Impossible de lire davantage que l'introduction et le premier chapitre de ce livre où je n'ai trouvé qu'un rassemblement de bondieuseries moralisatrices, d'inepties antropomorphiques sur les chiens et de réflexions philosophiques aussi pieuses qu'archaïques.
La combinaison des trois étant insupportable, je n'ai pas su en lire davantage.
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Lorsque je repense à ces précieuses années passées à Fairwinds, je réalise qu'à travers Lass, j'ai appris ce que Christ, mon Bon Berger, voulait accomplir sur ses terres en me prenant comme coéquipier.
Bien vite, elle [Lass, la chienne] se rendait compte de la déception qu'elle m'avait causée. Elle sentait qu'un froid s'était installé entre nous à cause de son mauvais comportement. Elle méritait une sévère réprimande si elle voulait regagner ma confiance.