelin d'à côté le 11 octobre 58, le Wigwam, c'est un événement à ne pas rater. Astrid convainc ses parents d'y aller, la condition est d'être accompagnée de Josée. Josée sera fascinée par la prestation live d'Henri Breyre qui reprend la chanson "Diana" en français, chanson que Josée chantera sans cesse... mais un incident survient lors de cette soirée, ce sera le début de rumeurs qui attiseront la curiosité des locaux.

La belle voix de Josée causera d'autres incidents et lui permettra aussi d'être repérée pour la chorale dirigée par le fils de la mère Michaux.

Nous sommes dans une petite ville de campagne, tout le monde passera à la boulangerie pour voir Josée, très vite elle sera l'objet d'une rumeur qui se répandra comme de la poudre, enflera , se déformera et changera à tout jamais le destin de la famille Borj. Je ne peux vous en dire plus si ce n'est que la maîtrise de ce thriller psychologique est parfaite.

Armel Job est au sommet de son art, il explore comme toujours l'âme humaine en profondeur. On vit avec lui cette période d'après guerre qui a encore beaucoup de secrets à dévoiler. Les descriptions des personnages, de l'époque, des intérieurs, de l'ambiance sont superbement rendues, c'est comme si vous y étiez. La langue d'Armel Job est savoureuse comme les pâtisseries des Borj, elle décrit à merveille et non sans humour les sentiments et les secrets des protagonistes.

Un roman qu'on ne lâche pas avant de l'avoir terminé, qui fait ressurgir les souvenirs du passé de Gilda. C'est du grand art comme à chaque fois, je pense que ce n'est pas pour rien que la page la plus lue de mon blog est un autre article sur un livre du même auteur "Loin des mosquées".

Magistral ! A lire sans tarder.

Merci Armel Job pour l'envoi de ce livre et votre confiance.

Ma note : Immense coup de coeur
Lien : https://nathavh49.blogspot.c..
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