L'homme efflanqué agite un billet de vingt euros sous son nez. Attiré par les galettes, il a pris Ayoub pour un dealer. Ses cheveux sont baignés de sueur, ses vêtements en lambeaux. Il est incapbale d'articuler un mot.
Je mets la main sur une boîte de médicaments blanc et vert. Lakhdar la prend et en tire une tablette.
- C'est comme le Viagra, sauf qu'avec ça, tu peux taper la coke sans problème, ton coeur reste calme.