AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur A Scottish wedding disaster (6)

Je n’ai pas peur de toi, mais de moi. De ce que les gens peuvent détruire au fond de moi.
Commenter  J’apprécie          30
— Mercie, Mercie, Mercie. Il a raison. Ce n’est pas parce que tu ne vois pas les gens qui vous surveillent, qu’ils ne sont pas là. Alors oui, tu vas dormir avec lui, tu vas laisser la porte de la salle de bain ouverte quand tu prendras ta douche et tu vas te blottir contre son superbe corps sur le canapé le soir au coin du feu.
— Superbe, tu plaisantes ? Il ressemble au monstre de Frankenstein ton frère.
Tiens, il rit moins le criminel. Son frère en revanche hurle dans le combiné. Puis il se racle la gorge et reprend.
— Tu sais, même dans cet état, je connais une bonne centaine de nanas qui aimerait être à ta place. Jackie est un peu le tombeur de ces dames dans le coin. Alors, savoure. Et puis s’il n’est pas en forme, je pourrais toujours sauver l’honneur de notre famille la prochaine fois que je te croiserai.
Je détache le téléphone de mon oreille et l’observe un moment, atterrée par ce que je viens d’entendre. Il me propose bien ce que je crois qu’il me propose ? Non, mais cette famille est une véritable calamité.
Commenter  J’apprécie          10
Tiens, ce ne serait pas moi la décérébrée en fin de compte ?
— Analphatruc peut-être, mais je t’ai à l’œil . Alors pas de vague pendant le dîner sinon tu auras affaire à moi. Et juste pour info, ton frère ne me fait pas peur. Alors, garde tes distances.
— Venant d’un type qui se colle à moi avec autant de sex-appeal qu’un caniche qui tenterait de monter sur un doberman, je vais bien prendre cette remarque. Maintenant si tu veux bien m’excuser.
Je le repousse, paume contre son torse et je sens son cœur qui tambourine. Un éclair passe dans ses yeux, mais il me laisse me dégager.
— Bien, je ne te salue pas.
Je me dépêche de faire demi-tour, mais il m’apostrophe une dernière fois.
— Tu peux bien raconter ce que tu veux, Sassenach,, on sait tous les deux que tu ne serais pas à la hauteur avec un homme, un vrai.
Commenter  J’apprécie          00
— C’est pas mal ton infusion de fillette, Blanche-Neige, mais t’aurais pas un truc un peu plus fort pour mélanger avec ?
Il secoue sa tasse et en observe le fond.
— Tu veux du sucre, du lait, un peu de cannelle ?
Il pince ses lèvres.
— Je pensais plus à du whisky.
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 7 :
Mercie
«… Tiens, ce ne serait pas moi la décérébrée en fin de compte ?
— Analphatruc peut-être, mais je t’ai à l’œil . Alors pas de vague pendant le dîner sinon tu auras affaire à moi. Et juste pour info, ton frère ne me fait pas peur. Alors, garde tes distances.
— Venant d’un type qui se colle à moi avec autant de sex-appeal qu’un caniche qui tenterait de monter sur un doberman, je vais bien prendre cette remarque. Maintenant si tu veux bien m’excuser.
Je le repousse, paume contre son torse et je sens son cœur qui tambourine. Un éclair passe dans ses yeux, mais il me laisse me dégager.
— Bien, je ne te salue pas.
Je me dépêche de faire demi-tour, mais il m’apostrophe une dernière fois.
— Tu peux bien raconter ce que tu veux, Sassenach,, on sait tous les deux que tu ne serais pas à la hauteur avec un homme, un vrai.
...»
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 2 :
Mercie
«… Je lui jette quelques rapides coups d’œil pour voir ce qu’il fait, car je ne suis pas rassurée.
— Putain, mais t’as fini de me reluquer la Sassenach ?
OK donc en plus de ne pas être sympa, il est grossier. Parfait.
Le frère aîné me lance un regard désapprobateur depuis le rétroviseur et je me sens obligée de me défendre.
— Je n’ai rien fait, je promets. Et puis je ne suis pas une Sassenach. Je suis à moitié écossaise par mon père.
Mon compagnon de banquette grogne encore.
— Pfff, pour ce que ça change.
Et là, va savoir pourquoi, un éclair jaillit hors de moi.
— Eh bien, ça change que je n’ai pas trop envie de me faire insulter le jour du mariage de mon frère. Alors, soit tu la fermes, soit tu es aimable !
Je ne saurais dire lequel de nous cinq est le plus surpris, car le silence résonne encore dans la voiture après que l’aîné a coupé le contact. Inutile de préciser que dès que Neil ouvre la portière, je jaillis au-dessus de ses genoux pour m’extirper de ce guêpier en courant.
Et je les entends rire dans mon dos. Bande de tarés.»
Commenter  J’apprécie          00




    Lecteurs (58) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Compléter les titres

    Orgueil et ..., de Jane Austen ?

    Modestie
    Vantardise
    Innocence
    Préjugé

    10 questions
    20203 lecteurs ont répondu
    Thèmes : humourCréer un quiz sur ce livre

    {* *}