AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,61

sur 846 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Voilà une série qui me faisait bien envie. Entre sa couverture (je suis faible devant tant de beauté) et son résumé accrocheur, j'avais bien envie de découvrir cette histoire qui revisite le mythe de Midas. Ce roi qui a la capacité à transformer tout ce qu'il touche en or. Un bon moyen de combler ses désirs d'accumulation de richesses en vue du bonheur parfait. Autant dire que j'étais bien curieuse de découvrir cette histoire dans laquelle nous suivons Auren, prisonnière d'une cage dorée.

J'ai commencé ce roman sans trop d'attentes. Car clairement il faisait parler de lui depuis un bon moment et comme tout roman ultra plébiscité, je suis assez suspicieuse. Je sais que bien souvent je vais à contre-courant des coups de coeur en folie et donc, je me suis lancée dans ma lecture en me disant : voyons ce que cela donne, si j'aime, parfait, si je n'aime pas, tant pis, j'aurais fait mon propre avis. J'ai terminé ma lecture avec un constat sans appel, je n'ai pas aimé.

Tout d'abord, sachez que ce premier tome entre totalement dans la catégorie Dark Romance. J'avais eu des petits échos à ce sujet (mais j'ai évité les avis jusqu'à ma lecture). Premier chapitre et déjà dans cette ambiance assez sombre. Auren est dans sa cage doré et assiste à l'orgie de Midas avec ses 6 pouliches. On se croirait presque dans GoT. Personnellement, j'ai trouvé cela assez déstabilisant dans le sens où comme première impression ce n'est pas l'idéal. J'ai de suite détester Midas. Et alors le terme "pouliches" pour parler des maîtresses de Midas, accentue encore plus leur position de "choses" sexuelles dans cette histoire. Clairement quelque chose qui m'agace. Cette entrée en matière est donc une bonne idée de ce qui nous attend. Violence physiques et notamment viols sont de la partie, sachez-le.

Alors oui, ça se lit vite, la plume est plutôt agréable (en dehors de ce qui s'y déroule) on se laisse assez facilement embarquer par l'univers que nous propose l'autrice. Je reconnais volontiers que l'univers ne sert pas juste de décor, on est vraiment dans de la romantasy, reproche que je faisais à Hadès et Perséphone justement (qui plantait le décor et basta). Pour le coup, le background ici est intéressant et j'ai apprécié découvrir les secrets de nos personnages et ce petit suspens quant au fait que Auren soit sa pouliche (GRR) préférée et qu'elle soit entièrement d'or. Sa particularité que l'on découvre assez rapidement accentue le mystère autour de sa personne. MAIS, car il y a un mais, cela montre encore plus qu'elle aurait pu réagir avant au lieu de voir des violences révoltantes se dérouler juste devant son nez, sans agir ou du moins aussi tardivement.

Mon principal problème avec ce récit, c'est donc Auren, l'héroïne. Elle passe bien 80% du roman avec une naïveté sans limites. Depuis ses 15 ans, elle est enfermée dans sa cage dorée, certes, elle bénéficie de son petit confort mais cela reste une CAGE. Vous voyez les chemins de grillages dans les zoo ? Eh bien Auren a ses propres passages pour se balader de cages en cages avec une surveillance constante dans le château. Autant dire une situation révoltante. Jusque là, on se dit, pourquoi pas, c'est le début de l'histoire. Elle va se rebeller rapidement. Mais le hic, c'est que non. Syndrome de Stockholm bonjour. Auren est folle amoureuse de Midas, au point de lui excuser son comportement, sa cage, son contrôle et son obéissance. Etre forcée de regarder celui qu'elle aime, baiser avec ses pouliches (appelons un chat, un chat) subir des ordres non stop, ne même pas avoir le droit de dire quoique ce soit et enfin être échanger pour des complots stratégiques, mais, même comme ça elle lui trouve des excuses, bref, elle obéit et s'écrase.

Côté romance, je m'abstiendrais de détailler ici. Pour moi, ce n'est pas une romance à proprement parlé vu à quel point cette relation est malsaine. Certes, ils se sont connus avant et peut-être étais-ce sincère, mais l'arrivée de l'épouse de Midas, des pouliches et de cette cage, signe définitivement un tournant pour moi et on sort de la romance classique pour partir sur une Dark Romance (que je n'apprécie pas). Et les rebondissements ne vont que confirmer mes craintes. Finalement, il y a un petit côté répétitif déjà avec l'arrivée d'ennemis et le fait qu'ils voient tous les femmes comme des vagins dont abuser. C'est résumé grossièrement, mais c'est totalement ça.

En conclusion, j'ai tenté, je me suis embarquée dans cette histoire curieuse de découvrir cette revisite mais je m'arrêterais ici. Je n'ai pas apprécié les personnages et la tournure de ces derniers et même si l'univers est intéressant, je n'ai pas passé un bon moment de lecture au vu de tout ce qui s'y déroule. Je ne doute pas qu'il plairait aux amateurs de Dark Romance, mais pour ma part, je n'ai pas aimé.
Lien : https://my-bo0ks.over-blog.c..
Commenter  J’apprécie          160
Auren est la favorite du roi Midas. Depuis 10 ans, elle vit en cage dans le palais de celui qui change tout ce qu'il touche en or. Alors que la guerre menace, le roi fait ce qu'elle ne pensait pas possible : il passe un accord dont elle sert de monnaie d'échange.
Je commence par les points positifs (oui, il y en a). L'univers développé est intéressant : plusieurs royaume, où seuls ceux qui ont des pouvoir peuvent régner. Un passé où les créatures mythiques existent. Mais çà, on ne le sait qu'à la fin. Et, je crois que c'est tout…
Ensuite, il y a le reste. Des descriptions à n'en plus finir, où le texte accumule les adjectifs et les adverbes, sans parler des tournures alambiquées. le tout plombe le style et la narration.
Puis, il y a l'intrigue. Enfin l'intrigue, si on veut… le premier tiers du roman en est dépourvu, sinon une succession de scènes de sexe et de scènes d'ennui et de plaintes de l'héroïne. Ensuite, on sent l'action arriver, mais dommage, on retombe vite dans le pas grand chose à raconter, avant un sursaut final.
Enfin, on arrive aux personnages tous plus détestables les uns que les autres. Auren, qu'on a envie de secouer pendant tout le roman, victime consentante de sa captivité et d'un roi qui ne fait que se servir d'elle (bonjour le syndrome de Stockholm), Midas, pervers et sans grand intérêt. Et on parle des pouliches (que je déteste ce termes), qu'on aurait envie de plaindre, mais que se limite à leur jalousie envers Auren.
J'ai bien aimé la voix d'Amandine Longeac, même si j'ai trouvé sa dicton peut trop lente. Mais j'avoue que j'ai été tellement agacée par l'histoire que j'ai sans doute fait l'amalgame entre le personnage et la narratrice puisque le roman est raconté à la première personne.
Je ne prolongerais sans doute pas l'expérience, même si la fin a un peu gagné en intérêt.
Commenter  J’apprécie          110
Bon bon bon. Je faisais que de voir passer ce roman sur booksta, j'avais donc très envie de le lire à mon tour. Je me suis juste fiée à certains avis positifs ou en demi-teintes et, sans même lire le résumé, je me suis lancée. Et bien, c'était une lecture très étrange. J'ai trouvé ça très bizarre d'écrire une histoire sur fond de prostitution/syndrome de Stockholm/relations toxiques. Alors certes, il y a une petite évolution de l'héroïne mais j'ai trouvé cela très faible. Passés les premiers chapitres gênants (pourquoi de la porno comme ça dans les livres franchement ? Je ne trouve aucun intérêt à tant de sexe et de violences sexuelles...), je me suis retrouvée à lever les yeux au ciel face à certaines pensées ou répliques de l'héroïne. En effet, j'avais l'impression de lire un récit whattpad d'il y a 10 ans. Oui oui avec la scène de "non mais tu es différente, me dit-il alors que je remets mes cheveux derrière mon oreilles". Tout le cliché du "I am not like other girls". En dehors de ça, l'histoire n'est pas passionnante, il n'y a pas beaucoup d'enjeu et l'univers, bien qu'intéressant, n'est clairement pas développé. Gros bof pour ce récit aux relations toxiques, à l'intrigue et à l'univers moyen qui donne, encore, une image faussée sur l'amour et les relations humaines.
Commenter  J’apprécie          70
J'ai commencé ce livre car tout le monde en parlait : je ne connaissais ni l'histoire, ni les thèmes abordés, seulement qu'il s'agissait de fantasy. En général je fais de bonnes découvertes et au pire j'en suis déçue mais ici nous sommes sur autre chose.
Je n'ai pas apprécié ma lecture. Encore pire : je l'ai vraiment détestée, ce ne fut pas du tout une bonne expérience.
Question très importante : Où sont les triggers warnings ? Où est-il précisé que le contenu de ce livre est choquant et décrit de telles scènes, avec de tels thèmes ?
Malgré tout j'ai essayé de continuer ma lecture, jusqu'au bout, voulant abandonner de nombreuses fois pour m'en faire une meilleure idée. Mon avis n'a pas changé.
Dégoutée. Dérangée par le contenu. Choquée. le traitement des femmes est insupportable. Les personnages sont répugnants. Relations toxiques, sans équilibre, dépendance. Malgré le contenu choquant l'histoire est ennuyante il ne se passe rien. C'est extrêmement long.
Je n'ai vraiment pas compris l'engouement ni l'intérêt. Et surtout ce livre n'a rien à faire au milieu des livres young adult, il devrait y avoir plus de prévention et d'informations claires sur le contenu de celui-ci
Commenter  J’apprécie          30
"Gild" de Raven Kennedy est un livre... Que je n'ai absolument pas aimé ! Fan de ce roman, passez votre chemin car je vais être singlant.

L'aspect positif (le seul à mon sens) est que la mécanique de l'univers créé par Kennedy est vraiment bien. On retrouve la tendance à réutiliser les mythes anciens et/ou traditionnels (Midas de l'antiquité grecque, un exemple parmi d'autres.). C'est quelque chose que j'apprécie, et qui, ici, fonctionne bien.

Par contre...

Le personnage principal est cruche avec un déficit des fonctions cognitives supérieures. Sa situation est détestable, malsaine et absolument odieuse, mais elle ne semble pas apprendre de ce qui l'entoure et des événements dans sa vie.
Mais plus que tout, sa relation avec Midas est simplement malaisante, le stéréotype de la femme soumise par un homme qui n'en a rien à faire d'elle. Nous pourrions penser que cela est un critère essentiel de la Dark Romance, mais mes lectures du genre ont très souvent montrées un partenaire certe peu sympathique mais néanmoins attentif. Pour les scènes de sexe, le plaisir est réciproque : pas dans "Gild". le partenaire (ici Midas) et les autres hommes qu'elle et les femmes autour d'elle croisent, assouvissent leurs besoins charnels avec des abus sexuels en tout genre ou avec un consentement à peine visible.

Enfin, l'histoire m'a paru sans intérêt, notemment (mais pas uniquement) à cause de toutes les saloperies sexuelles omniprésentes dans l'histoire. A mon sens, il n'y a aucun équilibre entre la (pseudo) romance, l'erotisme, le fantasy et le récit politique. Tout ce mélange n'importe comment, laissant un récit indigeste et immature.

Bref, lisez ce roman si vous le souhaitez mais préparez vous un à récit avec beaucoup de déclencheurs traumatiques : viol, abus sexuel, soumission non consenti, violence en tout genre, vulgarité excessive, et cetera.
Un roman +18, mais franchement personne ne devrait le lire...
Commenter  J’apprécie          30
Hello Booksta,

Aujourd'hui nous allons parler de 𝐋𝐚 𝐒𝐚𝐠𝐚 𝐝' 𝐀𝐮𝐫𝐞𝐧 𝐓.𝟏 : Gild, de @ravenkennedybooks la nouvelle romantaisie chez @hugonewromance.

Il semblerait que ce soit la saga coup de coeur du moment. Malheureusement, ça ne l'aura pas fait pour moi. C'est extrêmement déçu que je ressors de ma lecture. Si ma chronique est négative, elle n'a en aucun cas pour but de dénigrer le travail de l'auteur, il s'agit seulement d'un ressentis.

J'ai trouvé que l'univers était pas du tout développé, que l'histoire manquait réellement de profondeur. J'ai eu le sentiment qu'on a juste balancé des idées comme ça sans une réelle construction.

La première partie de l'histoire longue, il y a beaucoup de répétition sur les lamentations du personnage principal. L'action commence à quasiment 60 % du livre, ce qui est plus que long pour placer un décor aussi pauvre.

Quant au personnage principal, je n'ai même pas envie d'en parler. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de répétition et qu'elle passer son temps à pleurer sur son sort tout en ayant un syndrome de Stockholm plutôt mal décrit et qui manque réellement de crédibilité. Je l'ai trouvé extrêmement naïve à tel point que s'en était agaçant.

Et quand l'action a commencé arriver sur la dernière partie du livre, je l'ai trouvé profondément égoïste, ne s'occuper que de ses petites envies et de son petit bien-être.

Autre détail qui m'a profondément agacé dans ma lecture, ce sont les personnages secondaires. En effet, les femmes vivent dans des conditions très difficiles et subissent énormément de choses atroces. Et pourtant, il n'y a aucune solidarité entre elles. En effet, les « pouliches » (terme qui m'a fait grincer des dents à chaque fois) du roi sont décrites comme des femmes, jalouses et envieuses d'Aurene. Au nom de quoi de l'affection d'un homme qui certes est roi, mais quand même. Ne pourrions-nous pas avoir un peu de solidarité féminine, contenu de ce qu'elles vivent ?

Malgré les avertissements, je trouve qu'il y a également une banalisation importante de la violence et des abus envers les femmes s'en est presque too much. Il y a également l'utilisation d'un langage vulgaire (avec des insultes) pour accentuer cet effet sur les femmes qui me demande ma mener quel est l'intérêt ?

De plus ce roman, bien que dark est classé en romance, mais il n'y en avait pas.

Si la fin du premier tome, me laisse avec plein de questions, je ne suis pas encore persuadé de continuer cette saga temps, elle m'a laissé perplexe. Honnêtement, avec l'histoire du roi Midas, l'originalité du sujet, il y avait tellement de choses à faire ... Je n'ai vraiment pas été convaincue par ce livre et c'est dommage.
Commenter  J’apprécie          30
‌Une déception.. Je n'ai jamais rien lu d'aussi mauvais (et je pèse mes mots).
Auren est une jeune femme à la peau dorée, on dit que le roi Midas l'aimait tellement qu'il l'a transformé en or. Elle vit dans une cage dorée (littéralement) à l'intérieur du palais et est la favorite du roi qui l'a sauvé lorsqu'elle était jeune.
Que vous dire de plus, puisqu'en fait il ne se passe pas grand-chose.. La seule action prend racine à la toute fin du livre et laisse un goût fade puisqu'à peine le roman devient-il intéressant qu'il s'arrête et que l'on doit se procurer le second tome.
On se retrouve donc avec 5% d'action et 95% de pages dans lesquelles Auren se conforte dans le mauvais traitement plus qu'évident du roi, n'utilisant pas une fois sa cervelle pour remettre en question les dires et les actions de ce tyran.
Pour ce qui est donc des personnages, Auren m'a plus énervée qu'autre chose et Midas est un personnage absolument détestable à tout point de vue. le seul personnage auquel on arrive à s'attacher et qui ramène un peu de chaleur dans ce livre, meurt au bout de cinq chapitres alors qu'il aurait pu être promis à un bon développement.
Réécriture du conte de Midas, magnifique couverture, fantasy et romance, Gild paraissait être promis à un grand avenir. Surtout quand la dernière réécriture qu'on a lu était Un Palais D'Epines et de Roses, il y avait de quoi avoir des attentes, malheureusement déçues et cela au-delà de toutes mes espérances.
D'autant plus qu'on nous vend une romance dans le résumé mais qu'en réalité c'est de l'abus féminin pur et simple sans aucune scène romantique : Midas n'aime même pas Auren, il l'utilise et il n'y a aucune autre figure masculine ou féminine pour le remplacer au long de ces 350 pages... qui deviennent vraiment longues !
Âmes sensibles s'abstenir, le livre est empli de scènes violentes et certaines complètement révoltantes de la part d'un livre sensé soutenir le point de vue d'un personnage féminin. Il est pourtant vraiment dommage de travailler un roman dans lequel la moitié des personnages développés sont des travailleurs et travailleuses du sexe et de n'y apporter aucune réflexion plus intéressante que les clichés usuels. clairement décevant car il y a de la matière au vu de la manières dont toutes ces femmes sont réifiées, le pire à mon avis est qu'elles acceptent cette réification sans jamais, mais jamais, la remettre en question et à la limite d'apprécier être un objet...
Je finirais cette critique sur le style de l'auteur, que j'ai détesté depuis le début. Plutôt vulgaire, répétitif, certains mots de langage soutenu n'ayant absolument rien à faire au milieu des autres et amenant une grande incohérence dans la lecture. On dirait un style qui se cherche encore et ça s'ajoute à la lourdeur des propos. Peut-être est-ce la traduction qui laisse à désirer puisque je l'ai lu en version française ? Quoiqu'il en soit je ne perdrais pas mon temps à le relire en anglais, mais je ne serais pas surprise, au vu de l'histoire, que la faute revienne au « style » de l'autrice plus qu'à la traductrice.


En bref : à fuir.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          20
J'attendais la sortie de Gild avec impatience et l'ai acheté le jour de sa sortie. le résumé me tentait énormément, et je suis très bon public en général face à ce genre de registre, mais là le livre m'a plus mise mal à l'aise qu'autre chose. On comprend dès la première page que l'héroïne à un syndrome de Stockholm sévère.
Néanmoins si vous appréciez la gêne occasionnelle, la dark romance et ressentir bien des émotions au fil des pages, parce que oui, c'est le cas, vous aimerez certainement Gild.
Commenter  J’apprécie          10
Pourquoi même prendre la peine de rédiger une chronique pour un roman qui a déjà tout d'un carton, avec de la publicité partout, aussi bien sur les bus que dans le métro parisien ?
Tout simplement car je n'ai rien lu d'aussi insipide depuis longtemps. de sa scène d'intro faussement provocatrice à son "final" embrouillé, on se retrouve avec un énième roman narré à la première personne du singulier, sauf que la narratrice n'a aucune personnalité. Mince, c'est un problème, ça ! Et ça commençait mal.
Le reste est à l'avenant : mais voilà, de la promo en pagaille sur les réseaux, une campagne de com bien rôdée et ça suffit pour faire passer une histoire qui aurait dû rester dans les tiroirs de son auteure pour un "phénomène".
La Fantasy est bien avancée.
Commenter  J’apprécie          11
2023
[edit]
Désolé mais je me suis ennuyée pendant les 3/4 du livres, y'a pas vraiment d'actions sauf vers la fin peut-être.
Les TW ne sont pas annoncés, l'écriture est trop simple, le worldbuilding est bof et les protagonistes sont pas attachants.
Syndrome de Stockholm be like aussi, la prota n'est pas du tout « badass » comme on pourrait croire.
Aucune construction, aucun développement du pourquoi du comment pour certaines scènes.
CARRÉMENT je lisais juste les dialogues pour aller plus vite, tellement j'en avais marre
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (2033) Voir plus



Quiz Voir plus

Monstres de la mythologie grecque

Je suis une créature hybride, mi-homme mi-cheval.

Le Minotaure
Le Centaure
La Cavale
La Manticore

12 questions
3433 lecteurs ont répondu
Thèmes : monstre , mythologie grecque , créatures mythologiques , mythologie , mythesCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..