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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Le prologue est sur 50 pages et les 100 pages suivantes n'apportent pas grand chose à l'intrigue. Ça manque de rythme. C'est trop long. On comprend l'intérêt du prologue uniquement à la fin.
Concernant Bernie, j'ai pas accroché du tout avec ce personnage, il est détective privé mais ne se pose pas de questions. Il rencontre une personne qui appelle sa cliente d'une façon différente de celle dont elle se présente, il se fait juste la remarque mais n'approfondit pas. Bref...
Le seul point positif du livre, c'est le côté historique. C'est rare de trouver des romans dont l'histoire se situe post Deuxième Guerre Mondiale en Allemagne. J'ai grandit avec les séries américaines et l'image qu'elles diffusaient que l'occupation était « idyllique ».
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La suite des aventures de Bernie Gunther devient de plus en plus indigeste et pénible à lire.
La seule idée amusante : tenir un hôtel à …DACHAU !!!

1949. La guerre est finie, et pourtant les séquelles sont nombreuses en Allemagne. La population allemande considérée comme « responsable et surtout coupable « de cette seconde guerre mondiale. Surtout aux yeux des vainqueurs de l'ouest et de l'est.
C'est bien vite oublier toutes les lâchetés des démocraties occidentales qui ont trahi sans états d'âme tous les accords passés avant le déclenchement de la guerre, sans oublier les petits arrangements entre Staline et Hitler pour pouvoir se partager quelques territoires de l'Est.
Il est donc bien facile de condamner une population qui a été soumise au silence par une des pires dictatures, sans aucun soutien des démocraties.
A tel point que l'Est et l'Ouest vont mener une petite bataille pour attirer tous les savants « nazis » , mais tous ceux qui ont une petite compétence en terme de police, de militaire, de renseignement…
Oui vraiment vouloir donner une leçon de conscience moral au peuple allemand aide à passer sous silence celle des autres.
Sans oublier « le petit coup de main de certains réseaux de l'église » pour exfiltrer les personnages les plus génants et les commandos « juifs » cherchant à se faire justice.
Ces épisodes de fin de guerre qui permettent à GUNTHER sont de plus en plus pénibles à lire et ne font que survoler l'histoire de manière tout à fait orientée, fausse, et superficelle.

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Bernie Gunther, un privé chez les nazis...

"Je ne suis pas un nazi. Je suis un Allemand. Ce n'est pas la même chose. Un Allemand est un homme qui arrive à surmonter ses pires préjugés. Un nazi, quelqu'un qui les change en lois" On m'a viré de la Kripo en 1934, et comme il faut bien vivre, je me suis retrouvé déguisé en privé dans l'établissement le plus select de Berlin :

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