Henry est un petit paysan anonyme qui était persuadé que c'est par la guerre qu'il pourrait devenir un homme, couvert d'honneurs et de gloire. Pour cela, il va s'engager dans l'armée Yankee avec son ami Wilson aux côtés de volontaires comme lui lors de la guerre des Sécessions aux Etats-Unis. Quand il a décidé de s'engager contre la volonté de sa mère, il pensait vivre à son tour une expérience excitante en combattant aux côtés de vaillants guerriers.Mais très vite la peur gagne l'esprit d'Henri lors de son premier combat où il va être emmené à fuir la scène de crime. Pour preuve, les cauchemars ne le quittent pas et le fantôme du vieux Jim, mort sous les balles, le suit partout. Cependant Henri doit être emmené à faire un choix: être un homme ou être un héros?
Pour cela Henry va faire preuve de courage et pour moi henry est le héros de l'histoire.
J'ai bien aimé cette BD pour diverse raisons.
Tout d'abord , l'auteur a beaucoup insisté sur les illustrations en utilisant plus d'images que de dialogues. Par exemple sur les trois premières pages de la BD,l'auteur fait parler les personnages seulement trois fois.
D'autre par, le contexte historiques de la BD me plait beaucoup car je suis passionné par l'histoire et il se trouve que le thème ici soit la guerre des Sécessions aux Etats-Unis. Par exemple , Henri et ses camarades sont des soldats de l'Union durant la guerre des Sécessions.
Et enfin, cette BD m'a plu car la fin est tragique: je ne pensais pas que le héros de l'histoire Henri allait mourir.
J'en conclu que cette BD est très intéressante à lire pourtant je suis par un fan de ce genre de lecture mais pour moi c'est un coup de coeur.
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La préface signale que cette BD est l'adaptation d'un roman plutôt militariste, montrant la transformation d'un soldat, de poltron à héros. Olivier Jouvray au scénario va clairement prendre des distances. Pas d'équivoque, on est dans une BD à tendance anti-militariste. Parfois un peu trop, à mon avis (et pourtant, je suis objecteur de conscience comme Jouvray).
L'accumulation de visions d'horreur, de morts qui parlent, bougent et prennent part au débat intérieur qui se déchaîne dans l'esprit du personnage principal, Henry Flemming, c'est parfois too much pour moi.
Le propos m'a aussi rappelé Les Sentiers de la Gloire. Je n'ai pas besoin d'une BD pour admettre l'horreur de la guerre, son côté abject et idiot, sa folie et son inutilité. Mais le Soldat est, sur ce point, très intéressant.
Efa aux dessins réalise un très bel ensemble. Déclinant le bleu à toutes les nuances, de l'uniforme au ciel en passant par des fumées ou des brumes bleutées. L'utilisation d'un format "'scope", c-à-d des cases souvent plus larges que hautes, induisant un effet "cinémascope", panoramique, renforce adéquatement le côté cinoche, visuel, très bien étudié.
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Henry est un jeune paysant qui rêve d'aller au front car selon lui c'est la seule façon de devenir un homme. Il décida d'y aller un peut plus tard avec son ami et il découvrira le vrai visage de la guerre car son quotidien était la peur de perdre ses compagnons et la peur de mourrir. Il deviendras finalement un héros au yeux de ses compagnons de guerre.
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C'est l'histoire d'un jeune homme qui se nomme Henry et qui décide de laisser sa famille pour aller faire la guerre de sécession dans le camps nordiste avec son ami . Mais une fois sur le front, Henry a horriblement peur et prend la fuite pendant que son ami et son régiment se font décimer par le camp adverse. Une fois la bataille terminée, Henry prend conscience de son erreur et décide de se rattraper en reprenant son poste à la guerre en espérant qu'il ne fasse pas la même erreur .
Je n'ai pas aimé cette BD car je l'ai trouvée monotone avec très peu d'action mais dans le fond l'histoire est bien , elle n'est pas difficile a comprendre.
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"Le Soldat" est une bande dessinée écrite par Olivier Jouvray en 2014. Le dessinateur des planches est EFA, il a fait ses croquis puis les a complétés ensuite à l'aquarelle.
Henry est un jeune homme qui s'est engagé dans la guerre de Sécession aux Etats Unis avec son ami Wilson. Henry, eut peur au premier combat, il a fuit. Cette première bataille a été atroce, beaucoup de ses camarades de son régiment, le 304ème, sont morts. Suite à ce combat, Henry à des visions de son ami Jim, mort suite à une balle. Malgré cela, Henry retourne combattre mais cette fois ci contre les Sudistes.
J'ai trouvé qu'il n'y avait pas de suspens dans l'histoire, les action sont très courtes. Nous, lecteurs, nous ne pouvons pas nous attacher au personnage principal, Henry Fleming, car sa présentation est trop rapide et simple. Je n'ai pas trouvé l'histoire inintéressante mais le graphisme, j'ai bien aimé car il était précis et descriptif. Nous percevons bien les émotions des personnages, l'atrocité de la guerre et nous différencions bien les personnes. Les couleurs dominantes sont le vert et le marron.
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Dans cette BD, nous suivons l'histoire d'un jeune soldat durant la guerre. Ce dernier se pose beaucoup de questions sur le courage, sur ce qu'il fait là, s'il ne ferait pas mieux de déserter... C'est là que les chefs interviennent en ayant un discours tel que l'individuel disparaît au profit du collectif, et les jeunes soldats sont alors totalement lobotomisés et sont même presque heureux à l'idée de se sacrifier pour le pays, tandis que les chefs, eux, restent bien derrière, là où il n'y a pas de danger...
C'est une belle histoire, mais dans le sens triste du terme, assortie de magnifiques dessins qui nous fait comprendre le lavage de cerveau qui est mis en place envers les soldats encore "innoncents" ... Une BD qui fait réfléchir.
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