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sur 1161 notes
Un jour, Harold Fry, retraité, reçoit un courrier d'une de ses anciennes collègues, Queenie Hennessy. Cette dernière, atteinte d'un cancer incurable, est en séjour dans un centre de soins palliatifs. Bouleversé, Harold ne sait quoi lui répondre et quand il se décide à poster sa lettre, il retarde ce moment. Et sur un coup de tête, il entreprend de rejoindre son amie dans le nord de l'Angleterre.

Voici le point de départ de ce roman aussi étonnant qu'émouvant.

Si Harold parcourt 1000 km et met 87 jours pour rejoindre son amie, j'avoue avoir lu ce roman en à peine 2 jours tellement j'ai été touchée et happée par cette histoire.

Pas d'effets de manche, pas de mélo mais des mots simples, justes pour décrire cet improbable pélerinage, ces personnages si attachants, ces destins croisés.

Ce n'est pas le livre du siècle. Mais j'avoue qu'après une série de lectures décevantes, d'histoires gâchées par un style trop appuyé, qu'il est bon de lire un roman empreint de bonté, de partager un bout de chemin avec des personnages profondément humains.

Un livre qui fait du bien. Tout simplement.
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Voila, je viens de quitter Harold et j'avoue une pointe de nostalgie.
Plutôt éloigné de mes lectures habituelles le livre de Rachel Joyce a su me séduire même si mon avis reste partagé.
C'est Harold qui m'a séduite surtout. Cet homme de 65 ans qui porte le livre sur ses épaules, écrasé sous le poids des souvenirs et de la culpabilité, nous offre un voyage au coeur de l'Angleterre mais surtout au coeur de sa vie d'homme ordinaire, sa « petite vie » de retraité, soudainement bouleversée par cette fameuse lettre…
Harold, tout humilité et délicatesse envers l'autre, cet Harold qui se sent obligé d'acheter quelque chose s'il rentre dans un magasin ou qui remercie l'horloge parlante avant de raccrocher, celui-là même que la conscience qu'il a de ses faiblesses rend si attachant, va parcourir mille kilomètres à pieds, chargé de ses seuls souvenirs et regrets, et de ses espoirs renaissants.
Le temps et l'espace vont se mêler pour lui permettre une liberté non pas retrouvée mais enfin trouvée. Celle que l'on découvre lorsqu' on arrive à s'affranchir du regard ou de l'opinion des autres, lorsqu' on s'aperçoit qu'il n'est finalement peut-être pas trop tard. Lorsqu'un horizon s'offre à soi alors qu'on se croyait pour toujours prisonnier. de son couple et du silence, du temps qui passe, de l'ennui et de l'impossible retour en arrière.
Lorsqu'on retrouve enfin la foi, et peu importe en quoi l'on croit si ça nous fait avancer… J'ai beaucoup aimé l'universalité du propos. Cette impression que j'ai eu tout au long de ma lecture que chacun de nous avait un peu d'Harold ou de Maureen, au fond de soi. Que qui que l'on soit, où que l'on vive, rien n'était jamais enraciné au point de nous ensevelir vivant dans le remord et le doute.
Harold dans toute sa vulnérabilité puis dans toute sa force, nous offre donc un parcours libérateur. Où peu à peu tout reprend le goût d'une première fois.
Beaucoup d'émotion tout au long de cette lecture, et un petit quelque chose de plus, que j'ai eu du mal à identifier. Une pointe de nostalgie venue se glisser là, comme un vague à l'âme, les souvenirs heureux enfuis et leur résurgence au fil des pages.

Alors, quand même, un sentiment partagé malgré cette empathie née de l'écriture simple et limpide de l'auteur, des mots justes…
J'ai eu du mal avec ces multiples rencontres, trop nombreuses pour qu'elles ne paraissent pas répétitives, faisant souffrir l'ensemble d'une certaine redondance.
Tous les épisodes concernant les pèlerins m'ont paru un peu ennuyeux. Je n'ai pas vraiment accroché avec cette partie du récit. Les différents personnages rencontrés ici étant à peine esquissés, j'ai eu du mal à m'y intéresser. Même si on comprend bien où l'auteur veut en venir, j'ai trouvé ça maladroit. Peut-être mal amené.
Maladroite aussi cette énumération de lieux parcourus devenant une simple liste de noms par moments.

Dans l'ensemble donc, une lecture agréable. Et surtout une belle rencontre avec un homme terriblement attachant… Une belle histoire d'amour, d'amitié… Un chemin difficile vers la paix de l'âme.

Merci à Babelio et aux éditions XO pour cette découverte.
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Quand il apprend qu'une vieille amie est malade et condamnée, Harold se met à marcher vers le nord, pour la rejoindre. À quelques 800kms de lui. On se demande s'il est complètement barjot, s'il devient sénile mais quand il prend cette décision sur un coup de tête (pas de chaussures adaptées, pas d'eau, pas de carte, rien) il envoie valser l'immobilisme dans lequel il s'était réfugié, englué depuis plus de 40 ans. En partant retrouver cette amie c'est lui qu'il va retrouver, au gré de sa progression, de ses rencontres et des souvenirs qui l'accompagnent.
« Il marchait d'un pas si sûr que c'était comme s'il avait attendu toute sa vie le moment de se lever de sa chaise»
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Objectivement, j'ai toutes les raisons du monde de ne pas aimer ce livre.

L'écriture simple – ce qui n'est pas un mal – est chargée de lieux communs. Les personnages sont caricaturaux à l'extrême : un couple de petit vieux plan-plan qui n'ont rien à se dire depuis des années et sombrent doucement mais sûrement dans une léthargie maladive. Des jeunes systématiquement pommés. Des quadragénaires obsédés par le gain, la consommation, etc. Des femmes toujours douces et gentilles, mise à part l'épouse d'Harold, une vraie mégère mais ce n'est pas de sa faute, elle a le coeur brisé.

Le pèlerinage – le titre original est The unlikely pilgrimage of Harold Fry – soudainement entrepris par M. Fry se voudrait non religieux, et pourtant j'ai l'impression de lire un remake d'Immortelle randonnée – que je n'ai pas lu d'ailleurs et qui a été publié après le livre de Rachel Joyce. Tout ça pour dire que mise à part la prière – et encore – tous les éléments d'une marche le long de la route de Compostelle y sont réunis : les doutes, les rencontres, la douleur, l'isolement, le vacarme des grandes villes, le lavement de pied – si-si je me demande même si Jean-Christophe Rufin est allé jusque là dans son récit – la visite d'église et autres sites touristiques, et puis l'arrivée évidemment…

Voilà, j'ai fait ma langue de vipère. Et dire que ce livre est un cadeau, j'ai honte. Pardon. Pardon et Merci ! :)

Parce que si j'ai toutes les raisons objectives de détester ce livre, dans les faits je l'ai dévoré, j'ai avancé avec Harold avec plaisir tout au long des 400 pages de ce roman que j'ai lu en 2 jours à peine – les vacances ça aide. Si l'écriture n'est pas très élaborée, j'ai tout de même eu la surprise de découvrir dès la première page une pelouse « transpercée en son milieu par le séchoir télescopique », qui aura largement contribué à me faire tourner la deuxième page. On alterne phrases attendues et descriptions rocambolesques.

Si les personnages ne sont pas très fouillés, ils n'en sont pas moins hyper attachants, quant au pèlerinage, il reste une jolie leçon de vie qui invite à réfléchir à ce que pourrait être la foi pour nos contemporains.

Pour conclure, La lettre qui devait changer le destin d'Harold Fry est un livre drôle, tendre, simple et ça fait du bien dès l'instant où l'on accepte de ne plus trop se prendre au sérieux ;).
Lien : https://synchroniciteetseren..
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A mon avis, ce texte s'apparente davantage à un conte qu'à un roman. Et j'avoue avoir bien failli abandonner très vite : je trouvais le héros, Harold, excessivement naïf et paumé. Traînant les pieds. Aucune envergure.
Je trouvais ce récit sans intérêt.
Et puis, avec lui, doucement, j'ai avancé d'un pas, puis d'un autre. Et, en me retournant, j'avais déjà fait pas mal de chemin, avec de belles rencontres. J'ai dormi dans une grange, admiré des paysages grandioses, écouté les animaux sauvages en pleine nature. C'était apaisant. Réconciliant. Et j'ai aussi supporté la présence d'un troupeau de pèlerins solidaires/parasites qui, sous prétexte de soutenir sa marche, ont détourné son pèlerinage en une espèce de farce indigeste (triste et risible, mais assez caricatural de ce qui se passe autour d'événements sur-médiatisés...).
Et j'ai enfin compris pourquoi il avait tout ce chemin à faire (le plus grand trajet se réalisant dans sa tête).
Au final, je suis conquise. L'on retrouve, dans une version fort romancée, ce qu'avait déjà décrit Jean-Christophe Ruffin dans "Compostelle malgré moi" : la souffrance physique de la marche (les pieds sont sensibles...), la rapide clochardisation du marcheur, l'état méditatif, le détachement pour les biens matériels, les repas, la solitude, la présence des autres marcheurs, pas toujours bienvenue. Et la nature.
Au final : une belle lecture, qui mène à la réflexion, et qui est loin d'être aussi paisible qu'on pourrait le croire au premier abord...
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Je viens de passer le week-end en compagnie de Harold Fry. Harold, vous le connaissez ? Ce sexagénaire du sud de l'Angleterre m'a fait traverser le pays du sud au nord à la marche. Un matin, il part poster une lettre à une amie en fin de vie, et puis de boite aux lettres en bureau de poste il finit par quitter la ville et marcher, marcher pendant près de mille km et 87 jours.
J'ai bien essayé de quitter Harold de temps en temps, pour le déjeuner par exemple. Mais très vite j'ai repris de ses nouvelles, soucieuse de savoir où tout cela allait le mener, et aussi quelle progression intérieure serait la sienne. Car Harold a changé au fil de sa marche. Il a réappris à regarder la nature, il a fait des rencontres, il a dû faire face à la solitude et à la faim. Tout cela l'a fait grandir dans son âme, vous savez! Dans le même temps, j'ai beaucoup appris sur son passé; le puzzle de sa vie s'est agencé petit à petit et je me suis attachée à lui. J'ai compris à quel point cette marche, plus qu'un pèlerinage, devenait une véritable thérapie.
Retrouvez vous aussi Harold Fry dans son aventure personnelle, vous ne le regretterez pas!
Je remercie Babelio et les Editions XO pour cette édition spéciale de Masse Critique
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Nous sommes mardi matin. le facteur vient juste de déposer le courrier au domicile des Fry, à Kingsbridge. Maureen revient avec une enveloppe rose à la main et la remet avec indifférence à son mari, Harold, à qui la lettre est adressée.

La missive vient de Queenie Hennessy, une ancienne collègue et amie qui a un jour rendu un immense service à Harold. Quennie se trouve dans un centre de soins palliatifs de Berwick-upon-Tweed, en Ecosse. Elle souffre d'un cancer incurable.

Harold prépare une réponse à la lettre de Queenie. Il ne trouve pas sa lettre très satisfaisante mais la glisse tout de même dans une enveloppe et quitte la maison pour la poster.

En cours de route, Harold trouve une autre solution : il va marcher jusqu'à Berwick et sauver Queenie ! Il téléphone au centre de soins palliatifs et demande à l'infirmière qui lui répond de transmettre un message à son amie : Queenie doit l'attendre, survivre aussi longtemps qu'il marche. Et, une fois qu'Harold sera près d'elle, tout ira mieux.


Je remercie Babelio et les Editions XO pour cette édition spéciale de Masse Critique et, surtout, pour cette belle histoire.

Le livre qui allait changer le futur visage de mon bilan du mois d'octobre 2012 est arrivé un jeudi.

Avec des mots simples et des sentiments universels, Rachel Joyce nous fait partager l'incroyable traversée de l'Angleterre dans laquelle Harold se lance. Sans équipement, avec ses chaussures de bateau aux pieds, Harold se lance dans une marche pour l'amitié, pour l'amour, pour la rédemption...

Chaque chapitre du roman est l'occasion d'une rencontre pour Harold ou Maureen. Chacun doit alors dépasser les blocages de sa personnalité ou ses préjugés pour profiter de ces contacts avec les autres. En plus de marcher pour Queenie, Harold donne aussi clairement l'impression de marcher pour lui-même, pour Maureen et pour tous ceux qu'il rencontre.

Durant sa marche, la vie d'Harold défile devant ses yeux, les bons comme les mauvais moments. Ces séquences souvenir sont l'occasion pour nous d'en apprendre plus sur Harold, sur sa vie de couple et sa famille. Homme effacé, peu désireux d'attirer les regards, Harold a été traumatisé par une enfance passée entre un père alcoolique et une mère indifférents, qui quittera le domicile conjugual avant le treizième anniversaire d'Harold. A 16 ans, le jeune homme qu'il est devenu est mis à la porte par son père...

Sa rencontre avec Maureen semble annoncer enfin un renouveau et des périodes de bonheur pour Harold. Mais, au fil des réflexions des deux époux, on comprend que les union les a laissés insatisfaits. La personnalité étrange de leur fils, David, et sa disparition, ont encore érodé la relation des époux Fry.

Alors, la marche d'Harold vers l'Ecosse commence à apparaître aussi comme une bouffée d'oxygène, un exercice salutaire lui permettant de s'évader d'une existence terne et étriquée. La marche n'est pas uniquement destinée au sauvetage de Queenie, elle sert aussi à secourir Harold lui-même.

Le récit s'enchaîne sans faille et accroche le lecteur dès le début. Mais les parties du roman où Harold est rejoint par une foule de " pèlerins " (comme ils se nomment eux-mêmes) qui croient participer au sauvetage de Queenie alors qu'ils ne font que semer la pagaille sont beaucoup moins " lumineuses ". Moins d'espoir s'en dégage, on sent que la suite ne s'annonce plus aussi facile pour Harold. J'ai eu le sentiment, durant ces passages, que notre héros était dépossédé de quelque chose qui n'appartenait auparavant qu'à lui. C'est comme si sa marche était dépouillée de la pureté et de la simplicité qu'elle reflétait au départ ; comme si cette impulsion irrésistible qui a poussé Harold à se mettre en route commençait à s'essouffler, étouffée par le faux enthousiasme des idiots qui tentent de se faire remarquer en rejoignant Harold.

Et le manque de réaction d'Harold lui-même m'a paru intolérable, presque douloureux ! Pourquoi ne demande-t-il pas à ces gens de le laisser, de marcher seuls et dans une autre direction si tout ce qu'ils souhaitent, c'est de faire une petite randonnée dans le nord de l'Angleterre ? L'objectif d'Harold semble tellement plus important...

Malgré ce petit moment éprouvant pour les nerfs, La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva le mardi... est un récit absolument magnifique. Plein d'espoir et de " foi " (pour utiliser l'expression d'Harold lorsqu'il parle de sa longue marche), il donne l'impression qu'il est toujours possible de changer sa vie et celle des autres. Il est aussi toujours possible de recommencer, de repartir à zéro, quel que soit l'âge que l'on a atteint. Il suffit juste d'y croire de toutes ses forces !
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Harold Fry est une coquille vide depuis des années. Depuis vingt ans, sa femme Maureen et lui vivent comme de parfaits étrangers. Lorsqu'il reçoit une lettre de son amie Queenie Hennessy dont il n'a plus de nouvelle depuis des années, sa vie est chamboulée. Elle lui annonce qu'elle se meurt tout doucement d'un cancer. Harold ne réfléchit pas. Il marche, marche, ... Vers Queenie Hennessy, vers ses souvenirs, vers la rédemption. Un voyage qui lui prendra 87 jours et lui fera traverser l'Angleterre du sud au nord. Certains seront plein d'énergie positive d'autres seront de vrais parcours du combattant. Entre rencontres, souvenirs, regrets, quête spirituelle, ... le voyage d'Harold ne s'annonce pas de tout repos.

J'ai trouvé ce roman touchant entre espoir et tristesse. Une tragédie (que l'on devine assez rapidement) a brisé le mariage de Maureen et Harold. Queenie, sa seule amie qu'il avait rencontré à son boulot, est partie brusquement vingt ans plus tôt et pourtant l'annonce de sa maladie est insupportable pour Harold. Il doit faire quelque chose. Marcher. Et elle, en retour doit l'attendre.
Harold m'a touchée. Son passé, son incapacité à exprimer ses sentiments, ses regrets, ... Il a enfin l'impression de faire quelque chose, de bouger. Maureen, de son côté, essaie aussi d'avancer. le départ d'Harold va lui permettre de sortir enfin du silence, de la colère et de la tristesse qui l'accompagnent.

Ce voyage à travers l'Angleterre est bien décrit. On imagine les villes, la campagne, les routes, tous les endroits qu'Harold visite pour ramener des souvenirs, ...

Là où j'ai été moins conquise, c'est avec les rencontres que fait Harold ou le groupe de pèlerins qui le rejoint. Cela m'a semblé parfois tiré par les cheveux ou peu crédible. Ces gens qui reprennent le flambeau d'Harold et le détournent, certaines rencontres un peu trop farfelues, ...

En conclusion, un roman doux-amer qui parle d'erreurs, de non dits, du temps qui passe mais aussi d'espoir, de seconde chance, de rédemption. Un roman qui touche par l'émotion qu'il dégage. Une jolie découverte.
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J'ai adoré ! C'est beau. plein de sentiments. C'est paisible aussi. Et l'ion marche avec Harold le héros à travers la campagne anglaise.
Harold reçoit une lettre d'une amie mourante. Il lui répond par courrier et finalement son cheminement jusqu'à la boite aux lettres lui fera traverser une partie de l'Angleterre à pied. Comme ça. Simplement.
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Harold Fry reçoit une lettre d'une ancienne amie qui lui annonce son cancer. Il lui répond et plutôt que de poster la lettre, il décide sur un coup de tête de la lui apporter lui-même, à pied. Mille kilomètres s'ouvrent devant lui… Il laisse derrière lui son épouse, Maureen, désemparée et confrontée à elle-même.
Certains passages m'ont semblé fort longs et le manque de réaction d'Harold face à certains événements m'a hérissé parfois mais finalement, ce récit d'homme ordinaire qui vit une aventure extraordinaire est touchant, une aventure qui permet aux personnages de sortir de la routine, de se remettre en question.
Voilà le genre de roman que j'aime lire avant de m'endormir : léger sans être creux, pas angoissant, avec de jolies idées et un certain suspense. Une lecture que j'ai trouvée agréable, sans plus.
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