Le métis baisse la tête, se voûte, et d'une traite ouvre les vannes. Il se raconte. Il raconte Montoya, le curé, le vieux Pedro et sa mûle, l'autre finca incendiée...
Il se vide complètement, totalement, avec sincérité et regrette de ne pouvoir en dire davantage, tant il veut épargner Maria.
En même temps il a conscience d'être méprisable, d'avoi trahi ses frères, ses amis, son père, le curé.
Il veut croire, il l'affirme, que Maria est sauvée.
>Voir plus