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sur 1161 notes

Harold vient de recevoir une lettre d'une amie mourante ,à l'autre bout du pays . Il part poster une lettre en retour mais il continue de marcher et décide finalement de rejoindre son amie en traversant l'Angleterre à pied. Sachant qu'Harold a plus de soixante ans et n'est pas préparé à cette longue marche ,son périple va connaitre quelques péripéties ,plus ou moins sympathique. Mais cette marche sera surtout l'occasion de rencontrer des gens,de penser à son fils ,à sa femme et de voir la vie autrement .Ce voyage va donc bouleverser un peu plus que ses mollets et ses pieds.
J'ai beaucoup aimé l'idée de départ ,faire un voyage à pied pour retrouver son amie ,les difficultés et les rencontres de son voyage. Et puis en apprendre un peu plus à chaque étape sur sa vie ,découvrir ce qui les ronge ,lui et sa femme. Il manque cependant un petit quelque chose pour en faire un grand livre ,j'ai parfois trouvé ça un peu déprimant je crois.


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"Le dimanche, on lit au lit, et parfois même le samedi aussi quand le dimanche on se lève à l'aube".

Il était juste parti poster une lettre.

Mais c'est mille kilomètres qu'il va parcourir à pied.

Un roman inoubliable qui a conquis le monde entier.

« Je suis en chemin. attends-moi. Je vais te sauver, tu verras. Je vais marcher, et tu vivras. »

Harold Fry est bouleversé par la lettre qu'il reçoit de Queenie Hennessy, une ancienne amie qui lui annonce qu'elle va mourir.

Alors que sa femme, Maureen, s'affaire à l'étage, indifférente à ce qui peut bien arriver à son mari, Harold quitte la maison pour poster sa réponse. Mais il passe devant la boîte aux lettres sans
s'arrêter, continue jusqu'au bureau de poste, sort de la ville et part durant quatre-vingt-sept jours, parcourant plus de mille kilomètres à pied, du sud de l'Angleterre à la frontière écossaise.

Car tout ce qu'Harold sait, c'est qu'il doit continuer à marcher.

Pour Queenie.
Pour son épouse Maureen.
Pour son fils David.
Pour nous tous.

Je copie rarement le pitch d'un livre, car je préfère en livrer le résumé moi-même.

Mais cette fois, je vous le copie, car quand les éditions XO m'ont proposé cet ouvrage dont j'ignorais tout, après avoir été charmée par le titre (j'aime bien les titres étranges, genre Les écureuils de central park sont tristes le lundi, trouvé sur la brocante à 2 euros, yesssss, ou le club des amateurs des épluchures de patates, trouvé dans une poubelle à cartons-papiers, re-yessss), j'ai lu le résumé de l'éditeur, et j'ai eu des frissons de malade sur tout le corps. Ça c'est un signe. Un bon signe. Pour moi, la première impression est souvent la bonne, du moins en matière de livre, alors si après deux lignes d'une quatrième de couv' je m'endors, j'abandonne, et si après la lecture intégrale de la quatrième de couv' je ressemble à une poule bien en chair (j'ai la chair de poule quoi), ben j'adore j'adhère, du moins j'espère.

Et je n'ai pas été déçue par ce road movie très original, celui d'un sexagénaire bien pèpère bien banal qui pète un câble un beau matin, ou plutôt un moche matin où il reçoit une lettre triste, pour se lancer dans une marche de mille kilomètres afin de sauver Queenie. Au fil de la marche, laquelle peut aisément être suivie par une carte en début d'ouvrage, super initiative car tout le monde ne connaît pas les villes d'Angleterre et leur situation (déjà que je suis pas cap de situer Liège sur une carte, ni Marche, ni Arlon, je l'ai constaté dernièrement, Namur, c'est déjà limite), bref au fil de la marche, Harold nous livre, comme des pièces de puzzle, des bouts de sa vie. de toute sa vie, avec Queenie, avec David, avec Maureen. Une vie banale, métro boulot dodo enfant train train quotidien petits drames gros drames lassitude ennui silence amour ténu. Une vie sur laquelle il se retourne sans doute pour la première fois, avec toute la lucidité et l'émotion qui le caractérisent. Une vie sur laquelle Maureen, qui attend son retour, va également se retourner.

Et la question qui tue est : après s'être tant retournés, vont-ils se retrouver ?

Un roman bouleversant, un bilan de vie, dont le final, que j'ai lu lors d'un moment de grâce automnale plein de soleil, installée sur un transat en plein soleil, m'a fait chialer comme un bébé affamé, à gros sanglots bien bruyants. Notez que mes voisins doivent avoir l'habitude, je chiale souvent en lisant sur ma terrasse, mais là c'était vraiment de très gros "chialements".

Si vous ne deviez vous offrir qu'un livre cet automne, que ce soit La lettre blablabla (dont le seul défaut est la longueur du titre, lorsqu'il faut l'écrire).


Lien : http://www.le-celibat-ne-pas..
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Kingsbridge, South Hams. Ce fameux mardi d'avril, donc, Harold Fry, sexagénaire à la retraite, reçoit une lettre de son ex-collègue Queenie Hennessy, en train de mourir d'un cancer à Berwick, huit cent kilomètres plus au nord. Vingt ans qu'elle a brusquement quitté la région. Vingt ans aussi qu'Harold et sa femme Maureen sont des étrangers l'un pour l'autre.

Sous l'oeil indifférent de Maureen, Harold répond à Queenie et part poster la lettre. Sauf qu'une fois parti, il continue, voulant marcher jusqu'à Berwick.

Au fil des journées, entre deux rencontres, reviennent les souvenirs de sa vie, pas toujours bien gais. Son fils David, leur incompréhension mutuelle, son épouse Maureen, leur rencontre, l'amour qui les liait, devenu juste une cohabitation de l'habitude.
"Il n'en revenait pas de se souvenir de tout cela. Peut-être cela venait-il de la marche. Peut-être voyait-on autre chose que le paysage quand on descendait de sa voiture et qu'on se servait de ses pieds." "En marchant, il libérait le passé qu'il cherchait à éviter depuis vingt ans."

Voilà un bien joli roman décrivant avec délicatesse le retour à la vie d'Harold (et Maureen). J'aurai du mal à oublier certaines rencontres de Harold, ainsi que son voisin Rex. Des gens comme tout le monde. Bien sûr, ce livre ne révolutionnera pas la littérature mondiale, mais je l'ai lu le coeur parfois serré et c'est vraiment le genre qui fait du bien, comme un doudou.

Lien : http://enlisantenvoyageant.b..
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A 65 ans Harold Fry vit une retraite comme tant d'autre, sa plus grande occupation étant de tondre la pelouse qui entoure sa maison du sud de l'Angleterre.
Jusqu'à ce mardi matin....
Ce mardi là est arrivée une lettre à laquelle il ne s'attendait pas du tout.
C'est Queenie Hennessy qui lui a écrit, c'est en fait un adieu, elle est en phase terminale d'un cancer
Même si sa lettre lui dit qu'elle n'attend pas de réponse, Harold décide de lui répondre.
Et il part porter la lettre à la poste, sauf qu'en cours de chemin, il décide d'aller la remettre lui-même à Queenie cette lettre.
S'ensuivra alors un périple de mille kilomètres du sud au nord de l'Angleterre
Une marche solitaire qui le fera réfléchir à sa vie, que petit à petit le lecteur découvrira à travers les souvenirs d'Harold, les blessures de son enfance, son adolescence solitaire, sa vie d'homme effacé, son amour pour Maureen sa femme à qui il ne sait pas dire qu'il l'aime, son amour pour David son fils à qui il ne sait pas parler.
Plus Harold va marcher, et plus il va retirer les couches de l'homme écrasé par les bonnes manières de la société, pour finir par simplement apparaître comme l'homme qu'il est en réalité.
87 jours et 1000 kilomètres d'une "marche thérapie" qui vont permettre à Harold de se retrouver
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Harold est passé à côté de sa vie.
Ses erreurs le poursuivent et l'enferment.
Un jour, une lettre et sa décision d'y répondre pleinement changent sa vie et le mènent à une quête dont le cheminement est tout aussi important que le but.
Il va ainsi prendre le temps de réfléchir à son parcours difficile, à ses erreurs, à ce qu'il voudrait changer.

Une lecture facile et agréable pour un résultat fort et enrichissant.

is@ mai14
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J'ai reçu à Noël ce roman dont le titre reprend la première phrase du texte.
C'est en effet l'histoire d'Harold et du bouleversement qu'il éprouve en recevant une lettre d'une ancienne collègue partie il y a 20 ans et qui lui annonce qu'elle est en phase terminale d'un cancer.
Le nom de Queenie fait émerger dans son souvenir des événements refoulés depuis longtemps et il décide de lui répondre mais en partant poster la lettre au bout de la rue il décide finalement de partir immédiatement lui porter à pied à l'autre bout de l'Angleterre ! Il n'est évidemment pas du tout équipé pour ce pèlerinage improvisé avec ses chaussure bateau mais il ne peut plus s'arrêter.
Il laisse derrière lui à la maison sa femme Maureen avec laquelle il est en froid depuis des années même s'ils continuent de vivre sous le même toit. Celle-ci ne comprend pas du tout la démarche insensée de son mari qui pense aider sa collègue Queenie à guérir du cancer en marchant vers elle...
Sur ce propos vont se greffer à la fois des rencontres et les circonstances de la marche mais aussi toutes les pensées du héros et ses souvenirs qui nous aident à reconstituer sa vie. L'évolution de sa relation amoureuse et de sa vie de couple, sa vie professionnelle et sa rencontre avec Queenie, sa conception de la paternité et ses regrets concernant son fils.
J'ai trouvé l'ensemble vraiment bien imbriqué et l'évolution d'Harold au cours de sa quête très intéressante. Une belle lecture, un peu dure mais qui fait réfléchir.
Lien : http://toutzazimuth.eklablog..
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Un matin Harold Fry reçoit une lettre de Queenie Hennessy, une ancienne collègue, qui lui apprend qu'elle a un cancer et qu'elle va bientôt mourir. Harold décide sur un coup de tête de lui rendre visite à pied. Mais Queenie est hospitalisée à plus de 800 km ! Un drôle de voyage débute pour Harold.

Un drôle de voyage pour Harold mais aussi pour moi. Les débuts du roman sont prometteurs : l'idée de départ est originale et les premières rencontres que fait Harold sont savoureuses bien qu'un peu courtes. Puis, rapidement, le récit s'enlise et devient répétitif.

Harold marche, se pose des questions sur sa vie, se remémore des souvenirs plus ou moins heureux, rencontre des gens avec qui il a des échanges brefs bien qu'incongrus, se fait des ampoules aux pieds, mange, dort, marche, téléphone à sa femme, se fait des ampoules aux pieds...
Quand Harold est rejoint par d'autres pèlerins, le roman part dans un délire qui m'a fait penser que Rachel Joyce n'avait pas bu que du thé lorsqu'elle avait écrit cette partie.
Quant à la fin, non seulement elle est très prévisible tant on sent venir de loin les "grandes" révélations mais, en plus, elle s'éternise.

"Le pèlerinage improbable d'Harold Fry" m'a beaucoup ennuyé. Je n'ai ressenti qu'une vague sympathie pour Harold et son épouse Maureen, leurs problèmes de couple n'ont pas réussi à me sortir de ma torpeur. Je n'ai même pas pu me raccrocher aux autres personnages qui sont à peine esquissés et restent à l'état de silhouettes.
Plus l'histoire avançait, plus Harold se rapprochait de Queenie, plus j'ai eu l'impression de faire du surplace. le chemin parcouru par Harold est trop balisé, trop plein de bons sentiments et trop convenu à mon goût.
Pour ne rien arranger, j'ai trouvé le style de Rachel Joyce plus fade que du pain sans sel.
Ma seule satisfaction est que le livre se lit très vite ce qui m'a permis de le bâcler en deux jours.
Faible consolation.
Lien : http://le-bric-a-brac-de-pot..
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Si Babelio ne m'avait pas envoyé ce livre contre l'engagement d'une critique dans le cadre d'une opération spéciale "masse critique", je pense que je ne l'aurais jamais entamé. Car jamais les livres « vendus » à grand renfort de publicité radiophonique comme étant « le roman de l'année » ne me tentent. Au contraire. Et, une fois avoir tourné la dernière page, je ne sais toujours pas si j'aurais eu tort ou pas.

C'est une histoire en forme de parabole. Harold est un retraité qui toute sa vie fut un homme dépassé. Sa mère a plaqué son père quand il avait treize ans, il ne l'a jamais revue. Son père buvait et, lorsqu'il eut seize ans, il lui offrit un manteau et le chassa de la maison pour continuer à s'enivrer en compagnie de « tantes ». Il s'est marié très jeune avec Maureen, ils ont eu un enfant unique et surdoué, qui a été diplômé de Cambridge, mais a disparu. Harold et Maureen, mariés depuis 47 ans, ne se parlent plus depuis longtemps car ils n'ont plus de mots. Ce livre est aussi celui de la solitude.

Un mardi, Harold reçoit une lettre d'une de ses anciennes collègues qu'il n'a pas revue depuis vingt ans. Queenie lui apprend qu'elle se meurt d'un cancer dans une unité de soins palliatifs de Berwick-upon-Tweed. Harold écrit une réponse maladroite et sort pour la mettre à la boîte. Et puis, tant il sait que cette lettre n'exprime pas tout ce qu'il aurait à dire, il se met en chemin, tel qu'il est, en chaussures de bateau, avec sa cravate et sa chemise de retraité. Il marche, laisse tout en plan pour rejoindre Queenie avec la folle espérance que tout le temps que durera le trajet, elle s'abstiendra de mourir, elle l'attendra. Il n'a pas de carte, pas de boussole, pas de sac à dos, juste sa parka. En chemin, il renverra à Maureen sa carte de crédit et son portefeuille, vivra de cueillette et de dons.

Car le chemin de Kingsbridge (côte sud de l'Angleterre) à Berwick (Ecosse) va durer 87 jours, et, avec les erreurs de parcours, environ 1000 kilomètres. Harold souffre, mais il continue. Il fait des rencontres, parfois bienfaisantes, parfois assommantes, son histoire fait la une des journaux, des disciples s'agglutinent. Il repense à sa vie, à ses échecs, à sa femme, à son fils … « Si on ne pète pas les plombs une fois dans sa vie, c'est sans espoir » (p.45). Ce voyage est une expiation : jamais il n'a apporté d'aide à personne, surtout pas à son fils qu'il n'a pas su comprendre. Ce voyage, c'est une manière de racheter les fautes commises, et d'accepter les bizarreries des autres.

Avec la description de ses doutes, ses crises de découragement, ses renoncements successifs, ses élans irrationnels, Harold livre une allégorie de la foi, sans jamais parler de religion. « Moins de raison, plus de foi. »(p.226). C'est surtout une très belle histoire d'amour entre deux êtres blessés, Maureen et Harold. Car il n'y a jamais rien eu entre Harold et Queenie, juste un secret, une lâcheté de la part d'Harold, une trahison de la part de Maureen.

Dès les premières lignes, j'ai imaginé Harold sous les traits de l'acteur américain James Cromwell, le fermier de Babe, le cochon devenu berger (de Chris Noonan, 1996). Je l'ai « vu » se transformer, maigrir, lui pousser cheveux et barbe, avoir ses chaussures en loques … J'ai voulu aller jusqu'au bout. le fin est un peu mièvre, mais le style, dépouillé, se laisse lire. Non, je n'aurais sans doute jamais acheté ce livre, mais je ne regrette pas de l'avoir lu. C'est une histoire qui fait réfléchir quand on a 45 ans de mariage au compteur dans moins de 20 jours …
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Harold Fry, retraité du Sud de l'Angleterre reçoit un jour une lettre qui le bouleverse. Lettre d'une amie perdue de vue depuis vingt ans, qui lui apprend qu'elle est atteinte d'un cancer en phase terminale.
Alors que sa femme s'occupe à l'étage, à faire son éternel ménage, il part à pied jusqu'à la boîte aux lettres la plus proche afin de poster sa réponse. Mais il décide de poursuivre jusqu'à la suivante, et la suivante... C'est là que lui vient l'idée de marcher jusqu'à son amie, qui se trouve dans le nord de l'Angleterre, à plus de 700 km de là ! Mais qu'importe, muni de ses souliers de bateau, il décide d'affronter un par un tous ces kilomètres, laissant son épouse Maureen dans le désarroi le plus total. Il marche alors pour son amie Queenie, auprès de laquelle il a terriblement besoin de se racheter, mais aussi pour son épouse, avec laquelle il ne vit plus désormais qu'une vulgaire relation de colocataires, après plus de quarante ans de mariage. Mais également pour lui, son fils David. Pour nous.

Roman bouleversant plein d'émotion, dans lequel j'aurai ri, pleuré... On découvre un homme très sensible, derrière ce petit vieux un peu ennuyeux. Et plein de regrets: vis à vis de son amie et collègue, vis à vis de sa relation avec sa femme et son fils. Ses parents, son enfance douloureuse.
On vit leurs progressions, leurs introspections... Et on fait un peu la nôtre au final.

Merci Rachel Joyce pour cette histoire pleine d'amour, qui m'a touchée en plein coeur.
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Tout d'abord, j'ai été séduite par le titre. Au cours du récit, j'ai éprouvé beaucoup de tendresse pour Harold Fry. Ce retraité mène une vie tranquille, sans intérêt. Il n'a plus de projets, à part ce petit carré de pelouse à tondre. Il n'a aucune foi en lui, ni en la vie. Sa femme astique la maison, guette la moindre poussière… ça meuble la vie, ça permet d'oublier… Tout les sépare ; il n'y a plus aucune communication entre eux. Ils vivent dans une totale indifférence. Arrive la fameuse lettre qui allait changer leur destin. Lui qui ne faisait que quelques pas de la maison à sa voiture, va entreprendre une randonnée de 900 à 1000 km.
Au gré des chemins qui montent, qui descendent, qui tournent, affrontant la chaleur, le froid, la pluie, des images, des sensations naissent et font remonter des souvenirs chargés d'émotions.
Il s'interroge, revit des scènes de sa vie, des douleurs anciennes réapparaissent.
Pourquoi n'a- t-il jamais osé ? Peut-être, a-t-il fait de mauvais choix ? Il y a beaucoup de « pourquoi » mais le passé est le passé, on peut rien y changer!
Peu à peu, il ose affronter ses peines, ses douleurs enfouies au fond de lui. Il les remue, les apprivoise, les exprime. Il se libère. Il reprend confiance en lui, découvre des richesses insoupçonnées, tout cela en marchant. Il s'intéresse à la flore. Cet homme âgé, fatigué, a un coeur qui bat et peut être animé d'une passion. Il fuit la solitude, le froid intérieur, redécouvre les autre, fait des rencontres, lui qui était fermé à tout, découvre que chaque être humain est unique, et s'en émerveille…
« Les gens doivent se sentir libres de parler. Il faut être libre de les écouter et ainsi emporter quelque chose d'eux-mêmes en les quittant »
On ne peut pas changer le passé mais on peut retrouver la paix de l'âme et du coeur.
J'ai aimé la simplicité du récit, très cool, très bon enfant. Jamais l'auteur ne s'appesantit! Entre sourires et larmes, j'ai vraiment partagé ses émotions.
Lien : http://clubdelecture.tubize-..
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