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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Dans la petite ville de Buppa, située dans la préfecture de Tokyo, Jagasaki est agent de quartier. Il est d'une banalité sans nom, médiocre. Les habitants se moquent de lui et ne respectent pas ses injonctions. Ses collègues n'ont aucun respect. Il est soumis, sourit bêtement quand on l'insulte. Mais il a une petite amie, comme ça, sans plus de passion. Elle rêve de se marier avec lui, de lui présenter ses parents, d'avoir des enfants mais comme toujours, velléitaire, Jagasaki se contente de sourire bêtement. Il se réfugie dans un rêve, celui de sortir son arme de service et de flinguer tous ceux qui le raillent, même sa petite amie. Heureusement, il ne passe jamais à l'acte, c'est juste un fantasme. Mais un jour, lors d'une intervention dans le métro, pour aider un ivrogne, avec son collègue, ils vont être témoin d'un phénomène étrange et horrible. Mais avant que ce mystérieux incident n'arrive, il y a eu une pluie de crapaud sur la ville. Dans le métro, un homme en colère se transforme en monstre. Sa langue devient une redoutable arme tranchante et les passagers sont massacrés les uns après les autres. Son collègue se fait décapiter d'un coup de langue et quand Jagasaki sort enfin son arme, la langue vient lui trancher les doigts qui allaient appuyer sur la détente. Au moment où le héros se voit mourir, les doigts tranchés se rassemblent en une forme de canon, le coup part et le monstre explose. C'est alors que Jagasaki remarque la présence d'une étrange chouette, équipée d'un casque de cuir comme ceux des anciens aviateurs. La chouette s'adresse à notre héros, lui dit comment elle s'appelle, lui annonce qu'ils vont faire équipe et se met à fouiller le corps explosé du monstre et en sort un crapaud qu'elle dévore...

Voilà un manga surprenant. Côté dessin, je ne peut pas dire que les personnages soient spécialement beaux. C'est volontaire. le héros a plutôt l'air benêt. Par contre, c'est extrêmement gore. Ca semble démarrer gentiment et d'un coup, tout s'accélère et nous, lecteur, sommes surpris par la soudaineté de la violence. La chouette ressemble à une peluche, tant sa forme est naïve. Elle est la clef, le coach de notre héros qui ne comprend pas se qui lui arrive. Elle lui explique que des milliers de crapauds, de l'espèce des "xénopathes fous" qu'elle appelle plus simplement les crapadingues, prennent possession des esprits humains en pénétrant dans les corps et qu'ils stimulent les désirs les plus fous en pulsions, rendant les humains infectés inhumains et tueurs fous. Doku, la chouette, nomme les humains infectés les détraqués. Il explique que si Jagasaki vient d'entrer en possession d'un tel pouvoir, c'est qu'il est infecté. S'il n'est pas encore devenu un détraqué, c'est parce qu'il est possédé par un têtard et non un crapaud adulte mais qu'à tout moment, il peut devenir un détraqué et perdre le contrôle. La seule façon de redevenir normal après que notre héros se soit servi de son pouvoir, c'est de broyer une crotte de la chouette qui vient de dévorer un crapaud et de la snifer. Mais le pauvre Jagasaki voit sa compagne infectée qui menace de le tuer et n'a d'autre solution que de se servir de son pouvoir et de la tuer pour sauver sa vie Mais il conserve la tête de son amie dans son frigo, nous prouvant ainsi qu'il n'est quand même pas tout à fait net. Ensuite, il se rend à un mariage d'un ancien camarade de lycée et se retrouve de nouveau confronté à une monstrueuse et mortelle mutation. Ce n'est que la mariée qui massacre ses convives et notre héros doit apprendre à faire appelle à son pouvoir tout en gardant le contrôle de ses pulsions. Voilà la série amorcée dans une violence inouïe. Pour un premier tome, ça part sur les chapeaux de roues et c'est extrêmement dynamique. Le tandem Jagasaki au bras tueur et la chouette Doku, même s'ils n'ont rien en commun, semble efficace et devra sans doute être inséparable. Par contre, le jeune policier doit encore travailler avec sa collègue Belle, qui, jusqu'à maintenant, n'a pas été massacrée comme la plupart des premiers personnages. En plus, il y a un fond d'humour déjanté. Je ne sais pas combien de temps tiendra le mangaka à ce rythme mais j'accroche et vais tenter de suivre cette série complètement loufoque. Le prochain épisode est annoncé le dix avril. Attention, c'est violent, c'est gore et il y a, même s'il n'y en a pas trop, des scènes de sexe. Donc, à ne pas mettre entre toutes les mains. Lu en numérique en format KINDLE sur iPad Pro.



Personnages :

Ville : Buppa, petite ville située dans la préfecture de Tokyo. La ville à une mascotte, une peluche qui ressemble à une aubergine et qui s'appelle Buppaman.

Shintarô Jagasaki : agent de police, agent de quartier qui rêve de se servir de son arme. C'est le héros principal. Après une transformation qui échappe au héros, son bras droit se transforme en arme à feu. La chouette l'a surnommé Jagaaan, le détraqué combattant.

Belle : collègue de Jagasaki, policière au caractère bien trempé.

Yuriko : petite amie de Jagasaki. Elle a un rôle éphémère. Elle ne survivra pas au premier épisode.

Sanshirô Dokuyamada, plus simplement appelée Doku : la redoutable chouette solitaire. Elle dévore les crapauds qu'elle appelle les crapadingues. Elle est douée de parole et ses croutes après avoir dévoré les crapauds, sont un médicament qui permet de maîtriser les mutations dues aux crapauds.

Les crapauds : espèce : les xénopathes fous. Ils sont tombés en pluie sur la ville de Buppa, comme une des plaies d'Egypte. La chouette Doku les appelle les crapadingues et les dévore pour les éliminer. Ces batraciens entrent dans les corps d'humains et prennent le pouvoir de ces derniers. Ils les mutent en fonction de leurs désirs les plus enfouis et les transforment en pulsions. le résultat est que les humains contaminés deviennent des monstres sanguinaires aux pouvoirs surpuissants.

Les détraqués : c'est e nom que Doku donne aux humains contaminés par les crapauds.

Jagun : c'est le nom du bras droit de Jagasaki. C'est une trouvaille de Doku.

Autres personnages : visiblement, vu l'espérance de vie des premiers personnages de ce premier épisode, je pense que ce serait perdre mon temps à vouloir les nommer ici.

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Franchement je ne sais pas dans quel thème classer ce manga.

Complètement déjanté ? le héros du nom de Shintarô Jagaski en tous cas lui il est complètement déjanté surtout à cause du phénomène qui s'empare de son corps déjà qu'il était instable dans sa tête, l'entité qui se développe en lui ne risque pas d'améliorer les choses. Pourtant homme de loi car étant agent de police, il pourrait utiliser cette capacité au service de l'humanité

Mais le manga lui, est plutôt loufoque et le rythme ne faiblit pas pendant tout ce premier tome, il faut s'accrocher pour assister à certaine scènes. Entre mélange de science-fiction et horreur. Après avoir refermé ce manga je crois que je ne vais pas attendre longtemps avant de découvrir ce que l'avenir réserve à Shintarô. Mais les pouvoirs qu'il possède pourrait bien le transformer en monstre s'il ne suit pas les conseil d'un être très étrange. Shintarô fait vraiment partie de ces personnage d'anti-héros à l'esprit tourmenté.

Un manga loufoque orignal et spectaculaire.
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Et voilà une nouvelle série prometteuse, « Jagaaan » avec 4 « A » de Kensuke NISHIDA, éditée par la très belle maison Kaze Manga. Découverte grâce à un format publicitaire dans mon dernier opus de « Firefly », j'ai apprécié mettre le nez dans ce premier tome, vitrine d'un univers séduisant et violent qui donne envie d'en savoir plus.

Shintarô Jagasaki, jeune flic sans trop d'ambition, est régulièrement maltraité et humilié par ses collègues et le reste du monde. Occupant un second rôle dans sa propre vie, il constate la monotonie de cette dernière et exècre ce chemin qui semble tracé d'avance. Que se cache vraiment derrière ce sourire de façade et cette tête de gentil garçon ? Eh bien, des pulsions violentes qui lui donnent envie de coller une balle dans la tronche de la majorité des gens qui l'entoure. C'est finalement la rencontre avec un mutant agressif et une chouette magique qui feront basculer sa vie pour toujours. Pour le meilleur et pour notre plus grand plaisir…

Un monde barbare, un personnage à côté de ses pompes et un animal mignon empreint d'une grande sagesse comme compagnon de route ? J'achète. Comme vous l'avez sans doute déjà remarqué, je me retrouve facilement dans ces ambiances surnaturelles et obscures et j'apprécie découvrir des anti-héros notoires voir un poil dérangé. Saupoudrez le tout d'un humour noir et de dessins soignés, et paf, ça fait des chocapics.

Je vais continuer cette série car on me dit dans l'oreillette que le deuxième opus est d'ores et déjà disponible et que notre personnage n'a pas fini de découvrir ses nouveaux pouvoirs. Affaire à suivre…

Lien : http://www.chroniquesdurenar..
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Cela fait quelques heures que j'ai terminé ma lecture et je ne sais toujours pas vraiment ce que j'en ai pensé. Je crois que c'est plutôt bon signe !
Je pourrais résumer ce manga en "quand Parasite est adapté en collection WTF de chez Akata". Tout simplement. D'ailleurs, ce titre aurait sa place dans la collection car il est brutal, trash et en même temps jouissif. le personnage principal n'est pas un héros, au contraire : un jeune homme parmi tant d'autres, lambda, dévoré par ses angoisses. Je parlais de Parasite plus haut (je suis une grande fan) et le mangaka assume clairement l'hommage en mentionnant Migy (l'alien qui sert de main droite au héros de Parasite) au détour d'une page.
Mais l'hommage ne s'arrête pas là. A mes yeux, le mangaka a repris le principe de départ de Parasite : une invasion d'extra-terrestres et un jeune homme avec une main droite "améliorée" pour les combattre. le tour de force de l'auteur est qu'au lieu de faire un Parasite bis, il opte pour un ton décalé et déchaîne toutes les frustrations de la société Japonaise moderne. Ce déferlement de violence jubilatoire en dresse un portrait acerbe ; derrière la profusion d'hémoglobine et autres défouloirs, c'est là que réside l'intérêt de ce manga.
Graphiquement, ce seinen ne cherche pas à rendre ses personnages beaux. L'état instable du héros nous empêche de compatir avec lui et le rend inquiétant. Les humains mutants font peur mais sont souvent grotesques. Les femmes peuvent être séduisantes mais se transforment en furies sous l'influence des grenouilles de l'espace. Les décors sont assez inexistants. Ce n'est pas ça qui importe.
Pour conclure : un titre faussement déluré dans sa forme et maîtrisé dans son fond. La raison pour laquelle je n'ai pas mis une note plus haute est que malheureusement, je n'ai pas pu sortir de la comparaison avec l'immense Parasite. Dommage mais c'est très personnel et je reconnais la valeur de ce titre ! C'était un pari osé et il est plutôt réussi. Je n'aurais qu'une réserve quant à la potentielle faiblesse du scénario sur les prochains tomes, en espérant qu'il ne s'agisse pas de répétitions d'affrontements sur affrontements.
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Buppa, cette petite ville de Tokyo peut compter sur l'agent de quartier Shintarô Jagasaki pour que la sécurité règne dans cette cité.
Les habitants de ce quartier ne sont pas reconnaissants envers le travail de cet agent très spécial. Ses collègues le dénigre et se moque beaucoup de lui.
Jagasaki est un garçon bienveillant mais derrière son caractère sympathique, des envies de coller une balle dans la tête des malotrus, ou des collègues qui le méprise s'emparent de lui.
Un beau jour, il rencontre un détraqué mutant avec une chouette qui changera sa vie.

Jagaaan est un manga original, il y a beaucoup de rythme et les personnages sont très travaillé en profondeur. Nous connaissons le passé, le style de vie de Jagaan.
La justice est un thème central dans cette série de manga et le héro doit faire de nombreux choix cornéliens.


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J'adore. C'est déjanté ! Les détraqués racontent beaucoup sur les humains et sur notre société ! Beaucoup de problèmes de communication qui crée des problèmes internes. Jagasaki est donc bien intéressant par son évolution qui va se ramener avec ce nouveau pouvoir. Je suis bien bien intrigué.
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Et si nos pulsions prenaient le pas sur notre raisonnement au point de nous transformer en machines à tuer ? C'est le pari fou que font Muneyuki KANESHIRO, scénariste rôdé et Kensuke NISHIDA. Si le pitch peut rappeler MIRACULOUS LADYBUG, la forme est bien différente. La violence a écrasé les gentilles coccinelles dès les premières pages. Et c'est jubilatoire ! Qui n'a jamais eu envie de hurler après une journée pourrie ? Les protagonistes de JAGAAAN n'hésitent plus à faire part de leurs états-d'âme malsains, le coeur et le corps ravagés par leurs pensées enfouies. A force d'étouffer ses émotions, on finit par craquer. Et quand c'est un frustré à tendance sociopathe qui doit se charger de protéger le monde des monstres, l'aventure risque d'être mouvementée !

On ne pouvait pas rêver mieux comme anti-héros pour renouveler le genre ! Au revoir les grands ténébreux au passé sombre, et bonjour au mec "normal". Jagasaki, que ce soit par son physique ou sa mentalité est presque repoussant. Mais étrangement, on aime le voir délirer avec ses pulsions meurtrières, c'est un héros exutoire pour les lecteurs et sa barbarie est un bol d'air cynique pour qui à l'impression de vivre un train-train quotidien semblable au sien. Surtout que le manga ne manque pas d'humour noir ! Entre Jagasaki qui chantonne aux pires moments, son adorable chouette de compagnie qui deale ses propres excréments et l'absurdité des événements quand le malheur frappe, le rire est à portée des zygomatiques. le chara-design réaliste en rajoute une couche d'ailleurs puisque Kensuke NISHIDA n'hésite pas à rendre ses personnages grotesques, accentuant particulièrement sur les grimaces (peut-on parler de sourire à ce niveau ?) qu'on s'efforce de faire en société. La scène du miroir lors du premier chapitre est particulièrement marquante à ce niveau-là. Et le grotesque prend une allure à la fois monstrueuse et tordante avec les métamorphoses. Les pires défauts des victimes prenant corps, leur apparence frôlerait le ridicule si elle n'était pas synonyme de massacre imminent !

JAGAAAN est un double coup de maître. A la fois sur la puissance du scénario mais également des planches qui rivalisent d'ingéniosité pour exprimer l'étouffement des conventions sociales et l'animalité qui existe encore en chaque homme. "PAN ! T'est mort !" chante Jagasaki à tout va, le bougre nous a eu dès le premier tome !

Lien : http://chezolivres.blogspot...
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Extrait :
Jagaaan est un seinen, édité en France par les éditions Kaze. Si vous connaissez le manga Parasites, sachez que Jagaaan lui ressemble beaucoup pour le thème général, c'est-à-dire le fait que les êtres humains se font posséder par un élément extérieur, on ignore toutefois si ici il s'agit d'extraterrestre. Par contre, pour le reste il n'y a rien qui le fasse ressembler à cet autre manga, en effet, Jagaaan aborde le thème avec moins de sérieux, et plus dans le sens dérangé, ce qui peut ne pas plaire à tout le monde…

J'ai découvert la série grâce au premier confinement, qui a donné l'idée à certains éditeurs d'offrir des versions numérique de certaines de leur série, les deux premiers tomes de Jagaaan en faisait partie (car oui, je crois que l'offre n'est plus valable). le tome commence en nous présentant son personnage principal, Jagasaki, un jeune policier de quartier, qui, on peut le dire n'a pas un caractère et des pensées banales… En effet, il est plus du genre insensible et très, très peu expressif, si bien que ses sourires (afin de se fondre dans la société) sont tous forcé, même avec sa petite amie. Il n'est pas vraiment satisfait de sa vie actuelle, lui-même dit qu'il va finir sa vie de manière banale et que cela le frustre, mais on peut également dire qu'il ne fait rien pour changer cela… Heureusement pour lui, sa vie ne va pas tarder à basculer…

[...]

En bref, ce tome est bien sympathique, mettant pleins d'éléments en avant et ayant un fond concret afin de critiquer un peu la société japonaise. Malgré tout, ce n'est pas une série qui plaira à tout le monde.
Lien : https://sunread26.wordpress...
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J'ai lu les 2 premiers tomes de Jagaaan, manga Seinen, alors attention certaines scènes peuvent choquer, il y a pas mal de sang et de boyaux, des petites fesses qui se baladent de temps à autre. Je suis tombée sur ce manga par hasard et je me suis dit, pourquoi pas?!

L'histoire est intéressante, on rentre rapidement dans le vif du sujet. On rentre dans le quotidien de Shintarô Jagasaki, flic de quartier qui se fait rabaisser par ses collègues, mais aussi par certains jeunes. Il en a marre de cette vie toute tracée, copine, fonder une famille et se faire humilier au boulot. Son sourire forcé fait froid dans le dos et les dessins le font très bien ressentir, quand il parle tout seul avec sa phrase fétiche «Pan ! T'es mort !», c'est très malaisant.

Après l'histoire est un peu loufoque, avec une pluie de batraciens qui s'abat sur la ville. Mais ces petites grenouilles ne sont pas très gentilles... Elles prennent possession des gens et se développent dans leurs corps en ce nourrissant des pulsions que répriment leurs hôtes, ce qui transforme totalement l'humain en un monstre "mutant" détraqué qui tue tout sur son passage.

En bref, c'est une histoire de dingue, les dessins sont justes géniaux, avec du gore et des boyaux partout, faut avoir le coeur accroché, car des fois, c'est vraiment dégueu, mais j'adore ! (Moi folle ?! Ouais, je pense 😂).

Pour ceux qui sont fans de Seinen, et d'histoire loufoque, foncez ! J'ai hâte de lire la suite !
Lien : https://naheiko.blogspot.com..
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Je remercie les Éditions Kazé pour cette lecture. Depuis un moment, j'avais envie de tester cette saga. Grâce à Kazé, cela est maintenant chose faite et je peux vous dire que j'ai très hâte de voir ce que la suite nous réserve ! 😉

Shintarô est un agent de police. Il a une vie plutôt banale. Il travaille. Il a un logement. Il a une petite amie. Il voit bien que son avenir, est tout tracé. Il finira sans doute par se marier avec cette fille, avoir des enfants avec et puis mourir…

Sauf qu'à côté de ça, Shintarô à régulièrement des pensées meurtrières en mode « pan t'es mort ». C'est un personnage plutôt flippant. Ça se voit qu'il n'est pas satisfait dans sa vie. Il voudrait autre chose que cette simple banalité.

La vie va répondre à ses attentes, mais pas de la manière dont il le pensait. Un jour, en plein métro, un homme va se transformer en un mutant étrange. C'est à ce moment-là que la main de Shintarô va se transformer et tuer le monstre… Mais que lui arrives-t-il ?

Au début, j'étais très flippé. Les dessins du mangaka sont dessinés d'une manière faite pour nous faire peur. En plus, le personnage principal est clairement glauque de base ! de ce fait, j'étais bien ancré dans l'ambiance de l'histoire !

J'ai vraiment beaucoup aimé le personnage de Shintarô. Il est certes bizarre, il a des pensées meurtrières, mais sa détresse le rend attachant à mes yeux. J'ai d'ailleurs très hâte de voir comment lui et sa main vont évoluer ! 😉

En bref, c'est un premier tome qui me donne totalement envie de continuer à lire ce manga. J'ai très hâte de voir comment cette histoire va évoluer. J'ai également hâte de découvrir d'autre personnage important, comme celui qu'on voit en fin de tome et qui clairement intrigue !
Lien : https://lapommequirougit.com..
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